A propos du Covid-19

Mes lecteurs l’auront constaté, je me suis abstenu, jusqu’à présent, de toute chronique sur la sur la gestion de la crise sanitaire que nous connaissons.

Pourquoi ? Avant tout par humilité face un mal de la plus grande complexité, parce que j’estimais que je manquais de compétence pour en parler, et enfin parce que je refusais –à propos des acteurs qui gèrent cette crise- de « tirer sur l’ambulance », pour parler familièrement.

Je mesure, en effet, combien la tâche du gouvernement est difficile aujourd’hui, et je sais combien la critique est facile.

Cependant je refuse de me taire plus longtemps et je tiens à formuler ici plusieurs reproches à au gouvernement, aux médias, aux réseaux sociaux et à tous les scientifiques de « pacotille » qui y monopolisent la parole.

– Reproches sur la série de mensonges que les membres du gouvernement ne cessent de nous « déverser » depuis bientôt maintenant un an. Mensonges sur les masques. Mensonges sur les tests. Mensonges sur les vaccins et promesses rarement tenus sur toutes ces questions. Les Français ne sont plus des enfants et ont droit à la vérité. Comment pourraient-ils encore faire confiance à un gouvernement qui ne cesse de leur mentir ?!…

– Mépris de la démocratie en prolongeant l’état d’urgence, en muselant le parlement et en décidant tout par ordonnances.

– Mépris des citoyens quand Emmanuel Macron, en dénonçant, le 21 janvier dernier, la défiance des Français et « une espèce de traque incessante à l’erreur » déclare : « Nous sommes devenus une nation de 66 millions de procureurs. » Il oublie simplement de dire que les Français sont las mensonges dénoncés ci-dessus et des mesures contre la crise qui se contredisent du jour au lendemain.

– Reproches envers le gouvernement d’avoir créé pas moins de treize comités –qu’on peut appeler « Théodule »- au noms ronflants, aussi inefficaces les uns que les autres, avant de faire appel, finalement, à un cabinet américain pour gérer la stratégie relative à la vaccination anti Covid-19.

Deux mots, maintenant, à propos des médias, des réseaux sociaux, et de tous ces pseudos scientifiques, virologues, médecins et autres, imbus de leur science, donnant des leçons péremptoires, contradictoires, et prétendant tout savoir.

Je les accuse de répandre la peur dans la population. Face à une telle pandémie, la première chose est de rester très modeste. Il y a eu d’autres pandémies dans l’Histoire –et même dans l’Histoire récente- les médias n’en parlaient pas et les réseaux sociaux n’existaient pas. Ce n’était peut-être que mieux.

Il y avait bien sûr des morts. Sans doute davantage qu’en temps normal. Mais ces pandémies s’intégraient peut-être plus facilement dans la fatalité d’une humanité se sachant mortelle. Et puis, ces pandémies finissaient par passer, naturellement ou grâce à la découverte de vaccins.

Je sais : il y a aujourd’hui un autre vecteur inquiétant à prendre en compte : c’est la mutation rapide du virus. Cette mutation, bien sûr, rend plus difficile son combat. Mais j’ai la conviction que nous en viendrons à bout.

J’ai conscience d’être très critique dans cette chronique et, bien évidemment, mes lecteurs ont toute la liberté pour la partager ou non.

Mais, pour conclure, je voudrais faire partager au plus grand nombre l’Espoir et l’optimisme inébranlables que je porte en moi, et ma conviction que nous sortirons de cette crise –et peut-être bientôt avec l’arrivée des vaccins.

Réflexions trouvées sur Internet à propos du Covid…

1 an de Covid, on a de quoi faire un bilan mondial :

1,6 millions de décès (prétendus Covid) pour 78 millions de décès, toutes causes confondues, chaque année dans le monde.

Seulement 2 % de décès en plus, qui ont changé la face du monde, contre 98 % de décès qui ne comptent plus. 1,6 millions de morts pour 7,8 milliards d’habitants soit 2 décès Covid sur 10 000 personnes.

Imaginez un village de 5 000 personnes à qui nous aurions enlevé toutes les libertés et que nous aurions totalement détruit économiquement, pour une seule personne décédée d’un nouveau virus en 1 an !

Imaginez le cimetière de ce même village avec 150 funérailles dans l’année, sans que rien ne change, mais un seul décès qui aura modifié la vie de tous ces habitants.

Sans compter que nous n’avons même pas la certitude que ce seul décès soit lié à ce virus.

