Les changements climatiques. La vie. La Terre. L’Univers. Plongeon dans… le cosmos !…

Nous le savons tous : les climats sur notre planète, n’ont cessé de changer depuis des siècles et des millénaires.

Les glaciations ont laissé place à des périodes de fortes chaleurs – et vice-versa – les océans et les mers n’ont cessé de monter et de descendre, les périodes de grande sécheresse ont alterné avec des périodes de pluie intense.

Fut un temps où le Sahara était couvert de lacs, d’étangs, de végétation et possédait une faune tropicale abondante ; il y a deux millions d’années, le Groenland était couvert de forêts et avait un climat tropical…

Notons que tous ces phénomènes se sont produits en l’absence totale d’activités humaines, de gaz à effet de serre, d’émissions intenses de dioxyde de carbone. Aussi, sans nier la part de l’homme dans le dérèglement climatique actuel, on peut s’interroger sur son importance…

Il n’empêche que nous avons tous le devoir de prendre soin de notre planète, que nous devrions tous être des écologistes. Mais des écologistes de bon sens et intelligents.

Des écologistes qui condamnent, sans appel, l’autorisation donnée par Joe Biden – en dépit de ses promesses – d’effectuer des forages pétroliers en Alaska. Et des écologistes qui condamnent également l’aberration, la stupidité et la dangerosité d’extrémistes écolos-gauchos, qui se dressent violemment contre les projets les plus écologiques : ainsi en est-il des manifestations contre le tunnel Lyon-Turin, grâce auquel, on supprimera par ferroutage, la circulation de milliers de camions dans les Alpes du Nord et on diminuera d’autant la pollution actuelle.

Il y a plus. Il nous semble qu’on ne peut parler des bouleversements climatiques, sans parler de l’histoire de la vie et de l’histoire de la Terre.

…………………………………………………….

Selon les scientifiques, la Terre, aurait 4,5 milliards d’années et les plus anciennes traces de vie sur notre planète remonteraient à 3,8 milliards d’années. Quant à l’humanité, on pense qu’homo habilis est apparu voici 2,8 millions d’années, et homo sapiens voici 300 000 ans. Et on pense que l’homme n’est vraiment entré dans l’humanité, qu’à partir du jour où il a commencé à enterrer ses morts, voici 100 000 ans !

Il semble incontestable que toute vie sur la Terre deviendra impossible dans quelques centaines de millions d’années, quand la chaleur du soleil aura augmenté dans de très importantes proportions ; de plus dans trois ou quatre milliards d’années, la voie lactée et la galaxie Andromède fusionneront et se dilueront dans l’infini de l’Univers.

Certes, il y a de la marge, mais il semble évident que viendra le jour où l’humanité retournera dans le néant de ses origines. Que conclure ?

…………………………………………………….

La Terre, notre Terre compte actuellement près de huit milliards d’habitants. La population en Afrique subsaharienne est aujourd’hui d’un peu plus d’un milliard d’habitants et, en 2050, devra dépasser les deux milliards.

Sans tomber dans le fantasme d’une restriction démographique autoritaire – comme le prônait Thomas Malthus, au milieu de XIX° siècle – nous devons constater que – du fait des guerres, des phénomènes climatiques, des crises économiques, etc., et aussi de l’impuissance des chefs d’Etat à organiser une vie mondiale harmonieuse – les pays pauvres risquent de devenir de plus en plus pauvres. Ils manquent des moyens fondamentaux nécessaires à une vie décente : alimentation, accès à l’eau potable et l’évacuation des eaux usées, logements décents, habillement, soins sanitaires, etc., etc. Plus le temps passera, et plus ces manques risquent de s’accentuer.

Notons que la guerre au Darfour a entraîné, en 20 ans, la mort de 300 000 habitants et le déplacement de plusieurs millions d’autres. Et le cas de ce pays est loin d’être unique. Ainsi, guerres et dérèglements climatiques sont dramatiques pour la survie de l’humanité et ne cessent d’accentuer ses misères.

Comme je l’ai dit souvent dans mes chroniques – et je le répète ici – je considère tous les êtres humains comme mes frères de la terre et j’estime que tous ont droit à une vie décente.

