L’humanité bientôt dominée par ses robots…

Emoi dans les milieux scientifiques et dans les médias : l’intelligence artificielle est-elle sur le point de supplanter l’intelligence humaine, après la victoire de l’ordinateur AlphaGo contre le Sud-Coréen Lee Sedol, n°3 mondial de go ?

Sur le plan des calculs, de la rationalité, il n’y a aucun doute : l’homme ne fait pas le poids par rapport aux machines qu’il arrive à créer.

Mais l’homme n’est pas seulement un être de calculs et de rationalité. C’est aussi un être de sentiments, d’émotions, un être de chair et de sang, en un mot, un être de cœur. Un être qui a une conscience et dont la conduite obéit – ou désobéit – à des règles morales.

Les robots les plus perfectionnés resteront toujours incapables de prendre des décisions que seule une conscience évoluée peut prendre.

C’est ainsi qu’on cite l’exemple de cette voiture sans chauffeur – Google-car – qui a provoqué un accident pour ne pas avoir su déroger au code de la route au moment où il aurait fallu le faire, et où un être humain responsable l’aurait fait.

Non ! la machine ne remplacera jamais l’homme, mais il convient cependant que l’usage des robots soit limité et sérieusement encadré.

Qu’adviendrait-il si un robot – après une série d’analyses poussées et d’une logique implacable – décidait de lancer une bombe atomique contre un ennemi menaçant et risquait de provoquer une nouvelle mondiale qui détruirait toute la planète ?…

On le voit, avec ce dernier cas, rien ne peut remplacer l’intelligence humaine, sa capacité à peser le bien et le mal et son art de négocier dans les situations les plus tendues. Nous le savons, l’informatique raisonne par oui et par non. Or l’être humain est beaucoup plus complexe et ne peut se satisfaire de ces seuls raisonnements binaires…

Mme Vallaud-Belkacem, M. Peillon et vous tous les iconoclastes du gouvernement, ça suffit !

Mesdames et Messieurs les socialistes, depuis un an et demi que vous êtes au pouvoir, vous vous acharnez à détruire les liens millénaires de la famille, et maintenant ça suffit.

Sachant parfaitement – hélas – qu’un mensonge longtemps répété peut devenir une vérité, vous avancez insidieusement, jour après jour, semaine après semaine, vos pions pour détruire les fondements de notre civilisation judéo-chrétienne.

Et pour mieux réussir, vous prétendez que celles et ceux qui s’opposent à votre politique funeste sont des personnes d’extrême droite, des extrémistes peu fréquentables et non crédibles.

Alors, je vous le demande, les centaines de milliers de personnes, voire le million de manifestants, qui ont défilé à Paris et dans les rues de province à plusieurs reprises, pour s’opposer à votre loi contestable du « mariage pour tous » étaient-ils antirépublicains, fascistes ou fascisants ?

Vous faites malhonnêtement l’amalgame entre quelques extrémistes condamnables et la majorité de vos opposants.

Non contents d’avoir fait voter la loi sur le « mariage pour tous » – sans avoir eu le courage de faire un référendum – vous vous apprêtez maintenant à faire passer, en douce, la PMA (Procréation Médicalement Assistée) pour les couples d’homosexuels et la GPA (Grossesse Pour Autrui).

Alors que donner la vie et avorter sont des actes qui sont loin d’être anodins, et alors que la loi Veil avait établi un consensus difficile sur l’avortement, vous n’avez rien trouvé de mieux que de remettre en question cette loi, quitte à banaliser un acte de la plus grande gravité.

Au nom de l’égalité, vous gommez peu à peu de nos racines chrétiennes – vous essayez de supprimer certaines fêtes chrétiennes inscrites dans notre calendrier depuis des siècles, et vous tentez de les remplacer par des fêtes musulmanes ou autres. Vous détruisez l’unité républicaine de notre nation en encourageant les divisions fatales engendrées par les communautarismes.

Et maintenant – malgré vos démentis mensongers – au nom de l’égalité des sexes, vous tentez d’introduire la théorie du genre dans nos écoles.

Je pense être républicain, respectueux de la démocratie et avoir le même respect pour les hommes et pour les femmes, quelles que soient leur origine, leur condition sociale ou leur religion, mais j’ai le regret de vous dire que l’homme et la femme ne sont pas égaux et qu’au nom de l’égalité vous nous conduisez dans les pires errements !

Ignorez-vous que la nature a fait l’homme et la femme différents ?! Et à vouloir gommer à tout prix ces différences vous êtes en train de bâtir une société asexuée faite d’hommes efféminés, ayant perdu leur virilité, et de femmes mal dans leur peau.

Non ! l’homme et la femme ne sont pas égaux. Ils sont complémentaires et s’enrichissent de leurs différences, aussi nous vous demandons de mettre un terme de toute urgence à vos mesures idéologiques, sectaires, et destructrices !

