Vers quels abîmes Macron conduit-il la France…

Voici que « Macron » – je ne l’appelle plus depuis longtemps « Monsieur le Président de la République » et je cesse, aujourd’hui, de faire précéder son nom de « Monsieur » parce que sa conduite ne mérite aucun de ces titres, qu’on attribue aux personnes dignes du moindre respect.

Voici donc que Macron – ayant perdu toute crédibilité en France comme à l’étranger- pour se donner un semblant d’une importance qu’il n’a plus, a annoncé le 24 juillet, la prochaine reconnaissance de la Palestine par la France. L’annonce officielle sera faite au cours de l’assemblée générale des Nations unies en septembre 2025 à New York.

Il a pris « seul » cette décision, au mépris de tous les articles de notre constitution, qui exigent l’engagement du Premier ministre et d’autres ministres du gouvernement.

Par ailleurs, pour devenir membre de l’ONU, il faut la reconnaissance d’autres États et gouvernements, et l’instauration de relations diplomatiques avec le pays qui doit être reconnu. Tel n’est pas le cas de la Palestine actuellement.

Et surtout, jamais l’ONU ne reconnaîtra un état terroriste, comme la Palestine, qui crie haut et fort sa volonté d’anéantir Israël.

S’il est juste d’envisager la mise en place de deux Etats – Palestine et Israël – cela suppose que le Hamas finisse de rendre les derniers otages vivants, qu’il détient encore, dans les pires conditions, au fond de ses souterrains les plus sordides, et qu’il reconnaisse l’Etat d’Israël.

Macron se moque totalement de la barbarie des massacres du Hamas du 7 octobre 2023. Et quand nous savons que ce mouvement terroriste recrute aujourd’hui de plus en plus de jeunes membres, et que tous se cachent sous les hôpitaux et sous les centres médicaux de la bande Gaza, il n’en a visiblement « que faire » !…

La vérité c’est que Macron, constatant qu’il n’aura rien laissé de bon en France et au monde, pendant ses deux quinquennats, cherche désespérément à rester dans l’Histoire comme grand homme qui aura réussi à ramener la paix au Proche-Orient.

Mais force est de constater que, non seulement, il aura plongé la France dans le plus grand chaos politique, financier, national et international de sa longue histoire – qu’il est à l’origine de l’augmentation abyssale des intérêts de la dette – mais qu’il se montre également incapable de ramener un peu de sécurité en France – mission qui fait partie de ses fonctions régaliennes.

Ainsi, loin de soutenir le ministre de l’Intérieur, il lui met les bâtons dans les « roues » et de plus, le jour où ce dernier a un rendez-vous avec lui, il se comporte en lâche, en « refilant » ce rendez-vous avec le Premier ministre.

Il est beaucoup trop orgueilleux pour démissionner. Pourtant il est évident qu’il ne mérite plus d’être à la tête de la France.

L’Histoire jugera.

Quand l’horreur et la barbarie dépassent l’horreur et la barbarie imaginables !…

Les médias et les réseaux sociaux, font état quotidiennement d’un monde de plus en plus violent, avec l’effondrement des Etats de droit, les guerres ici et là, les innombrables attentats, les féminicides, les homicides, les appels à la haine, etc., etc. Et la première préoccupation des Français, aujourd’hui, n’est plus le pouvoir d’achat, mais la sécurité.

Et le drame, c’est que l’abominable devient la norme, et que nous courrons le risque de nous y habituer.

Mais, aujourd’hui, un pas irréversible dans l’horreur et dans la barbarie, vient d’être franchi, pas irréversible contre lequel, les meilleurs services de sécurité et policiers, ne peuvent, hélas ! plus rien.

Deux vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, montrent la mise à mort, le 15 juillet, près de Nîmes, d’un dealer de 19 ans, assis au sol, entièrement enroulé de ruban adhésif, exécuté d’une balle dans la tête et deux dans le thorax. La seconde vidéo le montre ligoté, aspergé d’essence, puis enflammé avec un briquet.

Il s’agit de rivalités entre bandes de narco-trafiquants, voulant marquer leur territoire et jamais, non jamais encore, un tel degré de sauvagerie n’avait été atteint.

Ces bandes rivales veulent semer la terreur dans tout le pays, ont perdu toute humanité, n’ont pas peur de la mort, et s’imposent désormais par les menaces et par la peur.

A bon entendeur, salut ! Quiconque, dealer ou complice, policiers, famille, sera abattu s’il tente de s’opposer à ces trafics. Et c’est le règne de la corruption complète. Des policiers, des membres de leurs familles, ou autres risquent d’être abattus, s’ils refusent de devenir complices, ou s’ils n’obtiennent pas la complicité de gardiens de prison, de magistrats, etc. Les sommes proposées – 150 000 euros ! – pour acheter leur accord, peuvent tenter certains attirés par l’argent…

La vérité est glaçante : les narco-trafiquants ont gagné la guerre ! Ils tiennent pieds et poings liés, toute une jeunesse perdue – avec des mineurs d’une dizaine d’années – n’ayant plus aucune valeur humaine, dont les héros sont les terroristes du Hamas, les pires criminels et assassins, alors que jusqu’à présent, on appelait « héros », les hommes et les femmes, qui protégeaient, soignaient, sauvaient les autres, et étaient prêts à sacrifier leur vie à cette fin.

Alors doit désespérer ? Il existe, en fait, une solution, et une seule, et elle demande le courage et la volonté de tous les consommateurs.

Il faut impérativement, pour supprimer les réseaux de drogue, supprimer la consommation. Tout consommateur de drogue, petit ou gros, doit savoir qu’il est un complice de ces trafics et les alimente. De plus, il doit prendre conscience que sa consommation nuit terriblement à sa santé, à son équilibre vital, et risque de lui laisser des séquelles irréversibles.

Il est bien évident que s’il ne bénéficie pas d’une aide médicale pour cesser de se « shooter », il n’y arrivera jamais. La suppression de sa dépendance est donc dans la main de l’Etat et des services de santé. Mais, ne nous faisons guère d’illusions : l’Etat et l’Assemblée nationale ont aussi leurs consommateurs. Il s’agit d’un là d’un fait bien connu. Alors que peut-on attendre d’eux ?…

J’essaie de toujours achever mes chroniques par une note d’espoir. Hélas ! dans le cas présent, je ne cache pas mon inquiétude et mon pessimisme… Cependant, j’ajoute qu’il reste, pour les croyants la prière et la confiance en la Providence…