par Henri LAFFORGUE | Fév 5, 2023 | Actualité
Pour la énième fois depuis des décennies, la réforme des retraites vient à l’ordre du jour. Il semble indispensable aujourd’hui de faire une réforme en profondeur. Celle proposée – imposée ? – par le gouvernement est-elle juste et équitable ? Vu la complexité de la chose j’avoue, en pesant le « pour » et le « contre » être incapable de juger.
Et je comprends que la majorité des Français soit – a priori – « contre » et que, par peur d’être plus perdants que gagnants et par manque d’informations sincères, tente de s’y opposer.
Mais je condamne les manifestations « monstres » et tous les blocages du pays, organisés par les syndicats qui « surfent » sur l’opposition du plus grand nombre.
Nous sommes en démocratie. Chacun est libre de penser ce qu’il veut du résultat des élections, mais ces dernières se sont déroulées en toute légalité. Aussi, il me semble que ce n’est pas dans la rue que doivent être prises les lois, mais dans l’enceinte de l’Assemblée nationale et du Sénat, avec l’intervention des députés et des sénateurs.
Notons que ces derniers sont élus par le peuple et font remonter les souhaits et les volontés de ce dernier.
Cela dit, je pense qu’on ne peut parler de la retraite sans parler du sens du travail, de son rôle dans la communauté des hommes, de la solidarité et de la fraternité dont il doit s’accompagner.
Nous avons tous besoin les uns des autres, et le travail est un des liens fondamentaux qui nous unissent. Chacun a sa place dans la société et il n’y a ni petits, ni grands. Quelles que soient nos activités – manuelles, intellectuelles, sociales, – que nous soyons handicapés ou autres ; quelles que soient nos croyances, nous ne formons qu’une seule et même humanité dans laquelle chacun a droit au même respect et à des conditions de vie décente,
Il importe donc de veiller à un partage équitable des richesses, pour que chacun ait un minimum pour vivre. Tel n’est pas, hélas ! le cas. Loin de là.
Et nous ne devons pas oublier que nous sommes mortels. Malheureusement l’avidité et la cupidité dominent le monde. A quoi sert d’accumuler toujours plus de richesses, que nous devrons abandonner le jour de notre mort ?!…
Et n’oublions que les mots « métier » et « ministre » ont la même origine : « SERVIR » ! Oui, rappelons que – même si le mot « DROIT » semble primer désormais sur le mot « DEVOIR » nous avons tous le devoir d’être au « SERVICE » de la communauté dont nous sommes tous solidaires !
Note : J’invite tous ceux qui décident des conditions de l’âge des départs en retraite et du montant de leurs pensions – gouvernants, partis politiques, entreprises, syndicats, etc. – à prendre en compte tous les liens de solidarité et de fraternité, tout ce tissu social dans lequel chacun a sa place, son rôle irremplaçable.
J’ajoute également – que l’on soit pour contre le gouvernement et bien que l’élection d’Emmanuel Macron, avec une écrasante majorité, ait été due à la peur du Rassemblement national – on ne saurait contester le résultat du vote. Aussi, il me semble que les débats contradictoires sur la réforme des retraites ont tout légitimité à se dérouler entre les élus du peuple, à l’Assemblée nationale et au Sénat.
Cependant, il saurait être question de contester la légitimité du droit de grève. Mais les syndicats, quand ils bloquent l’activité complète de la France, (raffineries, transports, etc.), quand ils empêchent de travailler ceux qui le veulent et plongent dans le plus grand embarras des millions de nos concitoyens, outrepassent leurs droits !
De même, il faut rappeler que les lycéens n’ont pas le droit de faire grève et de bloquer l’accès des lycées !…
Mais il est permis de se demander par moment si la France est encore un pays de droit !
par Henri LAFFORGUE | Sep 1, 2022 | Actualité
Loin de moi l’idée de dénigrer les musulmans
dont d’ailleurs un grand nombre sont français.
Mais j’entends faire ici le procès de tous ceux –
Français on non – qui vivent en France
refusent de se soumettre à nos lois
veulent nous imposer leurs mœurs,
notamment leurs pratiques religieuses.
Et je découvre – avec la plus grande inquiétude –
qu’Emmanuel Macron – lors de sa dernière visite en Algérie –
après être allé déposer une gerbe
devant un monument en hommage
aux « martyrs » algériens de la guerre d’indépendance,
a annoncé l’établissement d’une commission mixte
d’historiens algériens et français
pour étudier les archives sur la colonisation
et la guerre d’Algérie.
