par Henri LAFFORGUE | Août 18, 2024 | Actualité
Le dimanche 11 août, dans un entretien à l’Equipe, M. Macron a déclaré que « c’était beaucoup plus responsable de clarifier » la situation politique en dissolvant l’Assemblée nationale « avant » les JO, considérant que cette décision ne les avait pas « gâchés ».
Il oublie tout simplement de dire – avec son autosatisfaction habituelle – que tous les dispositifs de sécurité et toute l’organisation des JO avaient été mis en place bien avant cette dissolution.
Et ne nous faisons pas d’illusions – avec le départ de Paris des 35 000 gendarmes et policiers chargés d’assurer la sécurité – les désordres reviennent ou vont revenir prochainement.
Déjà les vendeurs à la sauvette sont de retour au pied de la Tour Eiffel et harcèlent les touristes. Quant à ces malheureux sans-abris – à chacun desquels M. Macron avait promis un toit en 2017 ! – après avoir été éloignés de la Capitale, ils ne vont pas tarder à retourner dans Paris, victimes d’une misère qui ne peut laisser personne indifférent.
Et ce que ne dit pas M. Macron, c’est qu’après cette dissolution suicide pour la France du 9 juin dernier, notre pays est devenu ingouvernable. Auparavant, le gouvernement disposait à l’Assemblée d’une majorité relative qui permit à Elisabeth Borne, grâce au soutien de la droite, de faire « passer » toutes les lois présentées avec le 49.3.
Désormais, avec une Assemblée en trois blocs – sans qu’aucun n’ait vraiment de majorité – les mois à venir ne seront qu’une succession de motions de censure.
Et que dire de nos finances et du budget qui devraient être votés en septembre ?!…
Rappelons qu’avec un déficit à 5,5 % du PIB, la France loin de l’objectif des 3 %, fixé par l’Union européenne, et risque une sanction de 2,5 milliards d’euros par an !…
Tel est le résultat de la politique de M. Macron, « maître des horloges », qui s’est pris pour « Jupiter » et qui en sept ans a plongé la France dans les abîmes les plus profonds.
Comment ne pas lui en vouloir, en voyant le chaos complet dans lequel se trouve notre France aujourd’hui – dans tous les domaines : sécurité, immigration, pouvoir d’achat, santé, etc., etc.
Une France en ruines, dont vont hériter nos enfants et nos petits-enfants, et que nos aînés, par leurs sacrifices et leur courage, avaient libérée du joug nazi et avaient rendu prospère !
Voilà donc l’héritage laissé par M. Macron. L’Histoire ne retiendra de lui qu’il aura été qu’un homme « prétentieux », « narcissique », soucieux uniquement de sa personne et le pire président de la Ve République…
par Henri LAFFORGUE | Juil 14, 2024 | Actualité
Aujourd’hui j’ai décidé de ne pas parler de M. Macron, de son déni de démocratie, du mépris qu’il a pour la France et les Français, de son refus de reconnaitre sa défaite aux législatives et, après voir rendu la France ingouvernable, de sa lenteur déplorable, pour essayer de former un nouveau gouvernement, capable de la sortir du chaos dans lequel il l’a plongée !
Non ! je ne parlerai pas de cela aujourd’hui. Tous les Français – partis confondus – le savent et il est inutile de le répéter !
Je voudrais sortir de tous ces débats stériles de tant d’élus, de tant chroniqueurs, et essayer de prendre de la hauteur.
Je crois que l’humanité a oublié qu’elle est mortelle et qu’elle a rejeté toutes les valeurs, tous les idéaux, qui l’ont guidée pendant des siècles.
Obnubilés par la croyance dans les promesses infinies du progrès, les hommes sont tombés dans le matérialisme le plus complet, ont perdu la richesse des valeurs spirituelles, ont sombré dans un athéisme stérile, et se sont écartés de toute transcendance.
Et surtout ils ont oublié que le bonheur ne se trouve jamais dans l’accumulation de biens matériels, mais dans le partage fraternel des joies et des peines de chaque jour.
