Loi sur l’immigration. Quand l’exécutif refuse de consulter le peuple.

Nous le savons, Emmanuel Macron n’aime pas la France. C’est un mondialiste qui est contre la souveraineté de la France et nie sa culture. Depuis 2017, il ne cesse d’endormir les Français avec son « en même temps », ses comités « Théodule » et déconstruit chaque jour un peu plus notre pays. Et, mauvais perdant, refusant de se remettre en question, alors que le Parlement vient de refuser l’examen de la loi sur l’immigration, il rend responsable de cet échec, avec morgue, les oppositions.

Quant à Gérald Darmanin il a succombé, lui aussi, aux mensonges du « en même temps ». Il a voulu convaincre la gauche et « en même temps » apaiser la droite, avant de faire l’inverse. Et il a perdu.

La majorité des Français souhaite une loi sur l’immigration. Personnellement je pensais qu’il aurait fallu accepter d’en débattre au Parlement. Les députés ont refusé le débat et je les comprends, car le projet établi par le Sénat avait été complètement détricoté et on aurait abouti à une loi qui n’aurait satisfait personne.

Ce qu’il faut savoir, c’est que l’immigration extra-européenne en France, avec l’arrivée des socialistes en 2012, puis d’Emmanuel Macron, a produit une hausse de 70% du nombre de titres de séjours ! Ainsi en 2022, 480 000 – voire davantage – titres de séjour ont délivrés à des étrangers.

Par ailleurs, le projet de loi prévoyait la régularisation des sans-papiers, ayant une expérience de huit mois pendant les 2 dernières années, dans un métier ou une zone géographique en tension, et résidant en France depuis trois ans. Cela aurait entrainé, la naturalisation d’environ 900 000 clandestins et aurait risqué de s’accompagner d’un appel d’air.

D’autre part, la classe politique était divisée sur l’AME (Aide Médicale d’Etat) et le projet d’AMU (Aide Médicale d’Urgence). La première permet une couverture intégrale des frais de santé accordée aux étrangers en situation irrégulière. Elle est attribuée pour un an, après demande sur dossier, sous conditions de résidence (au moins trois mois en France) et de ressources (environ 810 euros par mois). En 2019, un immigré en situation irrégulière sur deux en bénéficiait. Dans la loi de finances 2023, elle est estimée à 1,14 milliards d’euros.

Vu le coût de l’AME, les sénateurs LR et leurs alliés centristes avaient voté en commission un article restreignant cette aide pour la remplacer par une simple aide médicale d’urgence (AMU) ne concernant que les soins préventifs et quelques maladies graves. Mais pour certains politiques une telle mesure était dangereuse, car il était difficile de décider des maladies « non urgentes et donc non prises en prises en charge par l’AMU, et surtout il y avait un risque de voir certaines maladies se développer, donner naissance à des contagions et au final que l’état de santé général de la France se détériore…

Notons enfin que ce choix entre l’AME et l’AMU, dans le projet de loi qui a été refusé par le Parlement, était conditionné par des visées politiciennes : si le gouvernement avait gardé l’AME en l’état, il aurait perdu les vote de la droite ; s’il avait soutenu l’AMU il aurait fracturé sa majorité et perdu les votes de la gauche.

Notons d’autre part qu’Emmanuel Macron souhaite une politique de peuplement et que Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie auprès de Bruno Lemaire, déclare qu’il faudra faire venir 100 000 ou 200 000 étrangers pour faire tourner l’industrie.

C’est oublier qu’aujourd’hui, sur chaque classe d’âge, la France perd 150 000 jeunes qui finissent sans qualification, sans formation et sans emploi. Et c’est oublier également que chaque année plusieurs centaines de milliers d’étudiants, dans les Université, obtiennent des diplômes d’étude supérieure et ne trouvent pas de places dans le marché de travail où l’on n’a pas besoin de leur qualification.  Alors plutôt que de vivre de subventions versées par l’Etat et payées par les contribuables, pourquoi tous ces jeunes n’accepteraient-ils pas de de travailler pendant quelques années, avec des salaires modestes, et d’occuper ces places pour lesquelles Roland Lescure veut faire venir quelque 150 000 étrangers ?

Rappelons que le mot « métier » signifie à l’origine « service ». Qui que nous soyons, notre première ambition ne devrait-elle pas d’être au « service » de la communauté des hommes rassemblés dans une même fraternité ? Il n’y a pas de sot métier et cela bien sûr n’interdit de chercher à « grimper » dans l’ascenseur social.

