Le temps n’est plus à regarder en arrière mais à se projeter dans l’avenir et à faire confiance à Miche Barnier.

Il faut vraiment admirer le courage de Michel Barnier pour avoir accepté, à 73 ans, le poste si lourd de Premier ministre, sans autre ambition que de sortir la France du chaos dans lequel l’ont mise M. Macron et son gouvernement.

Alors qu’il n’a eu que guère plus de quinze jours, pour préparer le budget 2025 – qui aurait dû être préparée dès l’été – il doit affronter la clique des responsables de la dette abyssale de la France, qui font preuve de la pire mauvaise foi et font tout pour lui mettre les bâtons dans les roues.

Il trouve une dette de 3 228 milliards d’euros, et un trou dans le budget 2024 de 166,6 milliards d’euros. Alors que taux du déficit public fixé par Bruxelles devrait ne pas dépasser 3% du PIB, il est actuellement supérieur à 6%. Les mesures de Michel Barnier ont pour but de le ramener à 5% en 2025 et 3% en 2027.

Hélas ! au moment où il faut impérativement « se serrer » les coudes, la majorité des politiques –des anciens ministres comme Gabriel Attal et Gérald Darmanin – le président de la Droite Républicaine Laurent Vauquiez – qui par vengeance vient de faire élire une députée LFI à la présidence des Affaires économiques ! – des députés de tous les partis et même au sein du parti « Ensemble pour la République » anciennement « Renaissance », ne cessent de le critiquer et font tout pour le renverser !

Les mesures qu’il prend valent ce qu’elles valent, mais elles sont prises dans l’urgence à la suite de l’héritage laissé par MM. Macron et Le Maire. Ce dernier qui a été ministre de l’économie et des finances pendant sept ans, savait parfaitement dans quels abîmes plongeait la France. Mais il avait choisi d’endormir les Français et ne fit rien pour redresser la situation. Lors de la passation de pouvoirs, il a eu le front de montrer une autosatisfaction totalement déplacée, et convia plus de mille personnes pour l’applaudir !… (aux frais du contribuable ?…)

Quant à Michel Barnier, comme il l’a dit, il essaie de faire peu à partir de rien. Si par malheur il est renversé, il n’y aura plus aucune solution pour sortir du chaos dans lequel nous sommes. Notre sort sera celui de la Grèce avec, pendant des années, la pauvreté et la misère générale. Tout cela par la faute de politiques égoïstes, individualistes, soucieux avant tout de leur carrière, et indifférents au sort de la France !

Enfin, rappelons les sacrifices de nos soldats qui ont donné leur vie voici plus de quatre-vingts ans pour sauver notre patrie et lui rendre sa liberté.

Aujourd’hui, quels que soient les efforts demandés aux uns et aux autres, nos vies ne sont pas en danger et nous avons le devoir de soutenir Michel Barnier, ultime planche de salut pour la France. C’est un homme d’expérience et bien sur tous les plans. Nous devons impérativement lui faire confiance. C’est notre dernière chance.

Loi sur la fin de vie : matraquage présidentiel et médiatique.

Les partisans de l’euthanasie et du suicide-assisté doivent se réjouir : M. Macron et les médias ont réussi à « conditionner » l’opinion, et maintenant la majorité des Français ne voient là, que la seule solution pour les personnes touchées par des maladies, qui entraînent chez elles d’insupportables douleurs, sans le moindre espoir de guérison.

Mais est-il vraiment nécessaire d’établir une loi universelle, dont les dangers sont habilement masqués : on commencera par euthanasier le vieillard à l’agonie qui a perdu la tête, puis les handicapés physiques ou mentaux, puis tous ceux dont l’héritage est attendu avec impatience, etc., et on en arrivera à la monstruosité des lois sur l’eugénisme des nazis, voici plus de quatre-vingts ans !…

Soyons clair : une personne qui souffre un martyr, qui n’en peut plus, et qui souhaite mourir le plus rapidement et chez elle – sans être obligée d’aller en Suisse ou en Belgique – et pour qui la mort représente seule issue, doit pouvoir bénéficier d’une euthanasie. Mais pour cela il nous semble qu’il n’y a pas lieu d’établir une loi universelle, dont tous les dangers viennent d’être rappelés ci-dessus.

Mais il faudrait que les médias cessent leur hypocrisie. En effet, pour justifier l’euthanasie ils donnent pour exemple des cas extrêmes, et prétendent qu’il s’agit là de seule solution. Tel a été le cas, dernièrement, avec le témoignage – sur France 2 – d’un homme atteint de la maladie de Charcot et qui suppliait qu’une loi permette de lui donner la mort.

Mais ce que les médias ne disent pas c’est que des personnes atteintes des mêmes maladies neurodégénératives ou de maladies aussi terribles et aussi douloureuses, loin de demander à mourir chantent le bonheur de vivre et, malgré leurs souffrances, sont un véritable hymne à a vie et un exemple pour tous.

