Quand les divisions de la Droite Républicaine risquent de lui faire perdre les présidentielles de 2027 !…

En mai 2012, pour la seconde fois dans la Ve République, la gauche arrivait au pouvoir avec François Hollande. La première fois avait eu lieu en 1981, avec l’élection de François Mitterrand.

En 2017 – la droite perd à nouveau la présidentielle. François Fillon, mis en examen, refuse de se retirer et c’est M. Macron qui est élu.

Bien que ce dernier, lors de sa campagne, n’ait cessé de dire qu’il n’était ni de gauche, ni de droite, on est obligé de constater que sa politique fut – et reste – un désastre pour la France.

Réélu en 2022, au cours de ce second mandat, la Première ministre, Elisabeth Borne, utilise 23 fois l’article 49.3 pour faire voter ses lois. Le 9 janvier 2024, Gabriel Attal est nommé Premier ministre en remplacement d’Elisabeth Borne.

Lors des élections européennes du 9 juin 2024, le RN recueille 30 sièges sur 81 sièges à pourvoir. Tous les autres partis en recueillent beaucoup moins. Dans la soirée M. Macron dissout l’Assemblée nationale. Le 11 juin Eric Ciotti et des députés LR rallient le RN.

  1. Macron pense que les LR voteront pour Renaissance plutôt que pour la droite extrême (RN et Reconquête) et que la droite du Parti socialiste (PS) votera en majorité pour Renaissance.

Mais son calcul s’avère faux : lors du premier tour – fin juin – de ces législatives, 79 députés sont élus dont 39 du RN, contre 32 du NFP, 2 d’Ensemble pour la République (EPR) et 1 LR.

On assiste alors des manœuvres – qu’on peut qualifier de « magouilles » et d’alliances « contre nature » – entre la gauche et la droite pour faire barrage au RN. Gabriel Attal invite les candidats de droite, à se désister en faveur d’un candidat de gauche voire d’extrême gauche (LFI) arrivé en deuxième position et des candidats de gauche à se retirer au profit de candidats de droite !…

Ainsi, 224 candidats qualifiés pour le second tour se retirent de la course, dont 134 à gauche et 82 issus du camp présidentiel. Elisabeth Borne, sera élu grâce au retrait d’un candidat LFI. De même pour Gérald Darmanin

Et c’est une France ingouvernable qui ressort des élections du 7 juillet sans majorité absolue. La composition de l’Assemblée nationale est la suivante : RN 88 ; Union de la gauche 146 ; Majorité présidentielle 148 ; Les Républicains 38.

Le 11 juillet, Laurent Wauquiez annonce que le groupe « Les Républicains » – qu’il préside à l’Assemblée – s’appellera désormais « Droite Républicaine ».

Le NPF et le PS veulent imposer la nomination de Lucie Castet comme Première ministre. M. Macron refuse. Ce dernier attendra le 5 septembre pour nommer un Premier ministre, en la personne de Michel Barnier qui succèdera à Gabriel Attal, démissionnaire depuis le 8 juillet précédent. Le 4 décembre le gouvernement Barnier est renversé à la suite de la censure du NPF et du RN.

Le 13 décembre, François Bayrou, du MoDem, est nommé Premier Ministre. C’est le 4ème Premier ministre en un an ! Une première dans l’histoire…

Aujourd’hui – après 40 ans de gauchisme – la droite après avoir été au plus bas, commence à se relever. Elle vient de l’emporter lors des trois dernières législatives et, au gouvernement, Bruno Retailleau et Gérald Darmanin sont très populaires et laissent espérer des mesures inflexibles pour renforcer la sécurité et lutter contre l’immigration.