Une évolution révélatrice de la mentalité des Français doit être également notée : en 1990, 60% d’entre eux déclaraient que le travail était très important dans leur vie, contre 31% qui privilégiaient les loisirs. Aujourd’hui les valeurs se sont inversées : 21% disent que le travail est très important, contre 42% qui mettent les loisirs en première place.

Cela est très grave et correspond à la philosophie du bonheur venue des USA. Pour les philosophes de ces Etats, pour être heureux, il ne faut surtout plus penser aux autres, ne plus être prêts à se sacrifier pour une cause qui nous dépasse, mais il faut avant tout « s’aimer soir-même » ! Et cela correspond à l’effondrement en 70 ans du catholicisme et du communisme.

En 1950, plus de 90% des Français étaient baptisés ; ils ne sont plus aujourd’hui que 30% et le nombre des prêtres diocésains est passé de 45 000 à 4 5000. De même l’électorat communiste est passé de 25% à 2,5%. Ainsi l’espérance du bonheur dans l’Au-delà chez les chrétiens, et la croyance d’un bonheur ici-bas chez les communistes née de la solidarité, ont disparu et laissé place à la recherche d’un bonheur immédiat et égoïste.

Enfin, soyons réalistes et regardons la politique de « peuplement » appliquée par Emmanuel Macron. Elle consiste à désengorger l’Île de France de tous ses clandestins et à les envoyer par dizaines dans de petites communes 2 000 et quelques habitants, qui n’ont pas été consultés. Cela jette le trouble le plus complet dans ces communes auparavant paisibles. Bien souvent ces clandestins privilégiés par rapport aux habitants, sûrs de leurs droits ne respectent rien et les habitants sont condamnés à faire des pétitions pour demander leur départ. Pétitions qui, dans la plupart des cas, n’aboutissent à rien.

oilà donc la politique migratoire du gouvernement. Et tout laisse à penser que si les députés n’avaient pas rejeté le projet de loi porté le 11 décembre, cette politique qui détruit notre pays, son économie et la tranquillité de ses habitants eût été renforcée. Reste à savoir quel résultat sortira de la Commission Mixte Paritaire (CMP) destinée à « retricoter » une nouvelle loi…

La religion des « droits de l’homme » – Un piège et un mensonge redoutables…

Après la désertion des églises par les catholiques et après la chute du communisme, une nouvelle religion a vu le jour : celle des « droits de l’homme ». Aussi, aujourd’hui, ce n’est plus le peuple qui est souverain, ce sont les dogmes de la religion des « droits de l’homme », religion mortifère pour les peuples européens.

Le culte des « droits de l’homme » veut instaurer le bien sur la terre, avec une société parfaite, fondée exclusivement sur le droit des individus, et dans laquelle le monde ancien serait remplacé par un monde cosmopolite. Utopie ! Complète et dangereuse utopie ! dont l’islam, en Europe, tire le plus grand profit.

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Nous le savons, l’islam ne fait pas la différence entre le spirituel et le temporel. Il combine le religieux, le juridique et le politique. Aussi, toute concession faite à l’islam religieux est une concession faite à l’islam juridique et politique.

Au nom des sacro-saints « droits de l’homme », l’islam impose ses revendications vestimentaires, alimentaires et autres. En un mot, il impose ses revendications identitaires qui deviennent droits du groupe et transforment peu à peu les pays européens en terres musulmanes.

Il faut impérativement avoir conscience que l’islam est avant tout un système politique et juridique, qui fonctionne en France et dans les autres pays européens comme une machine de guerre dirigée contre la civilisation européenne dans le but de lui substituer la civilisation arabo-musulmane.

Si nous laissons se poursuivre la conquête musulmane, nous tomberons dans un système structurellement ultra-discriminatoire (à l’encontre des non-musulmans, des femmes, des esclaves) et négateur de la liberté d’expression. La Déclaration sur les droits de l’homme en islam de 1990 interdit d’exprimer toute opinion «en contradiction avec les principes de la Charia».

Ne nous faisons pas d’illusions : dans le projet islamiste, l’Europe occidentale est redevenue une terre à prendre, une proie pour l’islam. Le moment est venu pour les musulmans de reprendre la conquête de l’Europe occidentale rejetée il y a un millénaire… Un indice de cette volonté est le nom donné à de nombreuses mosquées créées en France, rappelant des figures importantes de la conquête de l’islam.