Voici ce que m’écrivait dernièrement une amie : « Les hommes ne naissent ni libres, ni égaux. La différence est déjà dans le berceau : dentelles, linges fins, rubans pour les uns et guenilles ou rien pour les autres. Et même dans leur nudité, la nature est injuste et cruelle. »
Je suis tout à faire d’accord avec cette réflexion, et pourtant je refuse de croire que nous soyons prédestinés. Quels que soient les dons ou les failles dont nous héritons à notre naissance, j’estime que nous sommes les artisans de notre destin.
Notre destin n’est pas écrit d’avance, et nous avons le pouvoir de l’influencer par notre volonté.
Et pour aller plus loin je dirais que, s’il peut sembler que certains sont totalement victimes de leur destin, n’ont apparemment aucune possibilité de le modifier, je dirais que chacun de nous est un être unique au monde et que, quels que le nombre des malheurs qu’il puisse rencontrer au cours de sa vie, chacun peut avoir, au moins une fois dans sa vie, le bonheur de rencontrer une JOIE qui l’illuminera et qui éclipsera toutes les ombres qui l’ont assombri.
Alors je finirai par une notre d’ESPERANCE. Que nous soyons croyants ou non, athées, agnostiques ou autres, tous nous avons la possibilité de donner un sens à notre vie et de trouver – malgré les souffrances qui peuvent jalonner notre parcours – la richesse inégalable du bonheur en étant généreux et ouverts aux autres. Et comme l’écrivait Héraclite d’Ephèse – au IVe siècle avant Jésus-Christ – : « Sans l’ESPERANCE on ne trouvera pas l’inespéré. »
PS : au moment où j’achève cette chronique, j’apprends la tentative d’attentat contre Donald Trump. Voilà qui montre la domination de la violence dans le monde, violence qui l’emporte désormais sur les échanges respectueux entre adversaires politiques et autres !
Et j’ajoute que j’ai été très contrarié par tout le « cinéma » qu’ont fait de nombreux politiques, à propos du repas partagé en décembre dernier entre Edouard Philippe et Marine le Pen. Le mérite de la démocratie me semble précisément la possibilité d’échanger dans un respect réciproque des opinions différentes avec des politiques ne partageant pas les mêmes idées que soi. S’y opposer, c’est la négation de la démocratie et la mise en place de la dictature.
par Henri LAFFORGUE | Juin 26, 2024 | Actualité
Monsieur Macron,
Je vous appelle par votre nom de famille et non pas « Monsieur le Président de la République », car vous n’êtes plus digne de cette fonction. Votre indignité s’est marquée, le 1er octobre 2018, à Saint-Martin, quand vous vous êtes affiché, entouré deux jeunes torse-nu, dont l’un vous faisait un doigt d’honneur ! Imagine-t-on, le général de Gaulle, votre illustre prédécesseur, poser ainsi devant deux jeunes, dont l’un était ancien braqueur !…
Elle s’est marquée au cours de ces sept dernières années, par le mépris que vous avez des Français, et du fait que vous avez transformé la France en un champ de ruines.
Elle a atteint ses sommets, au soir du 9 juin, quand vous avez décidé seul, et de façon totalement irresponsable, de dissoudre l’Assemblée nationale, en fixant de nouvelles législatives à une date si rapprochée, que les partis n’ont pas le temps d’élaborer et de présenter des programmes.
Ainsi d’un champ de ruines vous avez plongé la France dans le plus grand chaos.
Si vraiment vous aimiez la France, le soir du 9 juin, c’est votre démission que vous auriez dû annoncer. Ainsi des présidentielles auraient eu lieu dans le calme, en septembre, et le pouvoir, entre temps, eût été assuré par Gérard Larcher, le Président du Sénat.
Tous les travaux en cours auraient été poursuivis, sans discontinuer – tandis que là tout devra être repris à zéro – et surtout les JO qui font la fierté de la France et attirent des spectateurs du monde entier, et sont regardés par des millions de personnes, sur les chaînes TV, avaient toutes les chances de se dérouler dans de bonnes conditions.
Mais votre « égo » surdimensionné, votre narcissisme, votre orgueil, votre prétention à incarner Jupiter, vous ont empêché de prendre cette décision qui aurait inspiré tout autre président que vous, faisant preuve de sagesse et de bon sens !
