Je l’avoue, j’ai peu de sympathie pour DSK et je lui reproche de ne jamais avoir eu le moindre mot pour Nafissatou Diallo dont il a brisé la vie, quel que soit le montant de l’indemnisation qu’il lui a versée.

Quoi qu’il en soit et qu’on le veuille ou non, DSK est homme – un homme que je qualifierai de malade – et qui mérite, en tant qu’homme, un minimum de respect.

Aussi j’estime écœurante la démarche de cette journaliste qui, dans un but exclusivement commercial, s’est prévalue de sentiments amoureux pour lui, a eu avec lui une liaison de plusieurs mois et, pour se faire du « fric », publie maintenant un roman dans lequel elle le traîne dans la fange.

Certes, direz-vous, DSK a eu le tort de céder à ses appâts. Soit. Mais courtiser un homme dans un but exclusivement lucratif, n’est pas très beau. Et s’il fallait porter un jugement sur cet homme et sur cette femme, je dirais que cette dernière n’a pas plus de morale que celui-ci, et que ce n’est qu’une catin dont les lecteurs seront les complices !