Quand la victoire ou la défaite à une élection se jouent à quelques voix près, il n’y a ni vainqueur, ni vaincu.

François Fillon et Jean-François Copé, s’ils pensaient un peu moins à leur personne et un peu plus à la France, auraient donc dû s’entendre pour prendre une direction collégiale de l’UMP.

Tel n’est pas malheureusement pas le cas. Ils font le plus grand tort à leur parti et déçoivent amèrement tous les Français qui avaient mis leurs espoirs en eux.

Y a-t-il encore en France, des hommes – des femmes – politiques, soucieux de l’intérêt général ? Comment prétendre rassembler quand on se déchire comme des chiens enragés ?