Un journaliste d’un grand quotidien notait dernièrement dans son éditorial : « Nos compatriotes découvrent, jour après jour, que leur pays abrite de plus en plus de Français – puisque la plupart le sont – qui détestent la France. Et ne s’en cachent pas. »
Et il rappelait toutes ces flambées de violence – à la suite des matches de la coupe du monde avec l’Algérie, à la suite des manifestations pro-palestiniennes – dont les auteurs sont des jeunes gens « issus de l’immigration de l’Afrique du Nord et de l’Afrique subsaharienne ».
Il usait là d’un euphémisme pour ne pas dire « maghrébins ». Car enfin, osons le dire, au risque de passer pour un odieux raciste, ces jeunes qui cassent tout, qui brisent tout, qui pillent tout, sont la plupart du temps des maghrébins !
Ils haïssent la France mais profitent par contre, sans vergogne, de tous les avantages sociaux, économiques, financiers, etc., qu’elle leur octroie généreusement et sans contrepartie.
Ils bénéficient du laxisme des autorités qui au nom de l’intégration acceptent tout, tolèrent tout, même le plus insupportable et qui nous interdisent d’appeler chat un chat.
Il faut vraiment se faire violence pour ne pas devenir raciste, et pour ne pas faire un amalgame injuste et déplacé entre ces jeunes dévoyés et tous les jeunes issus du Maghreb.
Dire que la plupart des problèmes que nous rencontrons avec les étrangers ou avec les Français issus de l’immigration, viennent des maghrébins nous expose à des poursuites pour racisme.
Il s’agit là pourtant, me semble-t-il, d’une évidence.
Personnellement, chrétien de cœur, je considère tous les hommes de la terre, comme mes frères et je les respecte. Il n’en est pas hélas de même avec certains musulmans qui imposent leurs lois dans une France de tradition chrétienne, avec la bénédiction du de ceux qui nous gouvernent
Inutile de rappeler une nouvelle fois notre calendrier scolaire dans lequel les vacances de Noël et de Pâques, sont devenues les vacances d’hiver et de printemps ; les cantines halal ; certains supermarchés dans lesquels il n’y a plus ou presque plus que des produits halal ; l’expansion du voile et de la burqa, qui ne sont nullement prescrits par le Coran, et sont pour moi une évidente provocation ; les discours partisans sur la repentance dans lesquels on prétend que les Français n’auraient fait que du mal en Algérie – alors que c’est totalement faux – et dans lesquels on occulte les atrocités innommables commises par le FLN, et tutti quanti.
Je suis fermement opposé à l’escalade de la violence et de la haine, et je souhaite l’entente entre tous les hommes. Mais je me demande comment faire pour enrayer l’engrenage auquel nous assistons actuellement. Le laxisme ne donne – et ne donnera jamais – rien de bon. Seule la fermeté peut mettre un frein à tous ces désordres. Nos dirigeants politiques en auront-ils le courage ? J’en doute quand je vois les tentatives de certains d’établir le droit de vote pour les étrangers…