L’extrême-gauche avec ce « La police tue », de Mélenchon, et Emmanuel Macron en déclarant, à propos de la mort de cet adolescent « c’est inexplicable, inexcusable… rien ne justifie la mort d’un jeune », au mépris de la présomption d’innocence du policier, et sans attendre les résultats de l’enquête en cours, ont une grande part de responsabilité dans l’embrasement des banlieues et de centaines de villes France.
Les médias, les réseaux sociaux ont donné leur version des faits. Et l’exécutif a choisi d’accabler lâchement le policier pour calmer les banlieues. Quelle honte pour notre Etat supposé de « droit » !
Il faut rappeler pourquoi ce policier a tiré sur ce jeune qui – disons-le entre parenthèses -, était connu par la Justice pour 15 faits différents dont plusieurs refus d’obtempérer !
Rappelons les faits tels qui se sont déroulés, et non pas tels que les ont présentés l’extrême gauche et les médias qui la soutiennent.
Mardi matin, deux policiers remarquent un véhicule circulant à vive allure, sur une voie de bus…Ils allument leurs gyrophares et se mettent à le suivre.
A un feu rouge, ils demandent une première fois à la voiture de s’arrêter.
Mais, la Mercedes jaune redémarre en trombe, grillant même le feu rouge !
Les deux policiers se remettent alors en chasse et activent à nouveau leurs gyrophares.
En chemin, la voiture a un comportement extrêmement dangereux. Selon le procureur de la République, la Mercedes a failli percuter un cycliste et un piéton !
Lorsqu’enfin, la Mercedes est bloquée par un embouteillage, les deux policiers n’ont qu’une idée en tête : arrêter la voiture avant qu’elle ne tue quelqu’un !
Ils se positionnent donc devant la portière du conducteur et sortent leurs armes.
Ils sont coincés entre la voiture et un muret. En position de faiblesse, ils pointent leurs armes sur le conducteur pour le dissuader de redémarrer.
Mais… le véhicule redémarre quand même.
A ce moment, littéralement dos au mur, le policier sent que la situation peut finir en catastrophe pour lui ou pour des passants.
Il tire donc.
Un coup.
La balle traverse l’épaule du conducteur et finit dans son thorax. Il est mort.
Le véhicule termine, lui, sa course quelques mètres plus loin, et les occupants de la voiture s’enfuient…
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Parlons maintenant du policier que la Justice a jeté en prison comme un dangereux criminel.
Ce policier est un fonctionnaire décoré, père de famille et ancien militaire qui s’est battu en Afghanistan.
Il est décoré de 2 médailles pour actes de courage et de dévouement.
Mais, malgré ses états de service exemplaires, et malgré plusieurs éléments dans le sens de la régularité de son tir, il est aujourd’hui sacrifié par l’État, uniquement par peur des violences des cités.
Précisons que son tir était parfaitement légal. Il a tiré parce que sa vie était en danger et il voulait protéger la vie d’autre personnes. Ce jeune avait manqué de renverser un piéton et un cycliste. Qui risquait-il de tuer en reprenant sa course folle ?
Par ailleurs, le placement par la Justice en détention de ce policier, est tout à fait illégal, et les conditions de cette détention sont scandaleuses ! Ce policer s’est retrouvé debout dans une cellule, avec un drap dans une main et sa brosse à dents dans l’autre. Comme les délinquants qu’il combat tous les jours…
Notons qu’une affaire en tous points similaire, à la différence qu’elle n’a pas été filmée, a été tranchée dernièrement, en Charente. A la suite du refus d’obtempérer d’un chauffard, un policier a tué ce dernier, mais n’est pas allé en prison. Il a été gardé sous simple contrôle judiciaire.
Voilà donc comment notre Gouvernement et notre Justice, par lâcheté, jette en prison un policier au mépris de la présomption d’innocence, et pour essayer de calmer la colère, et la haine de milliers jeunes, dans les banlieues et dans d’innombrables ville de France !
Je précise que les informations que je rapporte dans cette chronique, peuvent être vérifiées dans la chronique, d’Axelle Theillier de l’Institut pour la Justice. contact@emailactito.institutpourlajustice.org