Et voilà que maintenant, vous lancez le spectre d’une « guerre civile », si les Français votaient pour les extrêmes ! Quelle impudence de votre part ! Si par malheur une « guerre civile » devait déchirer la France, ce ne seraient pas les électeurs, mais vous et vous seul, qui en seriez responsable, du fait de votre décision précipitée du 9 juin, et du fait d’avoir supprimé une droite et une gauche, qui ont équilibré pendant des années la politique de la France, supression qui a renforcé les deux blocs qui s’affrontent aujourd’hui, à l’extrême droite et à l’extrême gauche.
J’aime la France, cette France pour la liberté de laquelle depuis des siècles nos aînés ont donné leur vie. Je doute que vous-même, victime de vous ambitions démesurées et épris de mondialisme, vous puissiez témoigner d’un tel amour.
Vous n’êtes pas digne que je vous salue, et je dirai simplement que vous n’échapperez pas au jugement de l’Histoire !
par Henri LAFFORGUE | Juin 19, 2024 | Actualité
Le séisme que la France connaît aujourd’hui – à la suite, disons-le, d’un coup de folie d’Emmanuel Macron ou plus exactement de son orgueil et de son narcissisme – ne doit pas nous faire oublier le conflit israélo-palestinien, dramatiquement relancé le 7 octobre dernier.
D’autant plus que l’antisémitisme sévit à nouveau en France, du fait d’un Mélenchon et de ce Front populaire qui n’est qu’un ramassis d’islamo-gauchistes, qualifiant le Hamas de « résistants », poussant les Français contre nos forces de l’ordre – « la police, tue ! » -, déchaînant les musulmans contre les Juifs, contre Israël, etc., etc.
C’est pourquoi je veux essayer de présenter brièvement, ici, l’origine de ce conflit entre les Israéliens et les Palestiniens – qui fait les « choux gras » du Front populaire – et dire, malgré un avenir si sombre, mes espoirs de voir une accalmie ses dessiner.
Sans remonter à ses origines lointaines, on peut dire que l’antisémitisme a atteint son paroxysme avec la shoah et ses six millions de morts, sous le régime nazi. Quant au conflit chronique en Palestine, on peut le faire remonter en 1947, quand les Juifs, éparpillés ici et là dans le monde – diaspora – ont commencé à se regrouper sur ce territoire.
Rappelons que de 1516 à 1916, ce pays fut occupé par les Ottomans. Et qu’à la fin du XIXe seuls 24 000 Juifs occupaient la Palestine contre 500 000 Arabes (musulmans, chrétiens ou druzes) soit 95% de la population.
A la suite de la Grande Guerre, la Conférence de la Paix de janvier à août 1919, plaça la Palestine sous mandat britannique, et il fut décidé de créer un Etat juif, alors que les Arabes souhaitaient être rattachés à la Syrie. Les drames, qui s’enchaînent depuis, viennent en grande partie de-là.
Le 29 novembre 1947, l’ONU propose un partage en trois de la Palestine : un Etat juif, un Etat palestinien et la mise sous contrôle international de Jérusalem. Les Arabes et les dirigeants des pays voisins refusent.
Or depuis près de 80 ans la situation en Palestine n’est qu’une suite de guerres, de traités jamais respectés, d’assassinats, et d’innombrables morts.
Pour résumer, rappelons que 4 guerres ont opposé Israël aux pays Arabes voisins. Israël les a toutes gagnées mais aucune n’a abouti à une paix durable. La première guerre d’Israël contre ses voisins, en 1949, a entrainé fuite de 750 000 Palestiniens.
Nouvelle guerre en 1956, à la suite de la violation du droit international du président égyptien Nasser, ayant tenté de nationaliser le canal de Suez.
Le 8 mai 1964 : création de l’OLP (Organisation de Libération de la Palestine)
Du 5 au 10 juin 1967 : 3ème guerre israélo-palestinienne – ou guerre des six jours – à la suite d’un blocus déclenché par l’Egypte contre Israël et des menaces d’autres pays arabes. Israël s’empare alors du Sinaï, du plateau, du Golan, de la bande Gaza et de la Cisjordanie.