Il y malheureusement tout lieu de penser
que dans cette commission
la France va faire, une nouvelle fois, acte de repentance,
et que tous les jeunes d’origine algérienne
de nos banlieues, haïront un peu plus notre Patrie !…
le 23 octobre 1954, soit 9 ans après la fin
de la Seconde Guerre mondiale,
une convention était signée entre la France,
les Etats-Unis, le Royaume-Uni, d’une part,
et la République fédérale d’Allemagne, d’autre part,
dont le but était de poser les bases d’une paix durable.
Dieu sait les atrocités auxquelles avait donné lieu
cette guerre franco-allemande.
Pourtant, malgré cela, les deux pays se sont réconciliés.
Pourquoi, oui pourquoi, soixante ans après la fin de la guerre d’Algérie,
nos deux pays sont-ils incapables de se réconcilier ?
Parviendra-t-on un jour à aller de l’avant,
d’autant plus que les jeunes générations ne sont pas concernées
par cette guerre et n’ont pas à en assumer les fautes ?
Toi, femme voilée…
Toi, femme voilée…
Tout de noir vêtue,
Et dont l’on ne voit que les yeux,
Comment peux-tu croire
Que Dieu, que ton Dieu,
T’ait donné la beauté pour la cacher ?…
La beauté d’une femme
Est un don de Dieu
Offert au monde
Et la montrer n’a rien de honteux.
Aucun Dieu n’exige des femmes
Qu’elles la masquent
Sous de grands voiles noirs.
Et si elles subissent les regards impurs
D’hommes impudiques
Il leur appartient de les ignorer.
Alors, je te le dis, rejette ces voiles funèbres !
Et si c’est par soumission,
Pour obéir à ton père, à ton frère, à ton mari,
Rebelle-toi.
Aucune religion au service de Dieu et des hommes
N’exige de telles mascarades.
N’oublie pas que dans certains pays,
Des femmes risquent leur vie,
Sont lapidées parfois,
Pour ne pas porter le voile !
Et si tu ne veux pas t’en défaire,
Quitte la France, le pays de la Liberté
Va vivre sur ces terres d’islam,
Où les filles sont mariées de force
A treize ans,
Où la femme est l’esclave de l’homme,
Est condamnée à le servir
Et à procréer.
Oui, je le dis, quitte la France
Et cesse de provoquer ce pays,
Champion de la Liberté.
A la beauté corporelle
S’ajoute la beauté du cœur.
Les deux sont indissociables.
Et même si certains hommes ne sont sensibles
Qu’à la beauté du corps
Ne prive pas hommes purs
De la beauté de ton corps
Et de ton cœur.
par Henri LAFFORGUE | Fév 8, 2022 | Actualité
De toute évidence, Emmanuel Macron espère se faire réélire sur la façon dont il a géré la crise sanitaire, en occultant toutes les promesses qu’il n’a pas tenues, et en dressant un bilan mensonger de son quinquennat, dont les médias, à sa solde, ne cessent de faire les éloges.
Certes, face à une crise sanitaire si surprenante et d’une telle ampleur, il faut rester d’une grande humilité et se demander qui, à sa place aurait fait mieux… Mais quand même : cette gestion s’est accompagnée de nombreux mensonges, de nombreux revirements, de nombreuses décisions annulées sitôt prises, le tout témoignant d’une impéritie consternante…
La gestion des lits dans les hôpitaux, par exemple, s’est montrée désastreuse. Selon une étude du ministère de la santé, plus de 5700 lits d’hospitalisation complète ont été fermés en 2020 dans les établissements de santé français, qui ont créé dans le même temps, près de 1400 places d’hospitalisation partielle. La crise sanitaire a été en partie amplifié par les fermetures de lits.
S’il fallait faire le maximum pour limiter la contagion, on doit regretter le manque d’humanité complet dont le gouvernement s’est rendu coupable dans certains cas, notamment dans celui des résidents des EHPAD. En interdisant totalement aux membres de leur famille de venir les voir, soi-disant pour éviter la contagion, il a peut-être retardé leur mort, mais il les a privés de leur affection, combien plus précieuse !
Rappelons ici que notre monde – qui marche complètement sur la tête – semble avoir oublié que nous sommes mortels, et qu’on ne peut concevoir la vie, sans la mort. S’il faut tout faire pour protéger la vie, il faut savoir être raisonnable. Un grand nombre de personnes âgées sont mortes totalement seules, sans qu’une fille ou un fils puissent leur tenir la main à leurs derniers moments ! Souvent des enfants n’ont pu voir leur mère ou leur père que dans leur cercueil, et n’ont pu organiser leurs obsèques qu’avec quelques proches seulement ! De telles mesures n’ont-elles pas été excessives ?
