par Henri LAFFORGUE | Mai 1, 2012 | Actualité
Je l’ai dit et je le maintiens : pour moi Dominique Strauss-Kahn est un salaud et un individu non fréquentable.
Mais j’aime la fidélité, aussi je ne saurais condamner catégoriquement les amis qui lui restent fidèles.
Mais n’y a-t-il pas d’autres lieux pour se rencontrer qu’un bar-restaurant installé dans un ancien sex-shop au nom éloquent de « J’ose », à la devise « Chez J’ose les langues se déhanchent et les corps se délient », dont les trois étages ont pour nom « le Paradis », « l’Enfer », et « le Purgatoire » et le plat de résistance, summum de l’appel au sexe : « orgasme » !
Vraiment ceux qui fréquentent un tel lieu n’ont rien compris, n’ont tiré aucune leçon de la débauche et de la lubricité d’un Dominique Strauss-Kahn, et n’ont aucune morale.
Et dire que dans cinq jours ces « notables » s’apprêtent à être ministres et à gouverner la France !
Français, réfléchissez à qui vous vous apprêtez à confier le sort de notre Patrie.
par Henri LAFFORGUE | Oct 14, 2010 | Actualité
J’avoue avoir du mal à comprendre toutes ces grèves à propos de la loi sur les retraites. A ma connaissance, nous sommes le seul pays d’Europe à partir sitôt en retraite. Reculer de 60 à 62 ans l’âge de départ me semble pertinent.
Je n’ai aucune sympathie pour Nicolas Sarkozy mais cette réforme dont tous reconnaissent la nécessité, me semble équitable. Peut-être suis-je mal informé ?…
J’ai bien peur que l’opposition à cette réforme soit une opposition partisane et idéologique. Je constate, une nouvelle fois, que la gauche s’oppose violemment à la nouvelle loi, mais ne propose aucun projet à la place… Cela ne me semble guère sérieux.
Le FMI dont le rôle est de veiller au bon équilibre des finances mondiales, approuve, je crois, le plan gouvernemental. Cela voudrait donc dire que les gens de gauche qui plébiscitent Dominique Strauss-Kahn et veulent faire de lui notre prochain Président, mettent en doute ses compétences en tant que directeur du FMI…
J’avoue ne plus y comprendre grand-chose et regrette tout le gâchis humain et économique provoqué par ces grèves.