Nous sommes sensés vivre dans un état laïc. Je dis « sensés » car l’Etat français actuel fait davantage montre d’un athéisme sectaire que d’une laïcité neutre et bienveillante.

Cela dit, notre Constitution doit accorder à chaque citoyen la liberté de croire – ou de ne pas croire – au dieu de son choix, de pratiquer la religion qu’il souhaite, sans avoir de compte à rendre à personne. Mais cela dans la mesure où ces croyances et ces pratiques ne nuisent pas à l’unité de la Nation et à sa bonne marche.

C’est ainsi que chrétiens, juifs, bouddhistes, hindouistes, animistes, shintoïstes, athées, etc., etc., vivent en bonne intelligence, et ne font pas parler d’eux.

Tel n’est pas le cas, hélas, des musulmans, et je me demande si l’islam est compatible avec notre démocratie.

Est-il normal, en effet, qu’une religion nous impose ses régimes alimentaires (menus hallal dans les cantines et disparition des boucheries traditionnelles dans certains quartiers) ; ses tenues vestimentaires (burqa qui cache le visage) ; ses modes de soins médicaux (femmes refusant de se faire examiner par des gynécologues hommes) ; son intolérance religieuse (obligation de retirer les crucifix dans les cliniques religieuses) ; ses mœurs moyenâgeuses à propos de la mixité (piscines réservées exclusivement aux femmes certains jours) ; ses rites troublant l’ordre public (prières en pleines rues) ; accepte la polygamie interdite par notre code civil, et tutti quanti.

Il ne s’agit pas ici de reproches malveillants et racistes, mais de réalités connues de tous et de marques évidentes d’un communautarisme dangereux.

Dans ces conditions, n’est-il pas normal de se préoccuper de la progression de l’islam en France et du danger qu’il fait courir à notre pays ?

Notre démocratie n’est-elle pas en danger de mort du fait d’un islam conquérant, sectaire, intolérant et communautariste, totalement incompatible avec cette nation « Une et Indivisible » que doit être la France !

Certes la liberté de conscience doit être assurée à chaque citoyen, mais quand une religion veut dominer et étouffer toutes les autres, est-ce un crime de s’inquiéter de son extension et de son emprise tentaculaire ?

J’entends s’élever de partout des cris d’orfraie et d’indignation aux seuls mots de « statistiques ethniques ». A gauche. Comme à droite. Mais j’ai bien peur qu’il y ait derrière ces cris beaucoup d’hypocrisie, une totale inconscience ou un tragique manque de courage.

Le Dieu auquel je veux croire, ne fait aucune distinction de race, de religion, de culture, de couleur de peau, etc., et accueille tous les hommes dans son amour infini. Et il invite tous les hommes à un même et réciproque respect. Mais comment pourrions-nous respecter des personnes qui ne nous respectent pas ?…

Je sais qu’il ne faut pas confondre l’immense majorité des musulmans avec une minorité de terroristes islamistes, et je veux bien croire que cette immense majorité n’aspire qu’à vivre en paix.

Mais j’affirme que les mœurs, les coutumes, les usages, les habitudes propres à l’islam ne sont pas compatibles avec ceux de notre civilisation judéo-chrétienne. Et je crains – j’ose le dire – que cette masse de musulmans, aujourd’hui pacifique, ne se retourne demain contre nous, poussée, enflammée par quelque « fou de Dieu » avide d’en découdre.

Utopie incongrue d’un illuminé ? Je le souhaiterais. Mais je sais que les milliers de musulmans qui prennent pied sur les côtes d’Italie, ne viennent pas là par hasard et de leur seule volonté, mais sont poussés, instrumentalisés, par des leaders islamistes qui veulent étouffer, asphyxier l’Europe !

Oui, l’islam est un danger. Pour la France. Pour l’Europe. Pour le monde. Il ne sert à rien de se voiler la face. Il faut seulement en prendre conscience et chercher des remèdes pour y faire face.