Gabriel Attal – Abayas et laïcité

Enfin ! oui enfin, un ministre, le ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal, qui a le courage d’interdire dans les écoles et collèges, au nom du respect de la laïcité, le port des abayas et qamis !

Pourquoi une telle interdiction ? Tout simplement parce que, la laïcité étant le principe fondateur de l’école républicaine, les abayas et les qamis, pour élèves musulmans – filles et garçons – sont de plus en plus portés dans les établissements scolaires, en transgression de cette neutralité religieuse.

Déjà la loi du 15 mars 2004 obligeait les élèves portant un voile, une kippa ou une croix à retirer ce signe religieux avant d’entrer dans leur lycée ou collège. Pour protéger la liberté de conscience de ces élèves de toute forme de pression, d’emprise idéologique ou de prosélytisme.

Cette loi a été complétée par la loi du 26 juillet 2019 qui stipule que « les comportements constitutifs de pressions, sur les croyances des élèves ou de tentatives d’endoctrinement de ceux-ci, sont interdits dans les écoles publiques et les établissements publics locaux d’enseignement, à leurs abords immédiats et pendant toute activité liée à l’enseignement. »

Or ces deux dernières années scolaires, les atteintes à la laïcité auraient augmenté de 120% et le port de signes et tenues, qui représente la majorité de ces atteintes, aurait quant à lui augmenté de plus de 150%, tout au long de la dernière année scolaire.

Tous les syndicats d’enseignants se félicitent de cette décision de Gabriel Attal, et plus de 80% des Français l’approuvent, d’autant plus que le port de ces vêtements n’est absolument pas un effet de mode, mais un moyen de faire reconnaître son appartenance religieuse et de recruter de nouveaux adeptes.

Seuls les membres de Nupes la condamnent et quelques députés de gauche.

Clémentine Autain, députée LFI, a déclaré que cette mesure est « anticonstitutionnelle. Contraire aux principes fondateurs de la laïcité. Symptomatique du rejet obsessionnel des musulmans. »

Et le CFCM (Conseil Français du Culte Musulman), prétend que les abayas et les qamis ne sont pas des signes religieux, et ajoute que « dans la tradition musulmane, un vêtement, quel qu’il soit, n’est pas un signe religieux en soi. »

Notons que le « wokiste » Pap Ndiaye, avait refusé de prendre parti sur cette question, et s’était lâchement défaussé sur les chefs d’établissements scolaires…

Mais cette mesure est loin d’être adoptée. En effet, la Nupes a décidé de faire appel auprès du Conseil d’Etat. Or, sachant que ce Conseil a validé dernièrement, en référé, les saccages faits, par les écologistes, à Sainte-Soline et en maint endroits de notre territoire, on peut craindre que – malgré l’approbation générale des Français pour cette mesure – il refuse de valider l’interdiction du port de ces vêtements religieux.

Rappelons que, si laïcité demande la séparation de le la religion et l’Etat, et exige une neutralité religieuse, elle n’interdit aucune confession dans la mesure où celle-ci respecte nos lois et ne cherche pas à faire du prosélytisme.

Notons également que la laïcité repose sur trois principes : la liberté de conscience et celle de manifester ses convictions dans les limites du respect de l’ordre public ; la séparation des institutions publiques et des organisations religieuses ; l’égalité de tous devant la loi quelles que soient les croyances ou les convictions chacun.

Si le christianisme respecte cette séparation des pouvoirs temporels et spirituels, tel n’est pas le cas dans l’islam, où la religion a force de loi. Et le danger est que – hormis son implantation dans les établissement scolaires – l’islam, difficilement voire totalement incompatible, avec nos valeurs judéo-chrétiennes, continue à menacer notre sol, finisse par le gangréner complètement et s’impose, tôt ou tard, à toute la France, ce qui signifierait – ayons le courage de le dire ! – la mise sous tutelle de notre nation et la fin d’un grand nombre de nos libertés.

A propos de la laïcité…

Les tensions entre les Eglises et la République avaient été résolues par la loi du 9 décembre 1905. Cette loi, concernant la séparation des Églises et de l’État, avait été l’aboutissement d’un long processus de laïcisation et de sécularisation engagé depuis la Révolution française.

Elle s’accompagna de l’exil de nombreux prêtres, de nombreuses communautés religieuses et de nombreuses religieuses.