Du 6 au 25 octobre 1973, 4ème guerre israélo-arabe – ou guerre du Kippour – déclenchée par le président égyptien, Anouar el Sadate – avec le soutien de la Syrie. Victoire d’Israël.
En 1977, premier cabinet de de Menahem Begin, avec la coalition politique de droite du Likoud, fondée en 1973.
Le 17 septembre 1978 : accords de Camp David entre Sadate et Begin.
Le 6 octobre 1981, Sadate est assassiné, au Caire, par un groupe de dissidents de Frères musulmans.
Le 6 juin 1982, Israël attaque le Liban pour éliminer les bases de l’OLP et repousser les Syriens qui soutiennent ces bases. Septembre : massacres dans les camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila, près de Beyrouth, perpétrés, lors la guerre civile libanaise par les milices chrétiennes des phalangistes, avec – semble-t-il – la complicité d’Israël. Entre 700 et 3 500 civils palestiniens tués…
Décembre 1987 – septembre 1993 : 1ère intifada (dite des pierres) – mouvement populaire palestinien massif et non armé contre l’occupation.
13 septembre 1993 : accords d’Oslo entre Yasser Arafat et Ytyzhak Rabin.
4 septembre 1995 : assassinat de Rabin par un terroriste juif.
Septembre 2000 – février 2005 : 2ème intifada (Al-Aqsa).
Août 2005 : fin de la présence militaire et civile israélienne dans la bande de Gaza. Le Hamas en prend le contrôle en 2007.
2008 : loi fondamentale définissant Israël comme « Etat nation du peuple juif ». L’ambassade des USA est installée à Jérusalem.
Et nous arrivons au 7 octobre dernier, avec cette série d’attaques coordonnées, du Hamas, dans le sud d’Israël. Aucun mot n’est à la hauteur de cette barbarie : 1 200 Israéliens ou binationaux trouvent la mort au cours de ces attaques, qui s’accompagnent de viols, de meurtres d’enfants, de femmes éventrées, et de la prise d’otages de plus de 240 personnes, etc.
Depuis Israël mène une guerre de représailles contre le Hamas, dans la bande de Gaza, pour éliminer tous les terroristes, qui s’y cachent. Plus de la moitié des 2,3 millions habitants de l’enclave ont fui vers le Sud et s’entassent désormais à Rafah, non loin de la frontière égyptienne.
Le plus terrible peut-être, c’est que les chefs du Hamas sont à l’abri au Qatar, et que ce sont donc les femmes et les enfants gazaouis qui sont les victimes innocentes de ces représailles, qui auraient entraîné la mort de plus de 37 000 Palestiniens. Et combien de blessés ? De veufs et de veuves ? D’orphelins ?…
Quant aux 251 personnes enlevées, 116 sont toujours retenues comme otages à Gaza, et 41 seraient mortes, selon l’armée. Israël pose comme condition préalable pour tout cessez-le-feu, la libération des otages encore en vie.
Bien sûr, toutes les associations qui défendent les droits de l’homme et les membres du Front populaire, passent sous silence les atrocités dont ont été victimes les Israéliens le 7 octobre 2023 et condamnent ces représailles. Je ne saurais dire que je les approuve mais je les comprends. Ce qui me désole ce sont toutes ces victimes palestiniennes dont, n’oublions pas, le Hamas est responsable des souffrances, qu’elles subissent aujourd’hui. Il faut bien remettre « les pendules à l’heure » et rétablir une vérité occultée par tant de mensonges !
Que conclure sinon que nous assistons à une escalade de la haine et de la violence, dont on ne voit pas la fin. Des Juifs, des Chrétiens et des Musulmans obéissent à des extrémistes et s’entretuent, alors que les principes de base de toute religion, devraient être de rassembler tous les hommes dans un même respect et une même humilité, face à « l’Innommable ».
J’ajouterai deux choses encore à propos des Juifs et des Sionistes, à l’origine peut-être de ces guerres qui n’en finissent pas. Les Juifs et les Sionistes ont dit à propos de la Palestine : « Nous y revenons » au lieu de dire : « Nous y venons. », se référant aux promesses faites au peuple hébreu, par les prophètes et sans tenir compte des Palestiniens qui se trouvaient déjà sur ce territoire.