C’est ainsi que le Figaro du 25 septembre dernier, a donné l’interview d’un homme atteint à 46 ans de la maladie de Charcot. Après trois mois de déprime, cet homme a décidé d’accepter sa maladie et a fondé une association dont le but est de récolter des fonds pour la recherche sur ce type de maladie. Il respire la joie de vive et dévoile que, donner la mort en réponse à une maladie incurable et s’accompagnant de terribles douleurs, n’est pas la seule solution.

Rappelons, une nouvelle fois, que pour accompagner humainement les personnes en fin de vie, il existe des unités de soins palliatifs, dont le nombre malheureusement est insuffisant – seuls 50% de nos départements en sont dotés – et dans lesquelles les personnes à l’approche de la mort sont entourées et franchissent en toute quiétude et sans souffrir ce passage mystérieux vers l’Eternité.

Enfin, il faut rappeler que la vocation du médecin est avant tout de lutter pour la vie et non de donner la mort. Et il faut savoir que la plupart des personnes qui sont partisanes des lois sur la fin de vie, sont des personnes en bonne santé. Et bien souvent le jour où elles sont confrontées à des maladies qui mettent en jeu leur vie, elles changent d’avis…

Et si nous essayions de réenchanter la France et le monde…

Visiblement la plupart des médias et des réseaux sociaux n’ont qu’un but : semer la peur dans la population en diffusant des informations souvent fausses, et grâces auxquelles ils font du « chiffre » !…

Peu parmi eux se montrent philanthropes et la plupart complaisent dans tout ce qui va mal et dans tout ce qui pousse au désespoir.

Il est vrai que la France et le monde sont bien malades. La France est dans le chaos par la faute d’un président, narcissique et plus mondialiste que français, qui en sept ans et surtout ces derniers mois, l’a plongée dans la crise plus profonde de sa longue histoire.

Quant au monde, la situation est loin d’être plus brillante. Ce ne sont que des peuples déchirés par des guerres sans fin, par la barbarie du terrorisme, victimes de famines, des dérèglements climatiques, etc., etc.

Mais, rappelons-nous de notre défaite en juin 1940. En l’espace de quelques semaines, notre armée qui passait pour la première du monde, a été vaincue par l’Allemagne

90 % des Français ont mis alors leur espoir dans le maréchal Pétain et dans l’armistice. Même si l’Histoire devait le condamner plus tard avec raison, il apparut alors comme un sauveur. Et notons que la plupart des Français évitèrent de « se mouiller » avant la fin de la guerre et ne se rallièrent au vainqueur que lorsqu’il n’y eu plus ni doutes, ni dangers.

Une minorité rejoignit le général de Gaulle à Londres pour continuer le combat.

De même la quasi-totalité des membres de l’armée de l’armistice prépara secrètement – en rusant avec la Commission allemande d’armistice – la reprise de la lutte. Et quand les Allemands eurent envahi toute la France, ils n’hésitèrent à risquer et à donner leur vie, pour la libérer du joug nazi.

N’oublions non plus toutes les femmes, tous les hommes et mêmes les jeunes qui se sont engagés dans des réseaux de Résistance.

C’est grâce à eux tous que la France est libre aujourd’hui.

Alors ne serions-nous pas capables aujourd’hui, alors que la France a la chance unique de ne pas être en guerre, de faire aussi bien que nos aînés, voici quatre-vingts ans ?!…

Réapprenons à rêver en des jours meilleurs ! Refusons tout le mal que distillent chaque jour les médias et les réseaux sociaux. Regardons ce qui va bien et rappelons-nous les souffrances de nos aînés, il y a 80 ans qui, en plus de la pénurie de tout, risquaient à tout moment, d’être arrêtés par la Gestapo ou la Milice, pour le moindre motif, fusillés, déportés.

Aujourd’hui, nous avons la chance d’être dans une FRANCE LIBRE et nous ne risquons pas notre vie du fait de l’occupant – je passe sous silence, bien sûr, l’insécurité quotidienne dont nous souffrons de plus en plus, et à laquelle il est urgent que nos dirigeants mettent un terme.

Enfin, si beaucoup ont du mal à finir les fins de mois, il y a de nombreuses aides sociales et, s’il y a encore beaucoup de pauvreté, il y a quand même moins de misère. Alors replongeons-nous dans la joie et le bonheur des rêves et gardons, chevillée au plus profond de notre cœur l’Espérance sans laquelle on n’obtient jamais l’inespéré !

Pour sauver la France, il faut impérativement que tous les partis politiques soutiennent Michel Barnier

Pour sauver la France, l’heure n’est plus aux querelles d’égo, ni à la recherche d’intérêts personnels. Il faut impérativement que tous les Français qui ont des responsabilités politiques, soutiennent Michel Barnier qui incarne la dernière et ultime chance, pour éviter que la France ne connaisse le sort de la Grèce !

Parlons avec des chiffres concrets de nos dettes, plutôt qu’avec des pourcentages.

Le déficit sur le budget 2024 est de 157 milliards d’euros, ce qui représente une dette 2 368 euros pour chacun des 68 millions de Français !