Hélas – malgré l’engagement et les efforts des maintes organisations internationales et humanitaires – je pense que la population de tous ces pays dans la misère la plus profonde, si elle va croître encore quelques dizaines d’années finira – du fait, entre autres, de la poursuite de ces dérèglements climatiques – par décroître drastiquement.

Et je me demande si, dans un avenir plus ou moins lointain, la population mondiale ne finira par se réduire à quelques dizaines ou centaines de millions d’habitants, avant de se remettre à croître à nouveau. Et la planète connaîtra alors une nouvelle ère de progrès.

Enfin, chrétien de cœur, croyant au message d’Amour et de Paix de Jésus-Christ, le retour au néant de l’humanité, dans quelque 300 millions d’années, ne me fait pas peur, car je garde en mémoire ces paroles du Christ :

« Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. »
– Mathieu : 24,35 ; Marc : 13,31 ; Luc : 21,33.

Le lavage de cerveau à grande échelle des écologistes et de leurs comparses…

A propos du changement climatique, les médias et les réseaux sociaux reprennent en chœur les idéologies des écologistes-gauchistes. Et même notre gouvernement s’aligne sur les théories de ces derniers. Tous, sans exception, rendent les émissions de CO2 responsables du réchauffement climatique.

Or, dans ce domaine, comme dans bien d’autres, il faut faire preuve de la plus grande humilité et il est indispensable – avant d’émettre des certitudes – de prendre en compte des voix contradictoires. Hélas ! les écologistes imposent au monde, sans la moindre preuve, leurs vérités et les masses les « gobent » sans réfléchir !

Il importe de savoir que le CO2 n’est pas un poison mais un composant essentiel du cycle de la vie. L’augmentation de sa concentration dans l’atmosphère participe au verdissement des terres et à l’amélioration des rendements agricoles. Le CO2 est donc une chance pour tous les affamés de la planète. Sans CO2, il n’y aurait pas de vie sur Terre !…

Nous n’avons aucune preuve que le changement climatique que nous connaissons actuellement soit dû aux émissions de CO2, accentuées par la révolution industrielle, l’usage des 4×4 et l’élevage massif des bovins !

Nous le savons, dans le passé, la Terre a connu des périodes de refroidissement et de réchauffement importantes, sans que l’homme n’y soit pour rien… La nouveauté, aujourd’hui, c’est le caractère brutal de ces changements. Mais cela ne prouve en rien la responsabilité de l’homme.

En 2000, la NASA (National Aeronautics and Space Administration) a publié sur le site Web de son Observatoire de la Terre, des informations sur la théorie du climat du scientifique Milutin Milankovitch, (Ingénieur, astronome, géophysicien, climatologue serbe, 1879-1958), théorie élaborée en 1941, révélant que la planète change de climat en raison de facteurs extérieurs, qui n’ont absolument rien à voir avec l’activité humaine.

En 2019, cette administration, dont on ne saurait douter du sérieux, admettait que le changement climatique est dû aux modifications de l’orbite solaire de la Terre, et non aux 4×4 et aux combustibles fossiles.

A ces causes éventuelles, il faut ajouter un rapprochement de la Terre et du Soleil, une modification de son axe et enfin des taches et des explosions solaires inhabituelles….

On le voit, il n’y là aucune certitude, mais ces hypothèses tiennent aussi bien la route que celles de tous ces chantres écolos-gauchos ! Par contre, il y a un grand danger que ces derniers, à ma connaissance, n’ont pas évoqué : c’est que, par suite du réchauffement, le méthane, contenu dans les océans, vienne à s’échapper. Cela signifierait la mort de l’humanité !

Un exemple, entre mille, pour montrer à quel point nos écologises ont perdu tout contact avec la réalité, ont perdu tout bon sens : la ville de Tours offrait à de jeunes handicapés, qui en rêvaient, un baptême de l’air. Mais le maire a décidé de supprimer les subventions qui étaient consacrées à ce baptême de l’air, en déclarant : « Vous ne vous rendez pas compte des rêves dont on doit préserver les enfants. L’aérien c’est triste, ne doit plus faire partie des rêves d’enfants d’aujourd’hui » !!!!… Voilà où nous conduisent les écologistes avec, hélas ! l’aval du plus grand nombre !!!