Je vous rappelle enfin que notre Président s’était engagé, pendant la campagne électorale, à rassembler les Français et que depuis qu’il a été élu, il s’ingénie à les diviser, à imposer des lois que la majorité ne demandait pas, au détriment de notre économie qu’il se montre incapable de relever.

Le mythe de l’égalité

Les chantres du mariage gay invoquent le droit à l’égalité homme-femme. Quelle bêtise !

L’homme et la femme ne sont pas égaux mais complémentaires.

La recherche de l’égalité en tout est un mythe et conduit aux plus grosses aberrations.

La nature nous a tous faits différents. Pour le sexe, pour les aptitudes physiques, pour les capacités intellectuelles, manuelles, etc. Et elle a voulu que la femme enfante et l’homme engendre.

Ce sont là des faits ne l’on ne saurait nier et l’égalité veut que nous nous enrichissions de ces différences en accordant à chacun un même respect.

L’uniformité est une source d’appauvrissement.

Ceux qui veulent imposer le mariage pour tous au nom de l’égalité, nient les lois de la nature et les différences fondamentales entre la femme et l’homme !

Nous avons tous un rôle à jouer sur cette terre et nous ne sommes pas clones interchangeables. Nous avons tous reçus – en naissant, par nos parents, notre entourage, notre éducation, etc. – des dons que nous devons cultiver et dont nous devons faire profiter la communauté.

Ce peut être le don de la parole, de l’écriture, du dessin, du chant, de la communication, de l’organisation, etc. Ce sont là des richesses complémentaires et qui doivent inspirer le respect.

Notre devoir, c’est de donner selon ce que nous avons reçu. Celui qui a peu reçu, donnera peu. Et celui qui a beaucoup reçu, beaucoup.

Dans une entreprise, il n’y a pas un grand patron et un petit ouvrier. Il y a deux hommes qui méritent la même considération, et qui participent tous deux à la vie et au succès de l’entreprise.

Affaire DSK : honte aux médias !

Que les journaux à sensation se gargarisent avec l’affaire DSK, soit ! Mais, que David Pujadas, sur Antenne 2, consacre plus de vingt-cinq minutes à cette affaire, c’est vraiment une honte ! Les téléspectateurs ont droit à tous les détails et d’autant plus nombreux qu’on ne sait rien ! L’art de tout dire à partir de rien !…

N’y a-t-il pas en France et dans le monde, des sujets d’actualité autrement plus importants ?…

Et, ce que je dis d’Antenne 2, est sans doute valable pour les autres chaînes. Hier soir, Marie Drucker a trouvé bon de faire un historique de l’affaire et de rediffuser les photos humiliantes de Dominique Strauss Kahn menotté.

Tous ces journalistes se repaissent de ce qu’il y a de plus bas et plus vil en l’homme. Il n’y en a pas un seul pour élever le débat. C’est vraiment affligeant !…

DSK : la descente aux enfers…

L’infidélité conjugale appartient au domaine de la sphère privée et la Justice et les médias n’ont pas à s’en mêler. Mais il en est tout autrement du viol.

Si Dominique Strauss-Kahn a réellement tenté de violer cette femme de chambre – et tout porte à le croire – la Justice doit faire son travail et il doit être démis de ses fonctions.

Je sais que la culture américaine diffère beaucoup de la culture française dans le domaine des médias, et que les photos humiliantes de Dominique Strauss-kahn menotté qui nous choquent, n’ont rien de choquant outre-Atlantique. J’avoue cependant qu’elles me révoltent.

Je suis révolté aussi qu’on ait refusé la remise en liberté sous caution de Dominique Strauss-Kahn et surtout qu’on l’ait incarcéré dans la prison la plus violente et la plus dure des USA. Etait-ce nécessaire ?…

Hélas, les USA ont beaucoup à apprendre dans le domaine de la Justice. Je n’oublierai jamais le sort des prisonniers de Guantanamo, privés de tout jugement et soumis pendant des mois et des années aux tortures les plus barbares, indignes d’un peuple qui se veut le champion de la Démocratie.

Si je suis révolté par la façon dont est traité Dominique Strauss-Kahn, il est bien évident que je n’oublie pas la victime, cette femme de chambre traumatisée et qui portera peut-être à jamais les séquelles de cette folle agression. Il est juste que son agresseur soit poursuivi. Mais doit-on le condamner à soixante-dix ans de prison comme on menace de le faire ?…

Dominique Strauss-Kahn est sans doute un brillant économiste, mais c’est aussi un malade sexuel. Son cas relève avant tout de la médecine… Et quoi qu’il en soit, il reste un homme ce que les juges américains semblent avoir complètement oublié.