Hélas ! deux candidats briguent la présidence du parti. Laurent Wauquier qui – grâce à un travail de fond – a refondé ce parti après la dramatique scission provoquée par Eric Ciotti et qui en assure actuellement la présidence, et Bruno Retailleau – actuel ministre de l’Intérieur. Tous deux assurent qu’ils ont un respect réciproque l’un pour l’autre, mais leur rivalité risque d’entraîner l’échec de leur parti pour les présidentielles de 2027, au profit des extrêmes de droite ou de gauche ou des socialistes…

Il y a déjà pléthore de candidats à droite : Edouard Philippe, Xavier Bertrand, Gabriel Attal, Gérald Darmanin, etc., et si un candidat issu de la Droite républicaine ne s’impose pas, la droite, il n’y a aucun doute, perdra ces élections.

Ainsi la France dont Charles de Gaulle et Georges Pompidou avaient assuré la prospérité et le prestige mondial, sera condamnée à plonger davantage encore dans les abîmes dans lesquels M. Macron l’aura enfoncée et que la gauche approfondit encore davantage et – cette fois-ci, hélas ! – de façon irrémédiable !

Renforcer les soins palliatifs – Faire de l’euthanasie une exception !

Alors que François Bayrou envisage de présenter la loi sur la fin de vie en deux temps, les inconditionnels de l’euthanasie reviennent à la charge !

Peut-être faudrait-il leur rappeler les caractéristiques de toute civilisation, qui se respecte. Une civilisation, c’est avant tout une communauté de femmes et d’hommes, unis par des liens de solidarité et de fraternité, et appelés à partager les Joies et les épreuves de la vie.

Rappelons que l’homme est entré en humanité à partir du jour où il a cessé d’abandonner ses morts, au cours de ses déplacements, et leur a accordé leurs premières sépultures. Et il semblerait que, à la même époque de la Préhistoire, il ait cessé de cheminer pour prendre soin également de ses accidentés. Nous en avons la preuve avec la découverte de ce fémur humain ressoudé, évoquée à ses étudiants par l’anthropologue Margaret Mead américaine (1901-1978) plusieurs années avant son décès.

Ainsi, alors que les animaux accidentés sont condamnés à mourir, l’être humain, dès les temps les plus lointains, s’est donc distingué, par l’attention et les soins qu’il a portés à ses blessés et ses handicapés.

Alors, serons-nous la première civilisation à rompre ce lien de solidarité et de fraternité, tissé par nos ancêtres voici plus de 100 000 ans ?

Aujourd’hui la médecine a fait d’immenses progrès et est capable, sinon de supprimer toutes les souffrances, du moins de les atténuer considérablement.

Comment imaginer que des médecins, des infirmiers, des aides-soignants, etc. dont la vocation est de tout faire pour la vie, se transforment en tueurs professionnels et sans âme ?…

Nous le savons, les élus qui veulent voter des lois sur l’euthanasie et les personnes qui sont volontaires pour une telle fin de vie, sont des personnes bien portantes. Survienne la maladie, elles sont beaucoup moins sûres d’elles.

Rappelons que tous les soignants qui s’occupent des soins palliatifs, font preuve des plus grands dévouement, délicatesse, et attention envers tous les patients qu’ils entourent. Et lors de leur passage dans le Mystère de l’Eternité, ils font tout pour les apaiser, échangeant un dernier mot avec eux, leur tenant la main ou faisant tout autre geste d’apaisement.

Et ces soignants, quand l’heure du grand Rendez-vous approche, pour éviter des souffrances prolongées et inutiles, n’hésitent administrer, aux personnes dont la mort est sur le point d’arriver, des analgésiques qui – tout pouvant avancer leur décès de quelques heures voire de quelques jours – leur permettent de s’éteindre paisiblement, sans souffrir.

Enfin, ayons conscience que cette loi sur l’euthanasie réclamée à cor et à cri, par des idéologues impitoyables, et qui transgresse les lignes rouges du serment d’Hippocrate et du « Tu ne tueras pas » de la Bible, risque de toucher non seulement les personnes en fin de vie, mais aussi les handicapés, les personnes mal dans leur « peau », les dépressifs, et finalement de conduire tout droit vers l’eugénisme du nazisme du milieu du XXe siècle !

