Présidentielles…

Nicolas Sarkozy est obstiné, c’est le moins que l’on puisse dire !…

Deux Français sur trois ne veulent pas son retour. Mais il insiste et persiste. Il veut passer pour un rassembleur alors qu’il a perdu toute crédibilité et que ce n’est qu’un boulimique du pouvoir.

Ah ! que de mensonges, que de promesses, que de palinodies, que d’actes de contrition ne ferait-on pas pour accéder au pouvoir suprême !…

Quant à François Hollande, sa seule obsession depuis 2012, ce n’est pas la France et les Français, c’est sa réélection en 2017 !…

La France verra-t-elle se lever un véritable chef d’Etat, soucieux de la vie des Français et permettant à chacun de retrouver du travail ? Un homme – ou une femme – d’Etat désintéressé, au service du pays, insensible aux flatteries des courtisans, et ne cherchant pas à placer sa bande de copains tous aussi incapables et corrompus les uns que les autres, aux postes les plus importants…

Je rappelle une nouvelle fois qu’un ministre, au sens étymologique, c’est un « serviteur ». Nous n’en avons jamais été aussi loin avec le gouvernement actuel !…

Réflexions suite aux résultats des régionales…

Je me suis réjoui, dimanche dernier, en voyant que le Front National n’obtenait aucune présidence de régions.

La droite a gagné sept régions et la gauche cinq. Ce n’est une victoire ni pour l’une, ni pour l’autre.

Lors de la soirée des résultats, les leaders des différents partis se sont tous exprimés. Beaucoup de bla-bla-bla.

La gauche a masqué les échecs de toutes ses politiques – en matière économique (chômage dramatique, fiscalité qui bloque toute activité), sécuritaire (zones de non-droit dans les banlieues, politique pénale aberrante), sanitaire (pénurie de médecins, trou abyssal de la Sécurité sociale), éducative (faillite complète de l’école et du collège), migratoire, dans les domaines du logement (3,5 millions de personnes n’ont pas de logement ou sont mal logées), etc., etc. Mais la droite a une grande part de responsabilité, également, dans tous ces échecs. Notamment dans la baisse des effectifs dans l’armée et dans la police.

Cependant, je reproche à tous les leaders socialistes, au cours de cette soirée, d’avoir complètement occulté les fiascos de leur politique en ne parlant – avec le plus grand triomphalisme – que de la réussite de la COP21 qui s’était achevée la veille à Paris. Réussite montée en épingle par les médias et que, personnellement, je prends avec la plus grande réserve…

Les écologistes ont montré, une nouvelle fois, leur déconnection complète des réalités, obnubilés par leurs utopies.

Deux personnalités se sont élevées au-dessus du lot. Alain Juppé, qui a tenu un discours de véritable homme d’Etat, et Bruno Lemaire dont j’apprécie le franc-parler et la courtoisie. Xavier Bertrand, également, qui m’avait déçu quand il était ministre, est remonté dans mon estime.

Nicolas Sarkozy n’a pas le vent en poupe. Mais il fait tout pour s’accrocher, au risque de faire perdre la droite, une nouvelle fois, aux prochaines présidentielles. Quant à François Fillon, il a été inexistant, et je n’oublie pas qu’il a cautionné la politique de Nicolas Sarkozy pendant cinq ans. Il ne peut, maintenant, s’en désolidariser…

Après un long suspens, j’ai appris avec la plus grande joie la victoire de Valérie Pécresse. Je partage les espoirs que fondent sur elle les habitants de l’Ile de France. Claude Bartolone s’était comporté de façon totalement honteuse et indigne avec elle.

Le Front National n’a obtenu aucune présidence de région et pourtant, pour moi, c’est le grand vainqueur de ces élections. Avec plus de 6,8 millions de voix et une augmentation de 450 000 voix au second tour, il a battu son record de 2012 aux présidentielles, et il aura 358 conseillers dans les différentes régions – contre 355 conseillers socialistes !