Ça laisse songeur, n’est-ce pas ?…

La France est-elle encore gouvernée ?…

Désormais, chaque samedi, ce ne sont plus à des manifestations que nous assistons, mais à des véritables scènes de guérilla !

Les rues, les boulevards, les avenues, les places de nos villes, sont le théâtre de violences urbaines de plus en plus importantes ! Des voitures sont incendiées, le mobilier urbain est saccagé, des commerces, des banques, des distributeurs de billets sont vandalisés et pillés !

Et personne n’est responsable ! Ni le gouvernement qui autorise ces manifestations ; ni les manifestants qui n’ont plus de services d’ordre ; ni les casseurs qui peuvent opérer en toute impunité et ne sont pas poursuivis !

Ces manifestations sont devenues un rituel hebdomadaire et bafouent la démocratie. Les manifestants savent-ils encore pourquoi ils manifestent ?… Soi-disant contre la loi sur « la sécurité globale » et sur son fameux « article 24 ». Or, cette loi a été votée par l’Assemblée nationale et est en cours de relecture au Sénat. Quant à « l’article 24 », il est en cours de réécriture ! Ce qui est parfaitement démocratique.

Le pire, c’est que l’on voit des députés participer à ces manifestations, alors que leur place est à l’Assemblée nationale où ils représentent le peuple et où ils ont pour mission de voter les lois et les amendements !…

D’autre part, comment tolérer que plusieurs centaines de milliers de nos concitoyens aient été verbalisés pour la simple et seule raison que leur attestation de déplacement n’était pas en règle, quand dans le même temps, des milliers de manifestants sèment le chaos et ne sont pas inquiétés ?!…

Comment tolérer que les médias s’attardent à diffuser les images des manifestants blessés, et montrent peu ou prou, les membres des forces de l’ordre et les pompiers victimes de la barbarie de ces mêmes manifestants ?!…

Enfin, à tous ceux qui osent prétendre que nous sommes dans un état policier et liberticide, je demande quel état de ce type autoriserait de telles violences !…

Oui ! La France n’est plus gouvernée et si l’exécutif ne se ressaisit pas rapidement, la guerre civile nous menace !…

Police : au-delà du supportable !…

Les policiers sont soumis à des devoirs de discipline et de réserve. Contrairement aux militaires, ils ont droit de se syndiquer et peuvent manifester, en certaines occasions, de façon bien encadrée.

Aussi, les manifestations de lundi soir, aux Champs-Elysées et à l’Arc de Triomphe, puis celles qui ont eu lieu dans plusieurs villes de France, sont, au point de vue de la loi, c’est indéniable, totalement illégales.

Cependant, bien que très respectueux des lois, je tiens à dire ici que je les approuve à 100 %.

Le gouvernement demande tout à nos policiers, y compris de faire le sacrifice de leur vie. Qu’ont-ils en contrepartie ? Rien, sinon des bonnes paroles, des promesses, du vent !

Pendant tout le printemps, nos policiers ont dû, en plus de leur mission contre le terrorisme, affronter des manifestants violents, démolissant tout sur leur passage – les biens publics comme les biens privés – incendiant les voitures, et jetant des pierres et des cocktails Molotov sur eux. Et tout cela avec l’aval d’un gouvernement laxiste, laissant agir les manifestants en toute impunité.

Les médias ne le disent guère, mais plus de 3 200 policiers ont été blessés en mission depuis le début de l’année ! Plus de 6 700, si l’on ajoute ceux qui se sont blessés de manière fortuite lors de leur service – accidents, entorses, foulures à l’entrainement etc. Ces nombres sont ahurissants !

Nos policiers n’en peuvent plus. Le ministre de l’Intérieur a qualifié de « sauvageons » les individus qui ont attaqué et grièvement blessé, dernièrement, quatre policiers à Viry Châtillon ! Ce sont en fait des « criminels » et cette appellation, de la part d’un ministre, marque une méconnaissance dramatique de la gravité des faits.

Non ! tous ces délinquants, qui s’en prennent à nos policiers, ne sont pas des « sauvageons » mais bien des « criminels », et ils doivent être châtiés comme tels ! Malheureusement, malgré les belles promesses du chef de l’Etat et de ses ministres, ils ne sont jamais retrouvés, et quand ils le sont, ils ne sont frappés d’aucune peine, ou de peines avec sursis ! Tout cela est inadmissible !