Rappelons enfin que la France n’émet que 1 % de la production mondiale de CO2, et donc que toutes les mesures prises pour réduire ces émissions ne se justifient absolument pas. Et si la Terre est en danger c’est avant tout du fait de la pollution non contrôlée et de la démographie exponentielle. Certes, il faut tout faire pour sauvegarder l’humanité, mais n’oublions qu’elle est mortelle et que la nature survivra aux scénarios les plus pessimistes !…

Reste-t-il encore un soupçon d’Espoir au fond de la boîte de Pandore ?…

Il y a longtemps. Bien longtemps. Quand tous les maux se furent échappés de la boîte de Pandore, la guerre qui déchire le monde, la jalousie, l’envie, la colère la vengeance stérile la méchanceté, la folie l’amour non partagé, et aussi la maladie et la mort, alors, quand tous ces maux se furent répandus sur la terre, apparut au fond de la boîte maudite l’Espérance !

Hélas ! hélas ! quand on jette un œil sur l’état de la France, du monde, de la planète, et de nos valeurs morales, aujourd’hui, il est permis de se demander si cette fameuse Espérance se trouve encore au fond de la boîte maudite.

………………………………………………

Pour ce qui est de la France, la grande majorité des Français prévoit des lendemains douloureux à la suite de l’incompétence, de plus en plus grande, de nos élus qui se succèdent depuis des dizaines d’années.

Nous sommes embarqués dans une tempête économique qui ne peut que croître ; une tempête sanitaire, la crise du Covid étant loin d’être achevée et la politique de santé étant, de notoriété publique, un désastre ; et peut-être une tempête sociale à la suite de la montée de l’inflation et de la raréfaction de certaines denrées.

A cela il faudra ajouter une crise identitaire et confessionnelle. A ce propos, il suffit de voir, que le tribunal administratif de Paris vient de suspendre l’expulsion de l’imam Hassan Iquioussen, réputé proche des Frères musulmans, et accusé par les autorités d’appels à la haine et à la violence visant les femmes, la communauté juive et LGBT. Expulsion suspendue parce que la vie familiale de cet imam, passant avant les intérêts de la République, aurait été perturbée !…

Voilà comment notre France défend son identité et ses valeurs !!!…

Par ailleurs, il faut constater que la sphère politique est dévastée.

La droite peine à retrouver des leaders et à imposer des idées utiles pour la France. A gauche, communistes, socialistes, France insoumise et Verts, rassemblés dans une union de circonstance, sont incapables de proposer un programme pour le redressement de notre pays et s’opposent systématiquement à toute politique qui s’orienterait vers le bien de la nation.

Les Verts, qui ont pris le pouvoir dans un certain nombre de grandes villes, diffusent leurs idéologies racistes et islamo-gauchistes. Si bien que ce sont les minorités qui font la loi, avec la bénédiction d’Emmanuel Macron qui, contrairement à ce qu’il prétend, est à la solde des séparatistes, et ne cesse d’accuser la France de crimes contre l’humanité envers nos anciennes colonies, rayant d’un trait tous les bienfaits qu’elle leur a apportés.

De plus, depuis des années, la France dépenses sans compter des milliards, sans s’inquiéter du poids de la dette colossale qu’elle laisse à nos enfants et petits-enfants.

Par ailleurs, la plupart des Français estiment que notre pays n’a plus les moyens de partager ses richesses et ses avantages sociaux, avec des migrants venus de toute la planète !

Il faut rappeler également l’insécurité complète qui règne maintenant en France. Il ne se passe pas de semaine sans que des commissariats soient attaqués – avec la volonté de « tuer » des policiers ! A Lyon, dans le quartier de la Guillotière, deux policiers ont été victimes, dernièrement, d’une tentative de lynchage, et le maire de Lyon, écolo-gaucho, a refusé de rencontrer le ministre de l’Intérieur, quand il est venu quelques jours plus tard !…

Enfin, tous sont écœurés par les propos d’un Jean-Luc Mélenchon : « La police tue ». Contre-vérité, que non seulement le gouvernement ne dément pas avec fermeté, laissant sans soutien véritable la police, la gendarmerie, les pompiers. Il suffit de constater que lorsque qu’un délinquant est tué par un policier à suite d’un refus d’obtempérer ou autre, la Justice se retourne contre lui. Justice qui se montre du plus grand laxisme pour condamner les délinquants et les criminels et, quand ils sont condamnés, ne se soucie pas de l’exécution de leurs peines.