Notons que l’attachement des prêtres et des religieuses à notre Patrie, vit beaucoup d’entre eux revenir combattre et donner leur vie dans les tranchées pendant la Grande Guerre, et beaucoup d’entre elles se dévouer auprès des blessés pendant cette période et après.

Un peu plus d’un siècle après cette loi, les tensions entre l’Eglise et l’Etat se sont bien apaisées, et restent le fait de quelques farouches anticléricaux.

Cependant de nos jours, et depuis plusieurs années, la question de laïcité est à l’ordre du jour, et les lois ou projets de lois, se succèdent contre les séparatismes et contre les communautarismes, mais leur origine ne vient plus de l’Eglise mais de l’Islam !

Oui, n’en déplaisent à nos dirigeants opportunistes et naviguant au gré des vents, les problèmes qui se posent aujourd’hui, ne sont pas le fait des catholiques mais des musulmans.

Ces derniers, en effet, non seulement refusent de se soumettre à nos mœurs et à nos lois, mais veulent nous imposer les leurs. Et nos dirigeants – la plupart islmo-gauchistes – font leurs quatre volontés pour obtenir leurs suffrages.

Je ne parlerai pas des tenues vestimentaires par provocation ou à fin de de prosélytisme, à la suite desquelles le législateur a interdit aux catholiques de porter des croix qui faisaient partie leur religion et de leur culture depuis presque deux millénaires !

Je ne parlerai pas non plus du refus des femmes musulmanes de d’être soignées par des hommes médecins, ni de leur exigence de réserver des piscines réservées pour elles seules et dans lesquelles elles se baignent en burkini au mépris de toutes les règles d’hygiène

Mais je voudrais attirer l’attention de tous sur un drame à propos duquel, les associations de protection de animaux et tous les écologistes font peser une chape de silence insupportable.

Je veux dire les méthodes atroces employées pour obtenir la nourriture hallal. Les bêtes ne sont pas endormies, mais égorgées et ne trouvent la mort qu’après s’être vidées de leur sang pendant plusieurs minutes et dans de terribles souffrances ! La nourriture hallal se répand de plus en plus dans nos rayons et personne ne dit rien contre ces pratiques barbares d’abattage des bêtes auxquelles elles donnent lieu !

N’ayons pas peur de le dire, l’islam qui prêche la mort des mécréants, qui veut répandre la charia dans le monde entier et imposer ses lois et ses mœurs, n’est pas compatible avec notre civilisation !…

Mais quel homme politique aura le courage de le dire, dans ce monde de lâches, dans lequel ceux qui osent rappeler cette vérité, se font traiter de « racistes » ?!…

Les valeurs universelles du christianisme…

En 2004, Jacques Chirac s’est fermement opposé à ce que les racines chrétiennes de l’Europe, soient mentionnées dans le préambule de la Constitution européenne.

Douze ans plus tard, le 17 mai 2016, dans une interview à La Croix, le Pape François, émettait des doutes sur ces racines.

Pourtant il est indéniable que le christianisme a pétri l’Europe tout entière. Il n’y a pas une ville, pas un village qui n’ait « son » ou « ses » clochers ! Combien de villes, combien de villages ont pour nom celui d’un saint ou d’une sainte ! Que d’artistes européens –peintres, sculpteurs, musiciens –se sont inspirés de scènes bibliques !

De l’Europe, le christianisme et ses valeurs universelles ont essaimé dans le monde entier. Sans l’Eglise en général, et sans les Eglises en particulier, le message des Evangiles ne serait peut-être pas parvenu au monde. Malheureusement les Eglises ont mis en place des barrières pour dominer ‟l’homme”, pour qu’il soit à leur merci.

Cependant, contrairement à l’islam, le christianisme dans son essence, en séparant le temporel du spirituel, est une religion d’Harmonie et de Paix, parfaitement compatible avec les régimes démocratiques.

Les valeurs de Partage, de Solidarité, de Générosité, d’Amour dont il est porteur, s’accordent parfaitement avec cet humanisme que devrait rechercher toute civilisation.

Quelles que soient leurs croyances, les Européens ne peuvent pas renier leurs racines chrétiennes et les valeurs universelles qu’ils ont transmises au monde. Le drame, peut-être, c’est que l’on est passé d’une laïcité qui respectait toutes les religions, à une laïcité sectaire et finalement à un athéisme totalement stérile, s’accompagnant du refus de toute transcendance.