La dette publique, qui représente l’accumulation des déficits annuels depuis ½ siècle, est de3 160 milliards d’euros, ce qui équivaut à une dette de 46 470 euros par Français !

Pour ramener, d’ici 2027, comme le demande Bruxelles, le déficit sous 3% du PIB il faudrait réaliser 110 milliards d’économies d’ici 2027, soit environ 40 milliards par an !

Qu’ils aient été gonflés ou non, ces chiffres marquent combien grave est la situation financière de notre pays. Et la certitude qu’on ne pourra la rétablir qu’à long terme et avec de lourds sacrifices.

Il faut impérativement que tous ceux qui aiment la France et qui ont des responsabilités politiques, s’unissent pour soutenir Michel Barnier, et refusent les amendements stériles destinés à faire tomber son gouvernement.

Il s’agit là d’un devoir de patriotisme auquel sont appelés tous les chefs de partis, ministres démissionnaires, et autres.

Et il faut également laisser les mains libres à Michel Barnier pour prendre les mesures nécessaires pour ralentir l’immigration qui, loin d’enrichir la France, l’appauvrit. Il ne s’agit là ni de racisme, ni de xénophobie mais d’une réalité.

Si aucune mesure n’est prise rapidement dans ce domaine, notre Patrie de tradition judéo-chrétienne – dont les synagogues et les églises ne cessent d’être profanées -, disparaîtra à jamais.

Là ne s’arrêtera pas la tâche de Michel Barnier. Il devra s’attaquer à la Sécurité, à l’Education nationale si mal en point, à la Santé, à la Défense nationale, etc. Tout cela ne pourra pas se faire en jour. Il faudra faire des priorités.

Il faut espérer, enfin, que M. Macron, qui depuis sept ans se prend pour Jupiter et maître des « horloges », voudra bien s’effacer devant un Premier ministre qui est homme d’expérience, droit, loyal, qui a si bien su négocier le difficile Brexit et qui, s’il a été dans le passé membre de l’UE, ne souhaite aujourd’hui que sauver la France et l’affranchir des diktats de Bruxelles.

Voyage du pape François en Asie du Sud-Est et en Océanie du 2 au 13 septembre 2024

Il est permis de se demander ce que – au début de ce long voyage – le Saint-Père attend de son séjour en Indonésie, qui abrite la plus grande communauté islamique du monde, avec 242 millions de musulmans. Il est vrai que six religions sont reconnues à part égales dans ce pays, et donc que chrétiens et musulmans ont officiellement les mêmes droits.

Mais il faut avoir conscience, en effet, que l’islam n’est pas une religion comme les autres. Alors que le but des religions devrait être de « relier » les hommes entre eux, dans un respect réciproque et face à une même transcendance, l’islam avec tous ses extrémistes et son milliard de fidèles n’a qu’un but : imposer la charia au monde.

Nous la savons l’islam veut devenir la première religion en France, contre le christianisme actuellement.

Alors que le christianisme est la religion de l’Amour, l’islam – qui ne sépare pas le spirituel du temporel et pour qui la Justice obéit aux règles moyenâgeuses du Coran – condamne les infidèles, lapide la femme adultère, etc. D’aucuns diront que c’est exagéré. Tel est cependant le discours de haine de certains chefs djihadistes et de certains imams, dans les mosquées.

Il faut savoir également que les terroristes pratiquent la Taqiya, ruse ou technique de dissimulation, qui sert à masquer leurs véritables intentions : massacrer, massacrer et massacrer encore des femmes, des enfants et des hommes !

Enfin, n’oublions pas la haine des musulmans envers les Juifs, et leur volonté d’exterminer les 15 millions de Juifs en Israël et les 2 millions de la diaspora !

Cette soif de violence contre Israël s’est concrétisée avec l’attaque barbare du Hamas du 7 octobre 2023, qui s’accompagne aujourd’hui d’une montée exponentielle de l’antisémitisme, soutenue par les partis islamogauchistes, qui osent qualifier de « résistants » les terroristes !

Aussi on peut vraiment se demander s’il est possible de s’entendre avec les musulmans. D’autant plus qu’ils veulent imposer leur religion, leurs lois, leurs mœurs dans les pays qui les accueillent. Est-il normal, entre autres, qu’en France par endroits, on ne trouve plus que des aliments casher ?

Il convient d’apporter une nuance entre l’islam et les musulmans. Ces derniers, dans leur quasi majorité sont comme la plupart des hommes. Ils n’aspirent qu’à vivre en paix.

Mais le drame c’est le carcan dans lequel les enferment les préceptes inviolables du Coran, préceptes rappelés par une foule d’imams qui n’ont qu’un but : que l’islam domine le monde.

Personnellement, étant chrétien, je crois au message d’Amour et de Paix de Jésus de Nazareth et j’essaie – bien imparfaitement – de le suivre. Mais j’estime que nos responsables politiques ont l’impérieux devoir de limiter les arrivages massifs de musulmans sur notre sol, et de leur imposer le respect de nos lois et de nos us et coutumes.