Oui ! Inutile d’en dire davantage. Il est évident que la France, cette France magnifique et florissante que nous avaient léguée nos pères, est en danger de mort et est à la veille d’une révolution. Sa situation inspire le plus grand désespoir !…

Ce n’est hélas pas tout. Loin de là !

…………………………………………………

En ce qui concerne le monde

Les médias ne cessent de parler de la guerre en Ukraine. Certes, il s’agit là d’une guerre aux conséquences terribles dans le domaine humanitaire, économique et qui remet en cause, non seulement la paix en Europe, mais aussi la paix dans le monde.

Depuis quelques jours, l’attention se fixe également sur la Chine, Taiwan et les USA. Il s’agit là d’une inquiétante menace de guerre, dans laquelle il faut espérer que les adversaires n’en resteront qu’aux intimidations.

Cependant, alors qu’ils ont les yeux fixés sur l’Ukraine et maintenant sur Taiwan, les médias passent totalement sous silence, la guerre au Yémen. Conflit qui dure depuis huit ans, qui a causé la pire catastrophe humanitaire au monde ; qui a déjà fait 233 000 morts, dont 131 000 dus à des causes indirectes, telles que le manque de nourriture, de services de santé et d’infrastructures. Plus de 10 000 enfants sont morts en conséquence directe des combats.

Et la France, patrie des droits de l’Homme, vend des avions de combat à l’Arabie Saoudite pour rétablir la paix au Yémen !!!…

Il faudrait parler encore de la guerre en Syrie, déclenchée en 2011 par la répression meurtrière de manifestations pacifiques pour la démocratie. Ce conflit s’est transformé au fil des ans en une guerre complexe impliquant factions rebelles, groupes djihadistes et puissances étrangères. La guerre a dévasté ce pays et aurait fait au moins 384 000 morts, dont plus de 116 000 civils. Le régime de Bachar al-Assad contrôle aujourd’hui plus de 70 % d’un territoire morcelé, grâce à l’appui militaire de ses alliés indéfectibles : la Russie, l’Iran, ou encore le Hezbollah libanais.

L’Ethiopie n’est pas épargnée non plus. Le conflit, qui a éclaté en novembre 2020, serait l’un des plus brutaux du monde actuel, avec des rapports faisant état de meurtres de civils et de viols collectifs, selon Amnesty International. On compte actuellement 900 000 personnes affamées. Les rebelles, qui combattent dans le pays, affirment que plus de 9 millions d’Éthiopiens ont besoin d’une forme d’aide alimentaire

Nous pourrions ajouter la Birmanie, Haïti et encore bien d’autres pays. Tous ces conflits qui déchirent tant de territoires ont des origines ethniques, religieuses, économiques ou autres. Et sont bien souvent le fait de va-t-en guerre, qui imposent à leurs peuples les pires malheurs, les pires souffrances.

Toutes ces guerres, en tout cas, dévoilent un état du monde accablant, dans lequel la Paix ne semble jamais avoir été aussi éloignée ! Face à de tels désastres, peut-on encore espérer des jours meilleurs ?!…

…………………………………………………….

A propos de l’état de notre planète.

– Le dérèglement climatique – le réchauffement de la planète

Qu’ils soient dus à des facteurs naturels ou à des émissions de gaz à effet de serre, engendrés par les activités humaines, le dérèglement et le réchauffement climatiques sont sources des plus grandes inquiétudes pour l’humanité.

Ce sont là, des périodes de sécheresse, dont la répétition et la durée semblent ne s’être produites que très rarement, au cours de dizaines d’années précédentes – comme en France actuellement, avec une centaine de communes privées d’eau potable ; là, des pluies diluviennes, avec d’énormes grêlons, des tornades, provoquant d’immenses désastres ; là encore, des températures exceptionnelles, entraînant de dramatiques feux de forêts, etc., etc.

