Une nouvelle fois, un nouvel attentat, à Londres, donne lieu au qui mieux mieux des commentaires de solidarité, de compassion, d’indignation, etc.
Mais je n’entends personne condamner le fanatisme auquel les religions – et dans le cas présent l’islam – donne lieu. Le but des religions devrait être de rassembler les hommes dans l’Amour d’un Dieu suprême, et non pas de prêcher la mort de celui qui ne partage pas ses croyances, et de verser son sang.
Et j’aimerais que les dirigeants du monde occidental avertissent solennellement les terroristes à venir que, désormais, ceux qui seront abattus ou trouveront la mort au cours de leurs odieux attentats, n’auront pas de sépultures, seront incinérés, et que leurs cendres seront dispersées en un lieu inconnu de tous.
Je ne sais pas si cette mesure serait dissuasive, mais elle éviterait de faire de ces fous de Dieu des héros, sur la tombe desquels il serait possible de venir se recueillir ; et ce serait pour eux un châtiment cruel par rapport à leurs croyances.
J’imagine le tollé que risquerait de provoquer une telle décision, et je me demande qui aura le courage de la prendre… Pourtant, annoncée à l’avance, il me semble qu’elle ne serait que justice vis-à-vis des victimes et vis-à-vis de tout Dieu qui, quels que soient ses fidèles, ne peut leur ordonner de faire couler ainsi le sang !