Ce qu’Emmanuel Macron nous cache…

Je sais qu’il faut toujours se méfier des phrases tirées de leur contexte. On peut leur faire dire ce que l’on veut. Mais il y a des exhortations qui ne trompent pas, telles les suivantes, que je relève sur différentes vidéos d’interviews d’Emmanuel Macron :

« Moi, je suis socialiste, et je l’assume. » – « L’honnêteté m’oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste. » – « Etre socialiste aujourd’hui me paraît une nécessité de bâtisseur. » – « Je vais vous dire de la manière la plus claire possible, pour ma part je suis à gauche. » – « C’est un mouvement politique qui ne sera pas à droite, pas à gauche. »

Comprenne qui voudra. Personnellement, j’en tire la conclusion qu’Emmanuel Macron est partout et nulle part. Il veut pêcher des voix à droite et à gauche. C’est un opportuniste, un « emberlificoteur », pour ne pas dire un beau « menteur ».

 Il s’arrange pour dire à chacun ce qu’il a envie d’entendre. A tel point que lors du débat qui l’a opposé, lundi soir, aux quatre principaux candidats, il a déclaré, une quinzaine de fois, tour à tour, qu’il était d’accord avec chacun : « On est d’accord. », « Je souscris à cela. », « Ce qui vient d’être dit est juste. », « Je partage cette priorité .» Convergence de façade destinée, là encore, à s’attirer le plus de voix possible, à droite comme à gauche…

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Je voudrais attirer ici l’attention sur certains dangers de son programme.

Voici ce qu’il déclarait le 8 mars, lors d’un entretien à l’AFP : « La vraie rupture, ce que je propose pour les quartiers, c’est une vraie politique assumée de discrimination positive de et de mobilité. » Les électeurs savent-ils ce qui se cache sous l’expression « discrimination positive » ?…

Cela va contre l’égalité et signifie l’adoption de mesures de faveur (priorités à l’embauche, promotions préférentielles, dispenses de concours, etc.) pour certaines catégories de personnes dont on affirme qu’elles ont subi des discriminations passées ou présentes ou qu’elles sont « défavorisées ».

Ce sont ni plus ni moins des passe-droits accordés aux membres de certaines catégories pour leur permettre d’échapper au droit commun.

Par ces mesures, on fera entrer dans des écoles, dans des entreprises ou des administrations, des personnes, non plus pour leurs compétences, mais parce qu’elles appartiennent à une catégorie sociale donnée, et par voie de conséquence on abaissera le niveau et la qualité de ces écoles, de ces entreprises et de ces administrations. Et on créera une profonde injustice et un profond ressentiment chez les personnes compétentes, qui auront été écartées, parce qu’elles n’appartenaient pas à ces catégories sociales ! On marche vraiment sur la tête !…

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D’autre part, Emmanuel Macron a déclaré récemment : « Il n’y pas une culture française. Il y a une culture en France. » Comment ne pas voir là son goût pour le multiculturalisme et les concessions qu’il fera, s’il est élu, à l’islam qui gangrène la France !

Oui, je n’ai pas peur de le dire – au risque d’être considéré comme un « raciste » un « xénophobe » et un « islamophobe » – l’islam est une menace pour notre pays.

Menace d’une religion par le nombre – les musulmans, nous le savons, conquièrent la France par le « ventre » – et menace par la nature d’une religion qui prêche la mort du mécréant et n’a qu’un but instaurer la charia sur notre sol !

