par Henri LAFFORGUE | Juin 4, 2023 | Actualité
Apparemment le suicide de Lindsay, cette adolescente de 13 ans, scolarisée dans un collège du Pas-de-Calais, le 12 mai dernier, épuisée par un harcèlement qu’elle subissait sans discontinuer, n’a pas suffi aux harceleurs puisque certains ont lancé sur les réseaux sociaux : « cette pute », « cette salope », « elle est enfin morte », et puisque deux de ses amies Maïlys continuent à être harcelées.
La pratique du « pas de vague », pratiquée dans le collège de cette jeune fille, et la façon dont ses plaintes, ici et là, n’ont pas été prises au sérieux, interpellent gravement.
L’enquête déterminera les responsabilités de chacun – du moins espérons-le.
Je note avec peine que – à ma connaissance – les cadres du collège n’ont pas participé à la marche blanche organisée par la famille ; que le ministre de l’Education nationale – Pap Ndiaye – ne s’est pas déplacé au moment des faits, pour soutenir la famille, et ne lui a pas adressé, non plus, de message de réconfort.
Mais je pense que le temps des « bavardages » doit prendre fin et qu’il faut prendre les problèmes à bras le corps.
J’avoue avoir été scandalisé par les propos échangés sur France Info TV, le samedi 3 juin, à 13 heures, par des intervenants qui, en substance, prenaient la défense des harceleurs et les faisaient passer pour des victimes !… Comment peut-on défendre des semeurs de haine, de violence et de mort ?!…
Enfin j’aimerais savoir s’il est difficile que cela, de lever l’anonymat des personnes coupables de harcèlement sur les réseaux sociaux. Ce serait la meilleure arme pour mettre à frein à ces pratiques mortifères. Mais à connaissance, la Justice ne le fait pas au nom de la « sacro-sainte » liberté d’expression, et pour être en conformité, je crois, avec les règlementations européennes !…
Alors, jeunes harceleurs, continuez votre cyberharcèlement, en toute liberté, en toute impunité ! Semez les larmes et la mort autour de vous, sans le moindre état d’âme et par plaisir !… Et n’ayez aucune inquiétude vous trouverez toujours de bonnes gens pour prendre votre défense !…
par Henri LAFFORGUE | Fév 8, 2021 | Actualité, Réflexions diverses
Mes lecteurs l’auront constaté, je me suis abstenu, jusqu’à présent, de toute chronique sur la sur la gestion de la crise sanitaire que nous connaissons.
Pourquoi ? Avant tout par humilité face un mal de la plus grande complexité, parce que j’estimais que je manquais de compétence pour en parler, et enfin parce que je refusais –à propos des acteurs qui gèrent cette crise- de « tirer sur l’ambulance », pour parler familièrement.
Je mesure, en effet, combien la tâche du gouvernement est difficile aujourd’hui, et je sais combien la critique est facile.
Cependant je refuse de me taire plus longtemps et je tiens à formuler ici plusieurs reproches à au gouvernement, aux médias, aux réseaux sociaux et à tous les scientifiques de « pacotille » qui y monopolisent la parole.
– Reproches sur la série de mensonges que les membres du gouvernement ne cessent de nous « déverser » depuis bientôt maintenant un an. Mensonges sur les masques. Mensonges sur les tests. Mensonges sur les vaccins et promesses rarement tenus sur toutes ces questions. Les Français ne sont plus des enfants et ont droit à la vérité. Comment pourraient-ils encore faire confiance à un gouvernement qui ne cesse de leur mentir ?!…
– Mépris de la démocratie en prolongeant l’état d’urgence, en muselant le parlement et en décidant tout par ordonnances.
– Mépris des citoyens quand Emmanuel Macron, en dénonçant, le 21 janvier dernier, la défiance des Français et « une espèce de traque incessante à l’erreur » déclare : « Nous sommes devenus une nation de 66 millions de procureurs. » Il oublie simplement de dire que les Français sont las mensonges dénoncés ci-dessus et des mesures contre la crise qui se contredisent du jour au lendemain.
– Reproches envers le gouvernement d’avoir créé pas moins de treize comités –qu’on peut appeler « Théodule »- au noms ronflants, aussi inefficaces les uns que les autres, avant de faire appel, finalement, à un cabinet américain pour gérer la stratégie relative à la vaccination anti Covid-19.
Deux mots, maintenant, à propos des médias, des réseaux sociaux, et de tous ces pseudos scientifiques, virologues, médecins et autres, imbus de leur science, donnant des leçons péremptoires, contradictoires, et prétendant tout savoir.
Je les accuse de répandre la peur dans la population. Face à une telle pandémie, la première chose est de rester très modeste. Il y a eu d’autres pandémies dans l’Histoire –et même dans l’Histoire récente- les médias n’en parlaient pas et les réseaux sociaux n’existaient pas. Ce n’était peut-être que mieux.
Il y avait bien sûr des morts. Sans doute davantage qu’en temps normal. Mais ces pandémies s’intégraient peut-être plus facilement dans la fatalité d’une humanité se sachant mortelle. Et puis, ces pandémies finissaient par passer, naturellement ou grâce à la découverte de vaccins.
Je sais : il y a aujourd’hui un autre vecteur inquiétant à prendre en compte : c’est la mutation rapide du virus. Cette mutation, bien sûr, rend plus difficile son combat. Mais j’ai la conviction que nous en viendrons à bout.
J’ai conscience d’être très critique dans cette chronique et, bien évidemment, mes lecteurs ont toute la liberté pour la partager ou non.
Mais, pour conclure, je voudrais faire partager au plus grand nombre l’Espoir et l’optimisme inébranlables que je porte en moi, et ma conviction que nous sortirons de cette crise –et peut-être bientôt avec l’arrivée des vaccins.
Réflexions trouvées sur Internet à propos du Covid…
1 an de Covid, on a de quoi faire un bilan mondial :
1,6 millions de décès (prétendus Covid) pour 78 millions de décès, toutes causes confondues, chaque année dans le monde.
Seulement 2 % de décès en plus, qui ont changé la face du monde, contre 98 % de décès qui ne comptent plus. 1,6 millions de morts pour 7,8 milliards d’habitants soit 2 décès Covid sur 10 000 personnes.
Imaginez un village de 5 000 personnes à qui nous aurions enlevé toutes les libertés et que nous aurions totalement détruit économiquement, pour une seule personne décédée d’un nouveau virus en 1 an !
Imaginez le cimetière de ce même village avec 150 funérailles dans l’année, sans que rien ne change, mais un seul décès qui aura modifié la vie de tous ces habitants.
Sans compter que nous n’avons même pas la certitude que ce seul décès soit lié à ce virus.
Ça laisse songeur, n’est-ce pas ?…