J’avais été scandalisé par la diabolisation à outrance que Manuel Valls avait fait de ce parti, en laissant craindre une guerre civile en cas de victoire de sa part ! Nous sommes en démocratie et ce parti a le droit de siéger au même titre que l’extrême-gauche de Jean-Luc Mélanchon.

Je me réjouis donc qu’il ait des conseillers élus dans plusieurs régions. IIs forceront peut-être certains élus à revenir sur terre, à prendre conscience des aberrations des politiques suivies depuis trente ans. Car toutes les idées du Front National ne sont pas à rejeter, et les lois d’urgence actuelles ne font que reprendre, en matière de sécurité, les idées qu’il préconise depuis des années.

Je ne souhaite pas qu’il parvienne au pouvoir suprême – son programme économique ne tient pas la route – mais je pense que l’on peut s’inspirer de certaines de ses idées.

Je m’interroge sur cette République « exemplaire » que nous avait annoncée François Hollande. Jean-Yves le Drian cumule le poste de ministre de la Défense et de président de la région de Bretagne ! Claude Bartolone est reconduit au « Perchoir » malgré son échec en Ile de France ! Il faut dire que les émoluments attachés à toutes ces fonctions sont attractifs !… Tout cela n’est guère sérieux.

Pour finir, je qualifierai de piège aux alouettes, ce « front républicain » proposé entre les socialistes et le centre. Les socialistes n’ont rien fait de bon au cours des trois années écoulées, et les réformes auxquelles ils se sont attachés – mariage pour tous, réforme des rythmes et des programmes scolaires, suppression des bourses au mérite, de l’étude du latin du grec, etc. – n’ont fait que diviser les Français, détruire leurs racines, niveler par le bas notre culture. Les centristes oscillent au gré des vents, n’ont pas de convictions. François Bayrou est un opportuniste qui espère arriver au pouvoir après une longue traversée du désert. Aussi, il n’y a rien à attendre de bon de ce « front républicain », qui n’est qu’une tentative désespérée des socialistes pour se maintenir au pouvoir, et des centristes pour y accéder.

Quelques réflexions sur le premier tour des élections régionales, ce dimanche 6 décembre 2015

Selon moi, les Français ont voté massivement pour le FN par dépit. Ils ne croient plus dans aucun parti, sont las de la démagogie, des promesses jamais tenues, et se sont donc tournés vers l’extrême-droite.

Que se passera-t-il dans deux ans, si on a un face à face Marien Le Pen, François Hollande ?…

La droite et la gauche s’accusent mutuellement de la montée et de la percée du FN. Mais elles en sont toutes deux aussi responsables.

Elles ont fermé les yeux sur les problèmes dramatiques de l’immigration et ont tout accepté, même l’inacceptable. Quoi de plus normal que les gens de Calais confrontés depuis des années à une jungle à laquelle personne ne trouve de solution, aient voté massivement pour Marine Le Pen ?…

Droite et gauche ont montré leur incapacité à assurer notre sécurité ; les derniers attentats marquent la faillite de leurs politiques.

Comment accepter également qu’une personne au chômage gagne souvent plus qu’en travaillant ? Que des agriculteurs en retraite gagnent moins qu’un immigré qui n’a jamais travaillé en France ?!… Et tutti quanti…

Comment s’étonner, dans de telles conditions, face à de telles faillites de partis de droite comme de gauche, face à de telles injustices, que les électeurs se soient massivement tournés vers l’extrême-droite qui leur promet monts et merveilles.

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Hélas, si le Front National – grâce à sa démagogie et à son populisme, et du fait de la lassitude d’une majorité d’électeurs – prend la tête de plusieurs régions, il ne faut pas croire que nous aurons des « lendemains qui chantent » !

Le programme économique de Front National est catastrophique. La sortie de l’euro et le retour au franc, loin de doper l’économie sera suivie d’une dévaluation qui se soldera par un appauvrissement et une explosion de la dette publique.