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Toute idée de cité et de patrie, suppose la distinction entre citoyens et non-citoyens, entre nationaux et étrangers. Or, au nom des « droits de l’homme », les pays européens ont aboli cette distinction fondamentale. Les collectivités nationales n’ont plus le droit de vivre comme elles le souhaitent. Elles ont perdu leur souveraineté démocratique qui permet d’assurer à un peuple la maîtrise de son destin, de son territoire, de son identité, de son patrimoine matériel et immatériel.

Refusant cette souveraineté, la religion des « droits de l’homme » a détruit l’idée de patrimoine national, veut contraindre à le partager, à le mettre en commun. Bref, c’est une nouvelle forme de communisme.

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Si bien des immigrants viennent en Europe et en France sans arrière-pensées colonisatrices et conquérantes, il est évident que leurs arrivages massifs représentent un danger pour notre continent et pour notre pays. L’Histoire montre, en effet, qu’une immigration numériquement minoritaire mais vigoureuse, peut s’emparer durablement du pouvoir et dominer la population autochtone. Souvenons-nous des Wisigoths, des Burgondes et des Francs.

D’ailleurs, certaines personnalités musulmanes ne cachent pas leur volonté de conquête : « Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques nous vous dominerons. » dixit en 2002 le Cheikh Youssef al Qaradawi de l’UOIE (Union des organisations islamiques européennes, dont la branche française est l’UOIF).

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S’il faut – bien évidemment et humainement – secourir les réfugiés, il ne faut pas leur laisser penser qu’ils pourront s’installer durablement chez nous. Dès que la situation sera rétablie dans leurs pays, ils seront invités à y repartir. D’ailleurs, si l’accueil des enfants, des mères et des vieillards se justifie moralement, celui des hommes jeunes et adultes doit nous interpeller : leur place ne serait-elle pas d’abord dans leurs pays, sur le sort desquels la plupart d’entre eux semblent avoir tiré un trait rapide ?…

D’autre part, dans bien des cas, derrière la qualité de « réfugiés », se dissimule une immigration économique motivée par une recherche de vie plus facile.

On peut se demander si l’Europe sera capable d’absorber les dizaines de millions d’individus venus chercher sur son sol une existence plus facile. Si elle tente de le faire, ne sera-t-elle sera pas condamnée à périr à plus ou moins long terme ?…

L’Europe devra donc reconduire dans leurs pays cette masse d’immigrés, mais en débloquant des fonds considérables d’aide au développement pour permettre à ces pays d’accéder à des niveaux de vie décents, et en veillant à ce que ces fonds profitent réellement aux populations dans le besoin, et non pas à l’enrichissement de quelques potentats cupides et peu scrupuleux…

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Les fanatiques d’une immigration érigée en « droit de l’homme » prétendent mener en faveur des étrangers entrés clandestinement en France un combat citoyen. C’est une imposture : leur combat est un combat contre la cité et contre la citoyenneté, un combat anti-citoyen et anti-démocratique.

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En interdisant la construction de minarets sur son territoire, la démocratie helvétique, « la plus ancienne et la plus exemplaire du monde », n’a aucunement restreint la liberté religieuse des musulmans. Elle a simplement instauré une barrière destinée à leur montrer que la Suisse n’était pas une terre d’islam, que la civilisation arabo-musulmane n’y était pas chez elle, et ne devait pas chercher à y imposer ses mœurs et ses règles de droit prétendument divines.

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Il est permis de se demander si la politique de repentance à la mode en France, n’entraîne pas, dans les jeunes générations, un sentiment de culpabilité, un amenuisement de la fierté d’être français, une baisse de l’amour de la France, et finalement une perte du sentiment identitaire…

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Notre « communauté nationale » n’est plus qu’une fiction : sur le territoire de la France, nous somme deux peuples, deux civilisations face à face, et il est légitime que le peuple autochtone préserve sa survie en restant maître de son pays.

Un groupe humain peut-il tolérer en son sein la présence d’éléments susceptibles de le combattre de l’intérieur ? La question est grave. Très grave. Mais souvenons-nous des Etats-Unis, pendant la Seconde Guerre mondiale : après Pearl Harbor, ils ont interné dans des camps tous les ressortissants d’origine japonaise. Cette décision est très critiquée aujourd’hui au nom des « droits de l’homme ». Mais dans le contexte de l’époque, n’était-elle pas indispensable et légitime ?…

Ne faut-il pas impérativement expulser les ennemis de l’intérieur et pour cela passer outre les interdits de la Cour européenne des « droits de l’homme » qui refuse qu’on puisse faire un apatride ?… Et ne faut-il pas que l’Europe bloque immédiatement l’immigration et la venue de réfugiés, et fasse savoir qu’elle ne peut pas accueillir un seul musulman de plus, vu la dangerosité pour elle de la présence islamiste, qu’il s’agisse des attentats ou de la mécanique conquérante.