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Emmanuel Macron s’est entouré de personnes peu recommandables – euphémisme ! – comme Alexandre Benalla, engagé le 5 décembre 2016, comme « responsable de sécurité » d’En marche pendant la campagne présidentielle, puis « chargé de mission » dans le cabinet présidentiel en 2017. Ses frasques – qui ont mis en danger le gouvernement – ont fait la une des journaux et sont bien connues du public. Rappelons simplement que ce triste individu, en qui le Président avait placé toute sa confiance était, à 26 ans, « lieutenant-colonel » – à titre honorifique – dans la réserve de la gendarmerie !…
Emmanuel Macron a donné une image affligeante de la France à l’étranger et s’est montré totalement indigne de sa fonction. Rappelons simplement ces photos où il posait en compagnie de la « Première dame de France » avec des jeunes à demi-vêtus, qui faisaient des doigts d’honneur, ou ses bamboulas à l’Elysée en présence de musiciens débraillés ! Aurait-on pu imaginer de telles scènes sous la présidence du général de Gaulle ?!…
Il est une chose, encore, que les Français ne lui pardonneront pas : c’est d’avoir obligé le général de Villiers à démissionner, parce qu’il avait simplement dit qu’il fallait augmenter le budget des armées ! Et pire, ce gamin de 40 ans, chef des armées, qui n’a même pas fait de service militaire, le lendemain de cette démission forcée, a essayé d’acheter le silence de ce général, en lui proposant un poste où il aurait « d’importants émoluments ! » (Voir : « Le traître et le néant » de Fabrice Lhomme et Gérard Davet.)
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Lors de sa conférence de presse du 9 décembre dernier, à quatre mois du terme de son mandat, Emmanuel Macron a déclaré avoir appris à « aimer la France » Incroyable ! La première qualité que nos concitoyens doivent attendre d’un candidat à la fonction présidentielle, n’est-elle pas qu’il les aime les Français et qu’il aime la France ?!…
Il est vrai qu’Emmanuel Macron n’a jamais témoigné d’un grand amour pour notre Patrie. En février 2017, alors qu’il n’était que candidat, il a qualifié, en Algérie, la colonisation de « crime contre l’humanité » ! Ensuite il a multiplié les actes de repentance. Le 17 octobre dernier, il a dénoncé « des crimes inexcusables », « commis sous l’autorité de Maurice Papon », à propos de dizaines d’Algériens que des policiers français auraient jetés dans la Seine, 60 ans plus tôt. Assertion soutenue par des historiens à la solde du FLN, mais totalement fausse, et dressant encore un peu plus contre la France, les jeunes maghrébins.
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A l’approche des élections, Emmanuel Macron redouble de démagogie : reconnaissance du drame des Harkis, en septembre dernier, avec demande de pardon et promesses de réparations financières ; reconnaissance du drame vécu par les rapatriés ; découverte soudaine du drame de la rue d’Isly à Alger le 26 mars 1962, et des massacres d’Oran, le 5 juillet 1962. Il lui a fallu cinq ans pour qu’il découvre tout cela !…
Dans les domaines de la sécurité, de la justice, de l’éducation, ou encore de l’immigration, le Chef de l’Etat a montré sa totale incapacité. L’insécurité ne cesse d’augmenter ; la promesse d’ouvrir 15 000 places de prison pendant son mandat n’a pas été tenue ; un pourcentage important d’enfants arrivant en 6ème ne maîtrise ni l’écriture, ni la lecture, ni le calcul – les programmes scolaires sont imposés de Paris et ne laissent pas la liberté aux enseignants de s’adapter à leurs classes ; rien n’a été fait pour limiter l’immigration au cours de ce quinquennat.
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Au point de vue économique Emmanuel Macron se vante actuellement – avec l’appui des médias – de sa bonne gestion, de son bon bilan. Mais il omet de dire que cette croissance exceptionnelle que connaît la France aujourd’hui s’accompagne d’une dette colossale que devront rembourser nos enfants et nos petits-enfants.
Certes les emprunts de dizaines de milliards qu’il a contractés auront sans doute évité la faillite totale de notre économie et d’un grand nombre de nos entreprises. Cependant non seulement, par démagogie, le Chef de l’Etat évite de parler de leur remboursement, mais encore, depuis plusieurs mois, au cours de ses déplacements, il ne cesse de distribuer des milliards ici et là, avec l’argent des contribuables.