D’autre part, le protectionnisme et la quasi-autarcie proposés par Marine Le Pen ne s’accompagneront pas d’une croissance vigoureuse et d’une industrie florissante. D’autant plus que nous faisons la moitié de notre commerce extérieur avec la zone euro et que nos partenaires ne manqueront pas de riposter durement.

Enfin, jamais le Front National ne pourra tenir ses promesses concernant l’augmentation des bas salaires, la revalorisation des retraites, le rétablissement de la retraite à 60 ans, la baisse des tarifs du gaz, de l’électricité, du train, des prix de l’essence, etc. Ce sont là des promesses purement démagogiques et absolument irréalisables, à moins de ruiner à jamais les finances publiques, déjà si mal en point…

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Je ne sais pas si les électeurs du Front National ont conscience de tout cela, et j’ai peur qu’ils se laissent berner par des promesses sécuritaires fondées souvent sur le rejet de l’autre et sur l’émotion.

Personnellement, au terme de longues réflexions, je suis partisan de la peine de mort, sans croire pour autant qu’elle ait un pouvoir dissuasif et sans en faire un instrument de vengeance. Je pense seulement que la peine de mort est la seule peine à la mesure de certains crimes, par lesquels leurs auteurs se sont exclus de la communauté et ne peuvent la réintégrer

Mais j’estime qu’elle doit être sérieusement encadrée. Que les criminels doivent avoir droit à des procès équitables en étant assistés d’avocats. Et je pense qu’il reviendrait, en dernier lieu, au Président de la République, le droit de les gracier ou non. Peut-être alors ce dernier s’investirait-il davantage dans sa fonction, en ce moment sublime ou la vie et la mort d’un homme seraient entre ses mains.… On est loin ici, en tout cas, d’une justice expéditive et émotionnelle, comme le prône Marine Le Pen, par pure démagogie, pour récolter des voix.

D’autre part, gauche et droite ont montré leur incapacité totale et égale, à gérer le problème de l’immigration, et Marine Le Pen en fait maintenant ses « choux gras », surfant sur les inquiétudes et les peurs légitimes devant les vagues migratoires.

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Pour finir, je me demande également si le vote massif des électeurs pour le Front National ne traduit pas un rejet de Nicolas Sarkozy qui s’est imposé chef de l’opposition, qui brigue à nouveau la présidence de la République alors que les Français l’ont rejeté en 2012, et qu’ils ne veulent plus au sommet de l’Etat !…

Le vote de dimanche a été un vote de dépit et de sanction. Il faut attendre maintenant le vote de dimanche prochain. Mais quels qu’en soient les résultats, je doute que gauche et droite modifient pour autant leurs politiques. Les candidats – élus ou non – tireront des leçons stratégiques pour se maintenir en place ou pour l’emporter une prochaine fois, mais nous serons toujours les victimes et les jouets de leurs ambitions personnelles, de leur boulimie de pouvoir, et du peu d’intérêt qu’ils portent aux pauvres citoyens que nous sommes, passé les élections.

A propos des cours de morale et de la suppression des notes dans les écoles.

Notre ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud Belkacem, a décidé de remettre à l’ordre du jour les cours de morale dans les écoles, et souhaite supprimer les notes qui traumatisent certains élèves.

Rétablir les cours de morale. Excellent idée. Mais je veux rappeler à cette excellente dame que la morale s’apprend moins par des belles formules que par l’exemple.

Pour que nous jeunes aient, dès leur plus jeune âge et plus tard dans la vie, une conduite morale, il est indispensable qu’ils aient l’exemple au-dessus d’eux de personnes menant une vie droite.

Cela concerne leurs parents, bien sûr, mais aussi tous nos responsables politiques – de gauche comme de droite – qui se doivent d’avoir une conduite irréprochable. Tel n’est malheureusement pas le cas !

Pourquoi ne pas tricher, ne pas voler, quand on voit des secrétaires d’Etat, des députés, frauder le fisc, sans être inquiétés le moins du monde et même en reprenant leur place à l’Assemblée nationale, comme si de rien n’était, avec l’assentiment de tous leurs pairs – et je dirais même, si j’osais, de leurs complices ?