Qui se souvient que le 7 mai 2012, lors de la victoire de François Hollande, 90 % des drapeaux brandis place de la Bastille étaient des drapeaux algériens ?!…

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Dans un article que le Figaro a publié le 17 mars, Emmanuel Macron écrivait, entre autres : « Ce que nous avons en commun d’abord, c’est la langue française… Parler français, penser en français, sentir en français est le viatique véritable pour tout individu désireux de s’inscrire dans la République… » C’est oublier qu’en matière de langue française, le gouvernement dont il a fait partie – et dont il assurera la continuité, s’il est élu – a mis en place des cours d’arabe pour les élèves du primaire !!!…

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Pour moi, Emmanuel Macron, avec ses airs bon enfant, présente un véritable danger pour la France. Quand je vois maintenant un François Bayrou – la plus grande girouette de l’histoire de la 5ème République ! – le soutenir alors qu’il y a peu il dénonçait ses collusions avec les puissances d’argent, je me dis que nos leaders politiques sont tombés bien bas.

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Notons enfin qu’Emmanuel Macron est favorable à la PMA (Procréation Médicalement Assistée) pour les femmes seules et les couples de femmes. Et il attendrait que l’opinion murisse pour reconnaître la GPA (Gestation Pour Autrui), et se rallier ainsi à la politique de destruction de la famille, mise en place par François Hollande et Christiane Taubira !…

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Le lecteur aura bien évidemment compris que je ne voterai pas pour Emmanuel Macron. Mes propos ci-dessus pourraient faire croire que je voterai pour le Front National. Il n’en est rien. Je condamne la démagogie d’une Marine Le Pen et le chaos dans lequel elle entraînerait la France, elle aussi, si elle était élue.

Je voterai donc pour François Fillon, quelles que soient les déceptions qu’il m’ait données, mais parce que c’est le seul candidat capable, à mon avis, de redresser la France.

Et si par malheur, nous en sommes réduits à un duel Le Pen/Macron au second tour, je crois que je voterai blanc, en regrettant la grande injustice qui veut que ce type de vote ne soit pas comptabilisé !

Juppé-Fillon – Un duel affligeant…

Je l’avoue, j’ai longtemps eu envie de voter Alain JUPPE au premier tour des primaires. Et toutes les vidéos que je recevais pour m’en dissuader, me renforçaient dans cette envie.

Finalement j’ai voté François FILLON et voterai à nouveau pour lui au second tour.

Mais j’avoue être très déçu et même écœuré par les attaques tout azimut et indignes d’Alain JUPPE contre François FILLON, ces dernières heures.

Il semble complètement oublier que tous deux font partie de la même famille politique, et que celui qui sera élu dimanche prochain, a de grandes chances diriger la France demain et aura besoin des voix de l’autre pour exercer cette charge.

Il ressort donc de tout cela qu’Alain JUPPE est un mauvais joueur, si l’on peut parler de « jeu » à propos des élections et qu’il emprunte à la gauche le maximum d’arguments pour faire perdre son rival.

Enfin je ne cache pas mon inquiétude à propos de la candidature éventuelle de François BAYROU. Il s’agit là d’un homme qui, hélas, pense davantage à lui qu’à la France. Il navigue entre la droite et la gauche. A rallié François HOLLANDE en 2012 et est capable de faire perdre la droite en 2017.

Réflexions suite aux résultats des régionales…

Je me suis réjoui, dimanche dernier, en voyant que le Front National n’obtenait aucune présidence de régions.

La droite a gagné sept régions et la gauche cinq. Ce n’est une victoire ni pour l’une, ni pour l’autre.

Lors de la soirée des résultats, les leaders des différents partis se sont tous exprimés. Beaucoup de bla-bla-bla.

La gauche a masqué les échecs de toutes ses politiques – en matière économique (chômage dramatique, fiscalité qui bloque toute activité), sécuritaire (zones de non-droit dans les banlieues, politique pénale aberrante), sanitaire (pénurie de médecins, trou abyssal de la Sécurité sociale), éducative (faillite complète de l’école et du collège), migratoire, dans les domaines du logement (3,5 millions de personnes n’ont pas de logement ou sont mal logées), etc., etc. Mais la droite a une grande part de responsabilité, également, dans tous ces échecs. Notamment dans la baisse des effectifs dans l’armée et dans la police.