Les réfugiés musulmans ont pour vocation d’être accueillis dans des pays musulmans !

Il faut que les musulmans présent sur le sol européens aient conscience que, malgré la liberté de culte qui leur est accordée, l’islam politique n’y est pas légitime. Il n’est pas légitime à cause de son mélange du spirituel et du temporel, parce qu’il refuse la liberté de pensée, par l’infériorité qu’il inflige aux femmes et aux non-musulmans, par la caution qu’il apporte à l’esclavage, par tous les appels à la violence contenus dans ses textes saints.

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Toutes ces vérités, les dirigeants européens ne sont pas prêts à les dire. Mais viendra peut-être le jour, hélas, où ils risqueront d’y être acculés par la violence djihadiste. Où un massacre encore plus épouvantable que les précédents, commis par des islamistes, poussera enfin à la destruction des mosquées salafistes, à l’expulsion des prédicateurs étrangers et à la reconquête de toutes les zones de non-droit dans lesquels médecins, infirmières, gendarmes, pompiers, etc., ne peuvent plus pénétrer !

Ces étrangers – ou ces Français issus de l’immigration – qui n’aiment pas la France.

Un journaliste d’un grand quotidien notait dernièrement dans son éditorial : « Nos compatriotes découvrent, jour après jour, que leur pays abrite de plus en plus de Français – puisque la plupart le sont – qui détestent la France. Et ne s’en cachent pas. »

Et il rappelait toutes ces flambées de violence – à la suite des matches de la coupe du monde avec l’Algérie, à la suite des manifestations pro-palestiniennes – dont les auteurs sont des jeunes gens « issus de l’immigration de l’Afrique du Nord et de l’Afrique subsaharienne ».

Il usait là d’un euphémisme pour ne pas dire « maghrébins ». Car enfin, osons le dire, au risque de passer pour un odieux raciste, ces jeunes qui cassent tout, qui brisent tout, qui pillent tout, sont la plupart du temps des maghrébins !

Ils haïssent la France mais profitent par contre, sans vergogne, de tous les avantages sociaux, économiques, financiers, etc., qu’elle leur octroie généreusement et sans contrepartie.

Ils bénéficient du laxisme des autorités qui au nom de l’intégration acceptent tout, tolèrent tout, même le plus insupportable et qui nous interdisent d’appeler chat un chat.

Il faut vraiment se faire violence pour ne pas devenir raciste, et pour ne pas faire un amalgame injuste et déplacé entre ces jeunes dévoyés et tous les jeunes issus du Maghreb.

Dire que la plupart des problèmes que nous rencontrons avec les étrangers ou avec les Français issus de l’immigration, viennent des maghrébins nous expose à des poursuites pour racisme.

Il s’agit là pourtant, me semble-t-il, d’une évidence.

Personnellement, chrétien de cœur, je considère tous les hommes de la terre, comme mes frères et je les respecte. Il n’en est pas hélas de même avec certains musulmans qui imposent leurs lois dans une France de tradition chrétienne, avec la bénédiction du de ceux qui nous gouvernent

Inutile de rappeler une nouvelle fois notre calendrier scolaire dans lequel les vacances de Noël et de Pâques, sont devenues les vacances d’hiver et de printemps ; les cantines halal ; certains supermarchés dans lesquels il n’y a plus ou presque plus que des produits halal ; l’expansion du voile et de la burqa, qui ne sont nullement prescrits par le Coran, et sont pour moi une évidente provocation ; les discours partisans sur la repentance dans lesquels on prétend que les Français n’auraient fait que du mal en Algérie – alors que c’est totalement faux – et dans lesquels on occulte les atrocités innommables commises par le FLN, et tutti quanti.

Je suis fermement opposé à l’escalade de la violence et de la haine, et je souhaite l’entente entre tous les hommes. Mais je me demande comment faire pour enrayer l’engrenage auquel nous assistons actuellement. Le laxisme ne donne – et ne donnera jamais – rien de bon. Seule la fermeté peut mettre un frein à tous ces désordres. Nos dirigeants politiques en auront-ils le courage ? J’en doute quand je vois les tentatives de certains d’établir le droit de vote pour les étrangers…