Face à ces changements climatiques, il faut faire preuve de la plus grande humilité. L’homme a vraisemblablement une part de responsabilité avec ses rejets massifs de CO2 dans l’atmosphère, mais il est permis de se demander si la position et l’inclinaison du soleil, au fil du temps, sa proximité de la Terre, les radiations qu’il émet ne jouent pas un rôle plus important que celui des activités humaines, rôle qui échappe totalement aux hommes.

Nous le savons, au fil des siècles, des millénaires, et des millions d’années qui nous précédés sur cette Planète, le climat n’a cessé d’évoluer, sans que l’homme n’y soit pour rien. Les mers et les océans sont montés et sont descendus de plusieurs dizaines de mètres. Il y a 9 000 ans, le Sahara était vert. Nous savons que les derniers mammouths en Europe se sont éteints voici environ 30 000 par suite du réchauffement climatique, etc…

Beaucoup précisent que ces changements se sont faits sur d’immenses longueurs de temps, tandis que ceux que nous constatons aujourd’hui sont brutaux. Soit. Mais peut-on prétendre pour autant la brutalité de ces changements soit provoquée par l’homme ?…

– La pollution

Il est un point, par contre, pour lequel l’homme a une totale et incontestable responsabilité : il s’agit de la pollution des sols, des sous-sols, et des océans dans lesquels il rejette, sans trop s’inquiéter, un très grand nombre de ses déchets.

Dans les sols et sous-sols, il rejette des produits chimiques de la plus grande toxicité, pour lui, pour la faune et pour la flore. Et pour augmenter ses rendements agricoles, il n’hésite pas à utiliser les pesticides et les engrais les plus dangereux, que nous retrouvons dans notre alimentation. Certes, une prise de conscience sur ces dangers semble apparaître aujourd’hui avec l’agriculture « bio » mais on est encore loin – et très loin ! – de sa généralisation.

De plus pour répondre aux besoins croissants de pétrole et de gaz – en augmentation à la suite de l’embargo sur les hydrocarbures russes – la technique de la fracturation hydraulique de roches se généralise avec tous ses dangers : impacts environnementaux, plus particulièrement contamination des eaux, séismes induits, et torchage et mise à l’air du méthane et d’autres gaz.

Par ailleurs, la volonté absurde de la plupart des dirigeants et économistes du monde entier, de remplacer les voitures thermiques par des voitures électriques, entraîne l’extraction de minéraux polluants – cobalt, lithium, entre autres – par de jeunes enfants ou adolescents qui ruinent leur santé. La République démocratique du Congo, qui possède les plus grandes richesses mondiales de minéraux, n’hésite pas à sacrifier la santé et la vie des jeunes qui exploitent les mines.

Pour finir sur cette question, on ne saurait passer sous silence, ce continent de plastique situé au Nord-Est de l’océan Pacifique et d’une surface de plus de six fois la France. Les poissons s’en nourrissent et de micro éléments de plastique se retrouvent dans notre alimentation.

On le voit : l’état de notre planète n’a jamais été aussi préoccupant. Il est même de plus en plus désespérant et il serait tentant de dire que tout le monde – ou presque – s’en f… !

………………………………………………….

La perte des valeurs morales…

A tout cela, il faut ajouter un drame encore plus terrible, la perte de toutes les valeurs morales. Que ces dernières soient d’inspiration divine ou d’inspiration humaine, l’humanité, s’en détourne de plus en plus !…

Dieu, s’il existe, laisse les hommes totalement libres de croire ou de ne pas croire en Lui. Mais Il leur demande de faire preuve d’humilité. Or, dans notre monde de plus en plus marqué par l’athéisme, les hommes commettent un sacrilège suprême, en se prenant pour Lui.

« Si Dieu n’existe pas, tout est permis », disait Dostoïevski. Le malheur du monde athée d’aujourd’hui c’est précisément que les hommes se croient tout permis.