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Il faudrait parler encore de son pari pour remplacer toutes les voitures thermiques par des voitures électriques ! Il s’agit là d’une aberration complète. Non seulement il faudra augmenter de façon massive la production d’électricité pour recharger les batteries de ces voitures, mais que fera-t-on des batteries en fin de vie, dont les éléments sont polluants et non recyclables ? Sans parler de bien d’autres inconvénients…
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Pour en finir avec ce triste état des lieux, qui pourrait encore s’allonger, certains n’hésitent à qualifier Emmanuel Macron de « traître », de grand « séducteur », de spécialiste de la « communication » et d’habile « démagogue ».
Il est vrai qu’il a trahi François Hollande. Il faut rappeler qu’alors qu’il était ministre de l’économie, il profité de son logement de fonction à Bercy, pour organiser non pas des réunions professionnelles, mais des rencontres privées avec des artistes et des personnes connues de la société, afin de tisser des réseaux qui l’ont fait connaître, alors que personne ne le connaissait.
Il a trahi le général de Villiers, comme nous l’avons rappelé ci-dessus. Il a séduit et trahi la France et les Français, avec sa politique du « en même temps » et ses volte-face imprévisibles comme l’arrêt du nucléaire en début de mandat, puis l’annonce dernièrement de sa reprise.
Enfin, d’aucuns voit en lui un as de la « communication » et « habile démagogue » cherchant à faire plaisir au plus grand nombre et accordant avant tout une grande place à son égo.
Un tel homme mérite-t-il de gouverner la France à nouveau pendant cinq ans ? A chacun de juger !…
par Henri LAFFORGUE | Avr 14, 2021 | Actualité
Monsieur le Président de la République, Monsieur le ministre de l’Intérieur,
Beaucoup de citoyens français s’interrogent –légitimement- pour savoir si vous défendez encore les intérêts de la France ou si vous êtes désormais à la solde des musulmans.
Alors qu’un mouvement se dessine de plus en plus durement, pour « coloniser » la France, de la part de musulmans anti-blancs, vous n’avez trouvé rien de mieux, Monsieur Darmanin, que de vous rendre à Rennes, pour soutenir les responsables d’un lieu de culte musulman, qui avait été tagué, dans la nuit du 11 au 12 avril.
Nous souhaiterions, nous tous qui aimons la France, notre patrie, pour la liberté de laquelle tant de nos anciens ont donné leur vie, nous souhaiterions que vous vous déplaciez de la même façon, chaque fois qu’une de nos églises est taguée, et chaque fois des membres de la communauté chrétienne sont agressés. Tel n’est malheureusement pas le cas !…
De plus, force est de constater que les stations de radio et chaînes TV –à votre botte- n’ont pas cessé de rappeler, pendant 48 heures, cet événement, alors qu’ils sont étrangement silencieux lorsqu’il s’agit d’un lieu de culte chrétien !…
Avez-vous décidé, Monsieur le Président de la République, pour être réélu en 2022, de courtiser, sans vergogne, les musulmans afin d’avoir leurs voix ? Aimez-vous encore France pour en arriver à de telles compromissions, à de telles trahisons ?…
Je rappelle également que, vous qui êtes pour la « paix des mémoires », après avoir accusé la France de « crime contre l’humanité » propos de la colonisation, gommant d’un trait tous les bienfaits que notre pays a apportés aux peuples colonisés, vous avez confié la mission de rapprocher la France et l’Algérie, à Benjamin Stora, un ennemi notoire de la France.
Vous envoyez ainsi un magnifique message d’apaisement à tous les jeunes issus de l’immigration, les faisant passer un peu plus comme des victimes, et les poussant à haïr encore davantage la France !…
Votre politique n’a pour résultat que de semer la haine, et votre but, nous le savons est vous retrouver, au soir du premier tour des présidentielles, face à la candidate du Rassemblement National, poussant ainsi les électeurs qui sont contre les extrémistes à un choix dramatique.
Un tel calcul, dévoile chez vous une ambition personnelle dans laquelle la fin justifie les moyens, et un mépris total de vos concitoyens et de la France.
Il est d’usage, lorsqu’on s’adresse au Président de la République et à un de ses ministres, de conclure par une formule de respect. La façon dont vous trahissez la France et les Français, ne permet d’user d’une formule de ce genre. Je vous prie simplement de m’excuser de ce refus des convenances.
J’achèverai donc ce courrier en vous rappelant simplement cette formulation, que j’ai entendue récemment chez un journaliste, à propos de vous, Monsieur le Président de la République : « Il séduit. Il utilise. Il jette ! »
Je souhaite donc que les yeux de Français finissent par s’ouvrir, et qu’ils vous « jettent » comme vous le méritez !