Pourquoi ne pas mentir, quand on voit un conseiller d’Etat, Jean-Pierre Jouyet, mentir effrontément aux journalistes à propos de prétendues demandes de François Fillon d’accélérer les procédures judiciaires contre Nicolas Sarkozy, et conserver son poste sans le moindre problème ?…

Pourquoi enfin, et je ne crains pas de le rappeler ici, essayer de se dépasser, de s’élever dans le respect des valeurs qui font notre dignité d’hommes, quand on voit un Président de la République, en janvier 2014, envoyer nos soldats risquer leur vie en Centre-Afrique, et dans le même temps sacrifier aux plaisir de la « bagatelle » – comme aurait dit le Général de Gaulle – dans les bras de sa maîtresse ?

Non ! n’en déplaise à Madame Najat Vallaud Belkacem, ce n’est pas ainsi qu’on incitera nos jeunes à mener une vie droite ! Elle pourra multiplier les cours de morale, tant que nos jeunes auront de tels exemples, et des exemples impunis, rien ne les poussera sur les chemins de la vertu.

Quant à la suppression des notes, on a là, une fois de plus la volonté d’égalitarisme de nos idéologues de gauche.

Un enfant, plus que tout autre, a pour grandir besoin de racines. Il a besoin de situer dans le temps et il faut rappeler ici la stupidité de certains intellectuels qui ont voulu remplacer l’enseignement chronologique de l’Histoire, par un enseignement par thèmes.

Il a besoin de se situer parmi les élèves de sa classe, de son école, de son collège. Une note dans la mesure où elle est équitable et juste n’a jamais tué personne.

Elle crée au contraire une saine émulation entre les meilleurs qui rivalisent, comme dans un jeu, pour les meilleures places, et elle invite les derniers à faire des progrès et – éventuellement – s’ils n’en sont pas capables – questionneront leurs parents sur une nouvelle orientation à prendre.

Personnellement, il m’est arrivé, au cours de toutes mes études, d’avoir de très mauvaises notes. Elles ne m’ont jamais découragé, car je les savais méritées. Loin de là, je me suis « accroché », et j’ai remonté jusqu’à la moyenne et souvent davantage au cours de mois suivants, pour ma plus grande satisfaction et souvent pour la plus grande surprise de mes professeurs.

J’ajouterai qu’une note, qu’un devoir doivent toujours s’accompagner d’annotations. Félicitations pour l’ensemble, ou pour tel ou tel passage. Rectification pour les erreurs éventuelles. Mention des omissions. Et toujours encouragements pour les plus faibles. J’ai toujours été déçu, même lorsque j’avais une très bonne note, qu’un professeur ne mette pas le moindre commentaire à côté de cette note. J’avais l’impression qu’il n’avait pas lu mon devoir…

Je dirai également qu’un enfant et un maître doivent être unis par un sentiment d’amour. Que les mauvais esprits ne déforment pas ici le sens de mes propos ! Je pense qu’un maître doit aimer les matières qu’il enseigne et doit chercher à faire partager cet amour à ses élèves. Et qu’un élève donnera des résultats d’autant meilleurs qu’il aime et qu’il se sent aimé de son maître. Tel fut en tout cas, mon cas.

Enfin, il faut en finir avec cette idéologie ridicule et dangereuse de l’égalitarisme. Nous ne sommes pas égaux mais complémentaires ! L’école doit essayer de donner des bases fondamentales à tous – la maîtrise de la lecture, de l’orthographe, et du calcul – qui serviront à chacun toute sa vie. Mais elle devrait également arriver à déceler et développer les aptitudes personnelles de chacun.