Ils se permettent tout, sans retenue, sans barrière, sans la moindre contrainte morale, selon les avancées de la science et des techniques, et selon les horizons illimités qu’elles leur ouvrent.

La formule de Rabelais : « Science sans conscience, n’est que ruine de l’âme », n’a jamais été autant d’actualité !

Alors que le bonheur se trouve dans le partage, dans l’Amour réciproque entre les hommes, l’humanité le cherche vainement dans le matérialisme ! Posséder avant tout, sans se soucier de ceux qui n’ont rien ou si peu, est devenu le leitmotiv des plus riches, et l’ambition de ceux qui n’ont rien.

Il est un courant de pensée de plus en plus important et dangereux, dont nous avons omis de parler, le transhumanisme. Selon ce mouvement – qui fera l’objet d’une prochaine chronique – l’homme prétend s’affranchir de toutes les contingences matérielles, voire de la mort !…

     …………………………………………………..

Oui, sans vouloir noircir le tableau davantage, tout nous porte à croire que l’humanité est en danger de mort. Que la fin du monde est proche et les plus lucides ont du mal à retenir leurs larmes.

Pourtant, rappelons-nous que, envers et contre tout, malgré ce découragement qui peut nous accabler, rappelons-nous que derrière les larmes, se cache, à qui veut la voir, l’aube d’un Espoir nouveau !…

L’homme est-il responsable du dérèglement climatique ?…

Vaste question à laquelle il faut chercher à répondre avec la plus grande humilité…

Les phénomènes météorologiques extrêmes de plus en plus fréquents que nous connaissons – pluies diluviennes en l’espace de quelques heures, ouragans, tornades, cyclones, etc. -ne sont pas sans nous interroger.

Nous savons qu’au cours des siècles et des millénaires passés, la terre a connu des périodes de réchauffement et de refroidissement dans lesquelles l’homme n’avait aucune responsabilité et que, faute de mieux, on attribue à des explosions solaires inhabituelles, à des conjonctions de planètes, à une variation de l’inclinaison de l’axe de la terre, ou autres.

Il nous manquera toujours le témoignage des hommes préhistoriques, mais il semble que les phénomènes actuels sont marqués par leur fréquence de plus en plus importante et par leur caractère extrême. S’il ne fait pas de doute, que ces phénomènes sont dus au réchauffement climatique nous devons nous interroger, en toute objectivité, sur la part de responsabilité de l’homme dans ce réchauffement.

Témoignage du GIEC

Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) composé de scientifiques dignes de foi, a publié le 9 août dernier, un état des lieux des connaissances sur le climat et ses perspectives d’évolution, en fonction des émissions de gaz à effet de serre, et a lancé un véritable cri d’alarme.

Selon ce rapport, la température moyenne de la planète a augmenté d’1,1°C depuis les débuts de l’ère industrielle, « un niveau de réchauffement qui n’a jamais été observé depuis au moins 2 000 ansʺ. Même dans le scénario le plus optimiste, avec une réduction des émissions de CO2 drastique et immédiate, un réchauffement de +1,5°C pourrait être atteint dès le début des années 2030. Mais le défi n’est pas encore perdu. Pour avoir 83 % de chance de rester sous la barre de +1,5°C, l’humanité doit émettre moins de 300 gigatonnes de CO2 estime le GIEC, soit l’équivalent de 10 a ns d’émissions au niveau de 2019.

Le GIEC a construit cinq scénarios d’évolution du climat en fonction des quantités d’émissions de gaz à effet de serre émises « à partir de maintenant« . Si l’humanité continue la trajectoire qu’elle est actuellement en train de suivre, nous nous dirigeons vers les deux projections les plus pessimistes, soit un réchauffement d’ici 2100 de 2,8°C à 4,6°C pour le quatrième scénario, ou de 3,3°C à 5,7°C pour le cinquième. Même s’ils étaient respectés, les engagements pris lors de l’Accord de Paris en 2015 nous mènent à un réchauffement à 3°C. La dernière fois que la température globale de la planète était 2,5°C supérieure à celle observée sur la période de 1850-1900, c’était il y a trois millions d’années.