Or, si chacun doit être libre de ranger sous le vocable ‟Dieu” des concepts différents, ‟la” Vie, ‟notre” vie, ne peut se passer de sens, et le christianisme est le chemin unique, le seul et le plus beau pour donner un sens à ‟notre” vie.

Il nous invite à dépasser les limites d’un matérialisme incapable de nous combler, à fondre nos yeux dans la beauté et la pureté des cimes, et à nous laisser porter par cette Espérance qui, seule, peut apporter à l’humanité ce bonheur véritable auquel elle aspire.

Osons en parler…

Tout le monde le sait, mais personne n’a le courage d’en parler. Le sujet est tabou et les rares personnes, qui se risquent à l’aborder, s’exposent à la vindicte médiatique et à l’infâme qualificatif de « raciste » ou de « xénophobe » !

Pourtant la vérité est là. Indéniable : la majorité des actes de délinquance et de violences, commis en France, est le fait de musulmans – maghrébins d’Afrique du Nord (sans la moindre idée péjorative dans ce mot) ou Noirs africains.

J’entends déjà les cris d’orfraie, je veux dire les « hurlements », de toute la classe dirigeante et bien-pensante, qui ne veut surtout pas de vagues, et qui est prête à toutes les compromissions pour s’assurer de son maintien au pouvoir ; et aussi les cris de toutes les Associations telles que SOS racisme, le MRAP, le haut-commissariat au culte musulman, la Ligue des droits de l’homme, etc., etc.

Je le sais : le fichage ethnique et religieux est interdit en France. Cependant en comptabilisant le nombre de menus hallal commandés par les détenus en prison, on arrive à savoir la proportion de musulmans qui s’y trouvent. Si on ne peut fixer avec une entière certitude cette proportion, il semblerait cependant que les musulmans en prison soient plus de 60 %.

Ceux qui lisent habituellement mes chroniques le savent : j’ai le même respect pour tous les hommes de la terre, quels soient leur couleur de peau, leur religion, leur culture, etc. A propos des jeunes en prison, j’ai conscience que ce sont souvent des adolescents qui habitent des cités dégradées, et qui risquent plus que d’autres de sombrer dans la délinquance. Que ce sont souvent des « paumés », des « désœuvrés », des jeunes que les parents n’ont pas éduqués, etc. Je tiens à dire que je n’ai pas le moindre sentiment de haine envers eux et que je regrette que leurs parents que ne leur aient pas appris à aimer la France ! Je pense enfin que la prison n’est pas le meilleur remède pour remettre ces délinquants dans le droit chemin.

Mais je voudrais maintenant élargir la réflexion à l’ensemble des musulmans, et je dirai que je n’aurai de respect pour l’islam que le jour où je verrai tous les musulmans de France se lever en masse et condamner :

– les crimes innommables de leurs coreligionnaires : voitures piégées, tortures, décapitations, ici et là, dans le monde, etc.

– les mœurs totalement incompatibles avec des civilisations évoluées : polygamie, mariages forcés, et femme réduite en esclavage, sous la domination des hommes.

– intolérance des musulmans vis-à-vis des autres religions : persécutions des chrétiens d’Orient, destruction de leurs églises, mise à mort des renégats.

– mœurs criminelles telles que la lapidation des femmes adultères, etc.

– enfin volonté d’imposer la sinistre charia à tous les habitants de la planète.

Naturellement on va me rétorquer qu’il ne s’agit là des crimes et des mœurs que d’une infime minorité d’extrémistes, qui ne représentent pas l’islam, et qu’il ne faut pas faire l’amalgame… avec la grande majorité des musulmans !

Eh bien ! Je le répète, tant que je ne verrai pas l’immense majorité des musulmans de France sortirent leur silence et condamner massivement, haut et fort, ces extrémistes et se désolidariser d’eux, je ferai l’amalgame !…

Tel n’est, hélas ! pas le cas. Peur ? Lâcheté ? Opportunisme ?… Quels que soient les mots, il est évident que ces pleutres manquent de courage, et ne témoignent guère d’un grand amour de la France.

Or, quand on vit dans un pays, la première chose est de l’aimer et de faire partager cet amour à tous ses proches. Malheureusement et visiblement les adolescents délinquants musulmans n’ont pas appris, eux non plus à aimer notre patrie, d’où la cohabitation de plus en plus difficile avec l’ensemble de la communauté française.