Cependant, je reproche à tous les leaders socialistes, au cours de cette soirée, d’avoir complètement occulté les fiascos de leur politique en ne parlant – avec le plus grand triomphalisme – que de la réussite de la COP21 qui s’était achevée la veille à Paris. Réussite montée en épingle par les médias et que, personnellement, je prends avec la plus grande réserve…

Les écologistes ont montré, une nouvelle fois, leur déconnection complète des réalités, obnubilés par leurs utopies.

Deux personnalités se sont élevées au-dessus du lot. Alain Juppé, qui a tenu un discours de véritable homme d’Etat, et Bruno Lemaire dont j’apprécie le franc-parler et la courtoisie. Xavier Bertrand, également, qui m’avait déçu quand il était ministre, est remonté dans mon estime.

Nicolas Sarkozy n’a pas le vent en poupe. Mais il fait tout pour s’accrocher, au risque de faire perdre la droite, une nouvelle fois, aux prochaines présidentielles. Quant à François Fillon, il a été inexistant, et je n’oublie pas qu’il a cautionné la politique de Nicolas Sarkozy pendant cinq ans. Il ne peut, maintenant, s’en désolidariser…

Après un long suspens, j’ai appris avec la plus grande joie la victoire de Valérie Pécresse. Je partage les espoirs que fondent sur elle les habitants de l’Ile de France. Claude Bartolone s’était comporté de façon totalement honteuse et indigne avec elle.

Le Front National n’a obtenu aucune présidence de région et pourtant, pour moi, c’est le grand vainqueur de ces élections. Avec plus de 6,8 millions de voix et une augmentation de 450 000 voix au second tour, il a battu son record de 2012 aux présidentielles, et il aura 358 conseillers dans les différentes régions – contre 355 conseillers socialistes !

J’avais été scandalisé par la diabolisation à outrance que Manuel Valls avait fait de ce parti, en laissant craindre une guerre civile en cas de victoire de sa part ! Nous sommes en démocratie et ce parti a le droit de siéger au même titre que l’extrême-gauche de Jean-Luc Mélanchon.

Je me réjouis donc qu’il ait des conseillers élus dans plusieurs régions. IIs forceront peut-être certains élus à revenir sur terre, à prendre conscience des aberrations des politiques suivies depuis trente ans. Car toutes les idées du Front National ne sont pas à rejeter, et les lois d’urgence actuelles ne font que reprendre, en matière de sécurité, les idées qu’il préconise depuis des années.

Je ne souhaite pas qu’il parvienne au pouvoir suprême – son programme économique ne tient pas la route – mais je pense que l’on peut s’inspirer de certaines de ses idées.

Je m’interroge sur cette République « exemplaire » que nous avait annoncée François Hollande. Jean-Yves le Drian cumule le poste de ministre de la Défense et de président de la région de Bretagne ! Claude Bartolone est reconduit au « Perchoir » malgré son échec en Ile de France ! Il faut dire que les émoluments attachés à toutes ces fonctions sont attractifs !… Tout cela n’est guère sérieux.

Pour finir, je qualifierai de piège aux alouettes, ce « front républicain » proposé entre les socialistes et le centre. Les socialistes n’ont rien fait de bon au cours des trois années écoulées, et les réformes auxquelles ils se sont attachés – mariage pour tous, réforme des rythmes et des programmes scolaires, suppression des bourses au mérite, de l’étude du latin du grec, etc. – n’ont fait que diviser les Français, détruire leurs racines, niveler par le bas notre culture. Les centristes oscillent au gré des vents, n’ont pas de convictions. François Bayrou est un opportuniste qui espère arriver au pouvoir après une longue traversée du désert. Aussi, il n’y a rien à attendre de bon de ce « front républicain », qui n’est qu’une tentative désespérée des socialistes pour se maintenir au pouvoir, et des centristes pour y accéder.