D’ici 2100, l’élévation du niveau de la mer pourrait atteindre un mètre dans le cadre du pire scénario. La hausse du niveau global s’est élevée à 20 centimètres entre 1901 et 2018. Cette élévation a été plus rapide que tout ce qui a déjà été observé depuis au moins 3 000 ans. Un processus qui aura un impact sur le long terme : il est attendu que le niveau de la mer continue à augmenter pendant des siècles, voire des millénaires en raison de la fonte des glaciers et la hausse de la température des océans.

Du jamais vu depuis deux millions d’années au minimum : l’indice de concentration de dioxyde de carbone dans l’atmosphère a atteint 410 ppm, ou « particules par millions« . Cette unité de mesure permet de savoir combien de molécules ayant un effet de serre se trouvent dans un million de molécules de l’atmosphère. Le GIEC réaffirme l’origine anthropique du réchauffement climatique. Depuis 1990, la production annuelle de CO2 a bondi de 63 %.

Depuis 1750, la concentration de méthane dans l’atmosphère a augmenté de 156 % pour atteindre un taux inégalé depuis 800 000 ans. Une tonne de méthane a un pouvoir de réchauffement global 84 fois plus élevé en moyenne qu’une tonne de CO2 sur une période de vingt ans. Dans ce nouveau rapport, le GIEC alerte plus que jamais sur la nécessité de réduire les émissions de méthane, sans quoi l’objectif d’1,5°C serait hors de portée. Environ 60 % des émissions de méthane sont imputées à l’agriculture, liées notamment à l’élevage de ruminants. Environ un tiers seraient émises dans le cadre de l’exploitation et du transport d’énergies fossiles. 

Les hommes parviendront-ils à contrer les perspectives les plus pessimistes de ce rapport ? Pas sûr.

Possibilités offertes à l’humanité…

Mais ce qui est certain, c’est que les hommes ont la possibilité de limiter les conséquences dramatiques de ce réchauffement. En remettant à nouveau des haies autour des champs et des prés, qui avaient été supprimées à tort, en creusant des fossés tout autour pour l’écoulement des eaux, en cessant bétonner d’immenses surfaces autour des habitations, en respectant les zones inondables connues depuis des décennies voire des siècles, on évitera ou on limitera les effets des pluies torrentielles et de plus fréquentes, qui emportent tout sur leur passage.

De même, en cessant de construire des habitations au bord des côtes maritimes, on évitera les dommages provoqués par la montée des eaux océaniques. Et il faut bien avoir conscience que cette montée de eaux va entraîner des défis inéluctables pour l’humanité : des villes et de vastes contrées risquent d’être submergés, entraînant de considérables déplacements migratoires.

Doit aller jusqu’à dire que c’est un monde « apocalyptique » que nous risquons de laisser à nos enfants ?!… Cette vision pessimiste se renforce encore en constatant qu’en plus de ces dérèglements climatiques, l’humanité doit affronter dès maintenant deux problèmes majeurs : un problème de pollution dont elle est totalement responsable et qu’elle doit impérativement résoudre, et un problème de surpopulation crucial… Jamais, au cours son histoire plurimillénaire, elle n’a eu à faire face à autant de difficultés.

Ne perdons pas espoir pour autant ! S’il est vrai que c’est un avenir sombre qui se profile à l’horizon de nos descendants, ne doutons pas qu’ils seront capables de prendre à bras le corps les redoutables problèmes qui se posent à eux, et qu’ils sauront faire refleurir notre terre en pleine déliquescence !

Réflexions à l’attention de ceux qui nous gouvernent et de nombreux écologistes…

Réduire le nombre d’automobiles, développer les transports en commun ou le covoiturage pour limiter la pollution, voilà un programme auquel j’adhère à 100%.

Mais je voudrais qu’on m’explique pourquoi, dans le même temps, on veut construire toujours plus d’automobiles. Ne faudrait-il pas savoir ce que l’on veut, et envisager des reconversions pour les fabricants de voitures !?!…

Vouloir remplacer les voitures thermiques par des voitures électriques, me semble aberrant et je pense que dans quelques années on s’en « mordra les doigts ».

