Pour sauver la France, il faut impérativement que tous les partis politiques soutiennent Michel Barnier

Pour sauver la France, l’heure n’est plus aux querelles d’égo, ni à la recherche d’intérêts personnels. Il faut impérativement que tous les Français qui ont des responsabilités politiques, soutiennent Michel Barnier qui incarne la dernière et ultime chance, pour éviter que la France ne connaisse le sort de la Grèce !

Parlons avec des chiffres concrets de nos dettes, plutôt qu’avec des pourcentages.

Le déficit sur le budget 2024 est de 157 milliards d’euros, ce qui représente une dette 2 368 euros pour chacun des 68 millions de Français !

La dette publique, qui représente l’accumulation des déficits annuels depuis ½ siècle, est de3 160 milliards d’euros, ce qui équivaut à une dette de 46 470 euros par Français !

Pour ramener, d’ici 2027, comme le demande Bruxelles, le déficit sous 3% du PIB il faudrait réaliser 110 milliards d’économies d’ici 2027, soit environ 40 milliards par an !

Qu’ils aient été gonflés ou non, ces chiffres marquent combien grave est la situation financière de notre pays. Et la certitude qu’on ne pourra la rétablir qu’à long terme et avec de lourds sacrifices.

Il faut impérativement que tous ceux qui aiment la France et qui ont des responsabilités politiques, s’unissent pour soutenir Michel Barnier, et refusent les amendements stériles destinés à faire tomber son gouvernement.

Il s’agit là d’un devoir de patriotisme auquel sont appelés tous les chefs de partis, ministres démissionnaires, et autres.

Et il faut également laisser les mains libres à Michel Barnier pour prendre les mesures nécessaires pour ralentir l’immigration qui, loin d’enrichir la France, l’appauvrit. Il ne s’agit là ni de racisme, ni de xénophobie mais d’une réalité.

Si aucune mesure n’est prise rapidement dans ce domaine, notre Patrie de tradition judéo-chrétienne – dont les synagogues et les églises ne cessent d’être profanées -, disparaîtra à jamais.

Là ne s’arrêtera pas la tâche de Michel Barnier. Il devra s’attaquer à la Sécurité, à l’Education nationale si mal en point, à la Santé, à la Défense nationale, etc. Tout cela ne pourra pas se faire en jour. Il faudra faire des priorités.

Il faut espérer, enfin, que M. Macron, qui depuis sept ans se prend pour Jupiter et maître des « horloges », voudra bien s’effacer devant un Premier ministre qui est homme d’expérience, droit, loyal, qui a si bien su négocier le difficile Brexit et qui, s’il a été dans le passé membre de l’UE, ne souhaite aujourd’hui que sauver la France et l’affranchir des diktats de Bruxelles.

Les musulmans et l’islamisme…

Tout me laisse penser que les musulmans, dans leur grande majorité, n’aspirent qu’à vivre en paix. Mais le danger vient des dirigeants islamistes qui veulent imposer au monde, par la terreur, un islam radical répondant aux règles impitoyables de la charia dictée par le Prophète.

Cette charia prévoit la condamnation des mécréants, la lapidation de la femme adultère et fait de l’islam une religion misogyne : ici-bas avec la soumission de la femme à l’homme, et dans l’Au-delà où seuls les « mâles » ont accès et jouissent sans fin et à satiété des soixante-dix vierges promises par Mahomet, tandis que les femmes, elles, semblent privées de toute vie dans l’Au-delà.

J’ignore si tous les musulmans sont d’accord avec de telles pratiques et croient en de tels dogmes. Mais je remarque que beaucoup sont fidèles aux rites de leur religion – les cinq prières quotidiennes, l’aumône, le jeune pendant le ramadan, le pèlerinage à la Mecque une fois dans leur vie pour ceux qui le peuvent. Et je les respecte.

Mais nous avons pu entendre les terroristes du Hamas, après l’attaque 7 octobre dernier contre Israël, déclarer qu’ils voulaient que l’islam devienne la première religion de France, avant la religion judéo-chrétienne, plurimillénaire.

Alain Peyrefitte rapporte dans « C’était de Gaulle » en 1994, que si nous faisions l’intégration des musulmans « son village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées » Or nous y allons tout droit.

Les encouragements apportés par nos leaders de gauche et d’extrême gauche aux musulmans – en quête du maximum de voix pour se faire élire – et le laxisme de nos dirigeants, sont tels que dans dix ou vingt ans la France – comme la Grande-Bretagne – risque d’être sous la tutelle d’islamistes.

Nous devons accepter la présence sur notre sol des musulmans de nationalité française – en souhaitant qu’ils respectent nos us et coutumes… Mais que dire de ces quelques centaines de milliers de migrants – dont la plupart sont musulmans – qui s’installent chaque année en France du fait du l’incapacité et du refus de nos gouvernants de prendre des lois pour limiter drastiquement l’immigration ?… Migrants dont beaucoup, parmi les plus jeunes, n’aiment pas la France et se jettent dans la délinquance et la criminalité…

Oui, devons-nous accepter inconditionnellement ces arrivages migratoires ?… Je laisse mes lecteurs répondre à cette question. Mais je ne cache pas mon inquiétude pour mes enfants et mes petits-enfants nés sur notre terre de tradition judéo-chrétienne… Ne risquent-ils pas d’être noyés dans un islam radical ?…