Je ne fais ici que des constats. Libre à chacun de les croire ou non. Les réseaux sociaux –tout le monde le sait- ne cessent de déverser des messages de haine. Or la haine ne construit rien. Elle dresse les gens les uns contre les autres, s’alimente de mensonges, de calomnies, et risque tôt ou tard de les pousser à s’entretuer…

J’ai refusé dans cette chronique d’adopter une neutralité bienveillante à l’égard de l’islam. Car l’islam me semble de nos jours, le plus grand obstacle à la paix en France et dans le monde. Tout cela parce que l’islam –loin d’être une religion de paix- est avant tout une idéologie qui n’a qu’un but : conquérir la planète et réduire en esclavage l’humanité.

La France menacée par la pieuvre de l’islam…

Par lâcheté ou… par opportunisme ! –pour ménager les musulmans et surtout pour s’attirer leurs voix- nos politiques, de droite comme de gauche, occultent depuis des années les dangers de plus en plus grands que ces derniers représentent pour la France. Pourtant ces dangers sont réels et nombreux.

Les musulmans n’ont qu’un seul but : nous imposer leur charia moyenâgeuse et obscurantiste, qui rejette nos valeurs républicaines, sociales et humanistes, et pour cela ils infiltrent toutes les catégories de notre société.

Petits rappels pour ceux qui refusent de voir les dangers représentés par l’islam :

– C’est la deuxième religion en France, et elle compte environ 2 500 mosquées et salles de prières. Sur ces 2 500 mosquées, un quart ont une école coranique, et 35 000 enfants y suivent des cours dont le contenu n’est pas contrôlé et divulgué. Beaucoup abritent des imams reconnus pour leurs prêches radicaux.

– Un grand nombre d’imams sont de nationalité étrangère -Marocains, Algériens, Tunisiens, Turcs, etc.- Alors qu’il y a quelque 700 000 Turcs en France –dont environ 200 000 en situation irrégulière- du 1er juillet 2017 au 30 juin 2019, c’est un franco turc, Ahmet Ogras, très lié à Erdogan, qui fut le président du comité français du culte musulman (CFCM) !…

– 53% des Français de confession musulmane pratiquent un islam conservateur voire autoritaire, qui confine à une sorte de sécessionnisme politique et social pour 28% d’entre eux.

– La pieuvre de l’islam étend ses tentacules partout : dans les domaines névralgiques comme ceux de l’éducation, du monde de l’entreprise, des lieux de culte, des salles de sport et d’internet. Les clubs de sport -lieux supposés d’intégration et de mixité sociale- pratiquent le prosélytisme religieux.

– Des matchs de foot sont interrompus par des prières, et des matchs féminins ont eu lieu avec des femmes voilées, en dépit des règlements et de la loi.

– Les frères musulmans contrôlent de très nombreux lieux de culte et ont un quasi-monopole sur la formation des imams. Ils jouent beaucoup sur l’islamophobie, et leur objectif politico-religieux avoué, c’est la conquête de la république.

– Les salafistes, qui ont 14 000 adeptes sur notre territoire, prônent la rupture avec la société européenne, et aussi avec tout ce qui n’est pas islamique. Ils sont implantés dans une centaine de villes, à travers les grandes régions de France, et leurs mosquées sont majoritairement dirigées par des imams d’origine étrangère.

– Pour les responsables de la lutte antiterroriste, il y aurait plus de 1 000 radicalisés dans les clubs de sport, et cette radicalisation par le sport conduit au djihadisme. Un grand nombre d’éducateurs sportifs seraient fichiers ‟S”.

Je fais volontairement l’amalgame entre « islam » et « islamisme ». Je cesserai de le faire, le jour où je verrai les musulmans dits « non radicalisés » se lever en masse pour condamner leurs frères terroristes qui assassinent et décapitent de la façon la plus barbare nos concitoyens. Or, à ma connaissance, ils ne l’ont jamais fait.

Enfin, preuve que l’islam envahit tous les niveaux de la société et que la plupart des musulmans sont complices de ceux qui prêchent la charia : une mère voilée a reproché à une institutrice d’avoir grondé son fils parce qu’il avait fait des « cochonneries » sur son cahier; une autre a demandé qu’on ne lise plus en classe : « Les trois petits cochons » !!!!…

Dormez, dormez tranquilles, braves gens ! Demain, après avoir accusé « d’islamophobes » tous ceux qui vous auront mis en garde contre la pieuvre de l’islam, vous vous réveillerez sous le régime féodal d’une « charia » toute-puissante et il sera trop tard !