De même, ils ont eu pour slogan : « La terre pour un peuple sans terre », alors que cette terre n’était pas vide.
Enfin, au terme de cette chronique, je veux dire la tristesse, qui m’a envahi dernièrement, en voyant dans une revue, la photo d’un Arabe pleurant devant un portrait d’Ytzhak Rabbin, assassiné deux jours plus tôt, par un Juif extrémiste. Nul ne peut refaire l’histoire mais cet assassinat a mis fin à la lueur d’espoir entrevue avec la poignée de main que ce dernier avait échangée, près de deux auparavant, avec Yasser Arafat.
Puisse un jour des hommes de bonne volonté, accéder au pouvoir et ramener les peuples à la Paix !…
par Henri LAFFORGUE | Mai 9, 2024 | Actualité
Le13 juillet 2017, après avoir humilié le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, par un « je suis votre chef », le prétentieux Emmanuel Macron, jaloux de son titre de « chef des armées », veut aujourd’hui envoyer nos soldats en Ukraine, au risque de déclencher une Troisième Guerre mondiale !
Il oublie avant tout que nous n’avons plus d’armée et qu’il sera difficile de vaincre la Russie sans l’aide des USA. Or, si le 5 novembre prochain Donald Trump est élu il supprimera toute aide à l’Ukraine !
Il est évident que Poutine est un criminel de guerre et devrait rendre compte de ses crimes devant le tribunal international de la Haye.
Mais il faut avoir conscience que depuis le début de la fameuse « opération spéciale » cette guerre a tué et blessé plusieurs milliers de soldats et de civils. Combien de veuves qui ne reverront plus leur mari ! Combien d’enfants privés à jamais de leur père ! Combien de civils plongés dans la plus grande misère, dont les habitations ne cessent d’être bombardées, vivant dans le froid, privés de chauffage, soumis à la faim, n’ayant plus d’hôpitaux où se faire soigner, etc., etc.
Et tout cela, jusqu’à quand ?!!!…
Et il faut regarder les choses en face, même avec une aide financière et en matériel massive des Occidentaux, cette guerre ne pourra jamais avoir de fin. Elle fera toujours couler davantage de sang et s’accompagnera toujours davantage de deuils parmi des hommes, des femmes et des enfants qui ne demandent qu’à vivre en paix !
Alors je le dis haut et fort, au risque de m’attirer une vague d’hostilités, si Poutine est un criminel, les Occidentaux en continuant à fournir et des armes et des milliards à l’Ukraine, sont eux aussi des criminels !…
Et le va-t-en guerre de Macron, qui se prend pour un grand homme, qui n’est qu’un politicien n’aimant que lui et n’aimant pas la France, et dont l’histoire ne retiendra que l’abîme dans lequel il aura plongé notre pays et la haine qu’il aura semée entre tous, notre petit « chef des armées », n’aura fait qu’ajouter de la guerre à la guerre !
Je ne cherche pas ici savoir qui a le plus de torts dans cette guerre. Certes la Russie, a violé toutes les conventions internationales en attaquant l’Ukraine et, si je la condamne, ne peut-on pas trouver des explications plus ou moins valables à cette attaque : ne s’est-elle sentie menacée par les bases de l’OTAN et par les risques de voir l’Ukraine rentrer dans l’Europe ?…
J’avoue ne pas avoir approfondi cette question. Mais j’estime qu’il faut impérativement mettre fin, d’une façon ou d’une autre, à cette guerre funeste.
Il faut tout faire pour trouver un compromis et un « modus vivendi ». Les Ukrainiens risquent d’y perdre, car les Russes voudront certainement prendre possession de certains territoires. Mais même s’il n’est pas possible de trouver une entente dans laquelle il n’y aurait ni perdant, ni gagnant et si les Russes ont toutes les chances d’en sortir gagnants, la fin des bombardements quotidiens, l’arrêt des fleuves de sang qui coulent depuis deux ans, et le retour enfin de la colombe de la Paix, ne priment-ils pas avant tout autre considération ?…