Entre autres, parce qu’il faudra augmenter la production d’électricité pour alimenter tous ces moteurs, et parce que, prises dans un « bouchon » monstre sur une autoroute, à la suite de chutes de neiges importantes – comme cela arrive parfois – l’autonomie de ces voitures sera insuffisante.

Si les conducteurs veulent faire fonctionner le chauffage, ils épuiseront leurs batteries, et il faudra remorquer toutes ces voitures ! Belle pagaille en perspective et belle dépense d’énergie !… Enfin, il me semble qu’on passe à la « trappe » le recyclage, à plus ou moins brève échéance, de toutes ces batteries, constituées d’éléments particulièrement polluants…

Je m’interroge également sur le recyclage des panneaux solaires. Leur durée de vie est limitée dans le temps, et je crains qu’avec eux nous laissions un cadeau empoisonné à nos enfants…

………………………………………………………

Les écologistes sont vent debout contre l’énergie nucléaire. Ils ont obtenu le démantèlement de la centrale de Fessenheim et crient victoire. D’autant plus que, dans les années à venir, quatre autres centrales doivent être démontées.

Cependant, d’après mes informations, les centrales nucléaires produisent l’énergie la plus propre qui soit, celle de Fessenheim était la plus sûre et pouvait fonctionner encore pendant vingt ans !…

A la suite de ce démantèlement la France, pour compenser son déficit en électricité importera du courant produit en Allemagne, par des centrales à… charbon !!!… Trouvez l’erreur !… Enfin, pour maintenir le bassin d’emploi de Fessenheim, le gouvernement envisage de créer un « technocentre de métaux radioactifs » !!!… Je ne vois pas en quoi il sera moins dangereux que la Centrale ?…

………………………………..…………………

Notre planète se meurt de pollution. Le constat est indéniable. Un véritable continent de plastique croît de plus en plus en plus, au milieu du Pacifique. Les poissons mangent ce plastique, ou en ingèrent de microparticules, qui se retrouvent ensuite dans nos assiettes, et provoquent de nombreuses maladies, dont des cancers…

Alors oui, dans ce cas-là, et dans bien d’autres, il faut tout faire pour lutter contre la pollution qui tue, à plus ou moins brève échéance, la faune et la flore de notre planète.

…………………………………………

Mais j’invite à beaucoup d’humilité tous ces écologistes qui prétendent que l’homme est responsable du réchauffement climatique et qui s’imaginent qu’ils vont l’enrayer. Je ne nie que l’homme puisse avoir une part de responsabilité dans ce phénomène, mais à mon avis, elle est plus qu’infime.

Nous savons que, depuis des millénaires et des millions d’années, la Terre, notre Terre, ne cesse de se réchauffer et de se refroidir, sans que l’homme y soit pour quelque chose. Il suffit d’explosions solaires inhabituelles, d’une oscillation de l’axe de la Terre, ou autres phénomènes qui nous échappent totalement.

Au fil du temps, les océans et les mers n’ont cessé de monter et de descendre. Le drame, aujourd’hui, ce sont les centaines de millions d’hommes qui vont être impactés par la hausse du niveau de ces mers et océans.

Pendant les siècles et des millénaires, ces changements étant beaucoup plus lents, les populations impactées étaient beaucoup moins nombreuses et pouvaient se déplacer au fil des générations sans être gênées par ces variations de niveaux.

Je demande donc aux écologistes de faire preuve de réalisme vis-à-vis du réchauffement climatique contre lequel, à mon avis, nous ne pouvons rien. Ou plus précisément, dont nous ne pouvons qu’anticiper quelques conséquences, en construisant des digues, par exemple, en déplaçant les populations menacées ou autres. Mais ne pouvons éviter ce phénomène.

………………………………………

Par contre, j’invite tous ceux qui nous gouvernent à prendre des mesures efficaces pour lutter contre la pollution qui nous tue à petit feu.

Pour cela, il ne faut pas se contenter de beaux discours les veilles d’élections, mais décréter des lois et veiller à leur respect. J’ai conscience de la complexité d’une telle lutte et des profondes répercussions qu’elle aura sur l’économie mondiale, dont il faudra changer les règles. Mais la survie de l’humanité dépend de cette lutte, et des efforts collectifs et solidaires de chacun de nous.