Oui, ces hommes qui ont pour mission de faire respecter la loi, qui ont une vie de famille éprouvante, qui ne savent jamais quand ils partent, le matin ou le soir, quand ils rentreront – et s’ils rentreront ! – n’en peuvent plus du mépris avec lequel ils sont traités.

Plutôt que de livrer ses confidences dans son livre iconoclaste et suicidaire – « Un président ne devrait pas dire ça… » – témoignant – osons le dire ! – d’un narcissisme pathologique, François Hollande ferait mieux de se préoccuper de la sécurité en France et du sort de nos policiers !

Le ministre de l’Intérieur sanctionnera-t-il l’initiative courageuse de ces derniers, qui devrait recevoir le soutien de tous les Français ?… J’ose espérer qu’il tiendra compte de l’exaspération qui est à l’origine de leur mouvement de colère, et prendra en compte leurs revendications.

Merci, Myrtille Georges !

Alors que le chaos s’installe de plus en plus, chaque jour, en France, que les grèves s’étendent et que maintenant nous sommes menacés par une pénurie d’essence, notre Premier ministre ne trouve rien de mieux que d’aller en Israël, proposer une conférence de paix internationale pour l’automne, à Paris !

Sa place et son rôle ne seraient-il pas d’abord en France, pour y rétablir l’ordre et la paix ?!…

Dans une actualité si triste et si désespérante, je me suis réjoui, cet après-midi, de la victoire, à Roland Garros, de la jeune Française Myrtille Georges, à la 203ème place mondiale, contre l’Américaine Christina McHale, qui est à la 67ème place mondiale.

Son visage rayonnait d’un bonheur éclatant et bien mérité.

Voilà une jeune femme qui fait briller les valeurs de la France, quand d’autres la poussent dans un abîme sans fond d’où personne, dans le gouvernement ni dans l’opposition, ne semble capable de la tirer…

MERCI Myrtille de ce rayon de soleil dans les ténèbres !

Nicolas Sarkozy et la « sérénité » de la Justice française…

Sarkozy 2014-07-02 Nicolas Sarkozy ment-il ou dit-il la vérité ? Lui seul le sait, mais pour moi le problème n’est pas là.

Le gouvernement, tous les chantres du PS, les magistrats prétendent que la Justice a agi en toute sérénité.

Curieuse sérénité quand on sait que c’est la première fois dans notre histoire qu’un ancien Président de la République est mis en garde à vue.

Quand on sait que ce dernier a été emmené au commissariat de Nanterre dans un fourgon de police, comme un vulgaire malfrat !

Quand on sait enfin, qu’il a été présenté, à 2 heures du matin ! – après quinze heures de garde à vue – à deux juges au pôle financier du tribunal de Paris qui l’ont mis en examen.

Je ne puis qualifier une telle procédure de « sereine » et je l’apparente à un lynchage en règle ! C’est une honte pour notre République, pour notre Gouvernement et pour la Justice.

Si la Justice a des faits à reprocher à Nicolas Sarkozy, elle pouvait le convoquer à tout moment, et il ne serait pas dérobé.

Certes Nicolas Sarkozy est un justiciable comme tous les autres, mais c’est aussi un ancien Président de la République qui, me semble-t-il, a droit à un minimum d’égards.

Et notre Justice qui manie de façon si éhontée les gardes à vue, ferait bien d’y conduire tous ces journalistes qui diffusent dans les médias le contenu des enregistrements des conversations personnelles de Nicolas Sarkozy. Il y a là une violation du secret professionnel sur laquelle la Justice ferme les yeux et qui pourtant mérite des poursuites !

Malheureusement, nous sommes victimes de politiciens et de journalistes – à gauche comme à droite – qui ne savent que semer le désordre et la haine et qui, je le dis avec une infinie tristesse, se moquent de la France et de son avenir.

Que fait le Gouvernement, que fait l’opposition depuis deux ans pour la France ?!… Rien si ce n’est « se tirer dans les pattes », diviser, semer la zizanie !…

Et tous n’ont qu’un seul et unique objectif : remporter les présidentielles de 2017, en tuant, s’il le faut, les concurrents trop dangereux.

Ô ma France ! Ma pauvre France ! Et dire que tant de tes enfants ont donné leur vie voici soixante-dix ans et plus, pour que tu retrouves la Liberté, pour rétablir la Démocratie !…

Quel triste spectacle offres-tu au monde !… Qu’est devenue cette Fraternité inscrite dans ta devise, dont je suis si fière et qui si honteusement bafouée ?!…