Certains diront que je suis en train de refaire le monde. Soit. Mais je demande à tous ceux qui veulent supprimer les notes, quand et comment on sélectionnera ensuite les cadres et les dirigeants de notre société, les ingénieurs, les techniciens, les professeurs, etc., toutes les personnes dont l’intelligence, les connaissances, les compétences sont indispensables aux avancées de notre monde…

Quelques exemples de l’inconséquence de ceux qui nous gouvernent…

Autoroutes : vente de la « poule aux œufs d’or ».
En 2005, pour désendetter la France, Dominique de Villepin donne la concession de nos autoroutes à des sociétés privées. Cela prive l’état de rentrées d’argent substantielles et on mesure aujourd’hui, la stupidité de cette mesure. J’ai entendu Dominique de Villepin récemment sur France-info. Visiblement il n’avait pas le moindre remord et a simplement su dire que les automobilistes n’étaient jamais contents. C’est un peu court. Sans commentaire.

Ecotaxe :
En 2007, l’Assemblée nationale vote à l’unanimité moins quatre voix, l’écotaxe imposée aux routiers pour financer toutes nos infrastructures et encourager les transports de substitution. Voici quelques mois, devant la colère des « bonnets rouges » en Bretagne, le gouvernement a fait marche arrière, et aujourd’hui, Ségolène Royal, par peur de manifestations de routiers, abandonne le projet ! Qui gouverne ? Et qui paiera le manque à gagner ?… Les sociétés d’autoroutes, dit Ségolène, c’est-à-dire, si cela se faisait, les usagers avec une augmentation des péages !… De toute façon ce sera une nouvelle fois les contribuables sans défense qui paieront la facture, par suite de la peur et de la lâcheté du gouvernement face aux lobbies routiers… Sans commentaire là encore.

Guerre contre les djihadistes :
En 2002, Jacques Chirac prend la seule bonne décision de ses deux mandats : il refuse de se joindre à la coalition contre l’Irak menée par les Américains et les Anglais. Cette guerre d’Irak – lancée sur un mensonge de George W Bush – a brisé l’équilibre entre les communautés religieuses et ethniques que maintenait Saddam Hussein. On en voit les conséquences aujourd’hui avec le chaos en Irak et la création de l’Etat Islamique.
En 2014, la France est vent debout – malgré la misère des moyens financiers, matériels et humains accordés à nos armées qui on demande toujours plus et on donne toujours moins ! – pour frapper les djihadistes de l’Etat Islamique. Mais que font les quarante et quelques pays de la coalition de 2003, à l’origine du chaos présent ?
Nicolas Sarkozy a une grande part de responsabilité dans cette affaire. En effet, en 2011, lui qui veut aujourd’hui se faire passer pour un « sauveur », a lancé la France – contre l’avis de l’Allemagne et de vingt-sept pays européens – contre la Libye, brisant ainsi le rempart contre les flots d’immigrés qui submergent l’Europe aujourd’hui… Encore une autre inconséquence de ceux qui nous gouvernent…

Autre et dernière absurdité de ceux qui sont à la tête de l’Etat. J’apprends aujourd’hui, par l’Institut de la Justice, que l’Etat indemnise davantage les avocats lorsqu’ils défendent les voyous présumés plutôt que lorsqu’ils sont aux côtés des victimes ! Sans commentaire, là non plus !…

De tout cela il ressort que nous sommes gouvernés par des personnes qui sacrifient l’intérêt général dans l’émotion ou sous les pressions du moment, qui sont incapables de voir les conséquences à plus ou moins long terme de leurs décisions – ou qui s’en moquent totalement, étant soucieuses uniquement de leurs seuls intérêts personnels…

Quel gâchis ! Et jusqu’à quand les Français supporteront-ils cette gabegie ?!… Si tous les particuliers en charge de familles géraient leurs affaires de cette façon, il y a longtemps que ce serait le chaos le plus complet. Personne, malheureusement, ne sanctionne les incapables qui se succèdent à la tête de l’Etat. Les élections nous donnent l’illusion de choisir, mais elles ne font que changer les têtes, et les politiques suivies sont toujours aussi néfastes et dévastatrices les unes que les autres !…