Quant à vous, Monsieur le ministre de l’Intérieur, votre conduite n’est dictée que par l’ambition et l’opportunisme, et je ne puis vous exprimer ici que mon courroux le plus vif.
par Henri LAFFORGUE | Fév 8, 2021 | Actualité, Réflexions diverses
Mes lecteurs l’auront constaté, je me suis abstenu, jusqu’à présent, de toute chronique sur la sur la gestion de la crise sanitaire que nous connaissons.
Pourquoi ? Avant tout par humilité face un mal de la plus grande complexité, parce que j’estimais que je manquais de compétence pour en parler, et enfin parce que je refusais –à propos des acteurs qui gèrent cette crise- de « tirer sur l’ambulance », pour parler familièrement.
Je mesure, en effet, combien la tâche du gouvernement est difficile aujourd’hui, et je sais combien la critique est facile.
Cependant je refuse de me taire plus longtemps et je tiens à formuler ici plusieurs reproches à au gouvernement, aux médias, aux réseaux sociaux et à tous les scientifiques de « pacotille » qui y monopolisent la parole.
– Reproches sur la série de mensonges que les membres du gouvernement ne cessent de nous « déverser » depuis bientôt maintenant un an. Mensonges sur les masques. Mensonges sur les tests. Mensonges sur les vaccins et promesses rarement tenus sur toutes ces questions. Les Français ne sont plus des enfants et ont droit à la vérité. Comment pourraient-ils encore faire confiance à un gouvernement qui ne cesse de leur mentir ?!…
– Mépris de la démocratie en prolongeant l’état d’urgence, en muselant le parlement et en décidant tout par ordonnances.
– Mépris des citoyens quand Emmanuel Macron, en dénonçant, le 21 janvier dernier, la défiance des Français et « une espèce de traque incessante à l’erreur » déclare : « Nous sommes devenus une nation de 66 millions de procureurs. » Il oublie simplement de dire que les Français sont las mensonges dénoncés ci-dessus et des mesures contre la crise qui se contredisent du jour au lendemain.
– Reproches envers le gouvernement d’avoir créé pas moins de treize comités –qu’on peut appeler « Théodule »- au noms ronflants, aussi inefficaces les uns que les autres, avant de faire appel, finalement, à un cabinet américain pour gérer la stratégie relative à la vaccination anti Covid-19.
Deux mots, maintenant, à propos des médias, des réseaux sociaux, et de tous ces pseudos scientifiques, virologues, médecins et autres, imbus de leur science, donnant des leçons péremptoires, contradictoires, et prétendant tout savoir.
Je les accuse de répandre la peur dans la population. Face à une telle pandémie, la première chose est de rester très modeste. Il y a eu d’autres pandémies dans l’Histoire –et même dans l’Histoire récente- les médias n’en parlaient pas et les réseaux sociaux n’existaient pas. Ce n’était peut-être que mieux.
Il y avait bien sûr des morts. Sans doute davantage qu’en temps normal. Mais ces pandémies s’intégraient peut-être plus facilement dans la fatalité d’une humanité se sachant mortelle. Et puis, ces pandémies finissaient par passer, naturellement ou grâce à la découverte de vaccins.
Je sais : il y a aujourd’hui un autre vecteur inquiétant à prendre en compte : c’est la mutation rapide du virus. Cette mutation, bien sûr, rend plus difficile son combat. Mais j’ai la conviction que nous en viendrons à bout.
J’ai conscience d’être très critique dans cette chronique et, bien évidemment, mes lecteurs ont toute la liberté pour la partager ou non.
Mais, pour conclure, je voudrais faire partager au plus grand nombre l’Espoir et l’optimisme inébranlables que je porte en moi, et ma conviction que nous sortirons de cette crise –et peut-être bientôt avec l’arrivée des vaccins.
Réflexions trouvées sur Internet à propos du Covid…
1 an de Covid, on a de quoi faire un bilan mondial :
1,6 millions de décès (prétendus Covid) pour 78 millions de décès, toutes causes confondues, chaque année dans le monde.
Seulement 2 % de décès en plus, qui ont changé la face du monde, contre 98 % de décès qui ne comptent plus. 1,6 millions de morts pour 7,8 milliards d’habitants soit 2 décès Covid sur 10 000 personnes.
Imaginez un village de 5 000 personnes à qui nous aurions enlevé toutes les libertés et que nous aurions totalement détruit économiquement, pour une seule personne décédée d’un nouveau virus en 1 an !
Imaginez le cimetière de ce même village avec 150 funérailles dans l’année, sans que rien ne change, mais un seul décès qui aura modifié la vie de tous ces habitants.
Sans compter que nous n’avons même pas la certitude que ce seul décès soit lié à ce virus.
Ça laisse songeur, n’est-ce pas ?…