Particulièrement attaché à cette « fraternité » figurant dans notre devise républicaine, je suis également très attaché à la Justice.

Je pense que chacun, sur cette terre, a droit à sa place au soleil – ou à l’ombre, serais-je tenté de dire en cette période de canicule !…

Le monde est profondément injuste, et je m’attriste en voyant les guerres qui déchirent certains pays, et la misère dans laquelle beaucoup sont plongés.

Mais je refuse de céder à cette compassion facile, lancée par certaines ONG et relayée par certains journalistes et médias, envers ces milliers de « sans-papiers » et de « migrants », pour lesquels on abuse injustement – et dangereusement – de notre sensibilité !

Il serait bon, tout d’abord, à propos de tous ces migrants, de s’interroger sur la façon dont ils ont payé leurs passeurs. Ces derniers leur demandent des sommes exorbitantes, aussi tout laisse à penser qu’ils sont en fait des terroristes en herbe, financés par des réseaux islamistes, et dont le but est de semer la guerre en France et en Europe.

Certains penseront que je noircis le tableau. Alors pourquoi y a-t-il si peu de femmes et d’enfants dans ces arrivages ? Et pourquoi tous ces hommes, dans la force de l’âge, ne restent-il pas dans leurs pays, et ne s’efforcent-ils pas de renverser les dictateurs qui les oppriment ?…

Autre question : alors que les chrétiens et les juifs sont les premiers persécutés dans les pays musulmans, pourquoi y en-a-t-il si peu parmi les migrants ? Et pourquoi ces musulmans qui arrivent en masse ne vont-ils pas chercher refuge dans les pays de leur confession ?…

Admettons que ces migrants n’aient pas d’intentions belliqueuses – ce qui reste à démontrer… – est-il juste de leur accorder, sans la moindre contrepartie, toutes les aides de l’Etat dont ils bénéficient ?

Alors qu’un grand nombre de nos compatriotes – après avoir travaillé toute une vie – ont des retraites de misère et n’ont droit à aucune aide de l’Etat, il faut avoir le courage de dénoncer les soins gratuits (AME), la CMU, les allocations pour handicapés, les aides au logement, et tutti quanti, auxquels ont droit la plupart des « migrants » et « sans-papiers », sans avoir travaillé, et qui ruinent notre pays.

Alors, mesdames et messieurs les journalistes, cessez de nous faire pleurer et de nous culpabiliser sur cette masse d’arrivants, qui viennent ou pour porter la guerre sur notre sol, ou pour vivre à nos dépens !

Et vous, les élus, ayez le courage de dénoncer ces scandales, et de mettre en place des politiques de retours au pays massifs pour tous ceux qui viennent illégalement sur notre sol.