Loi sur l’immigration. Quand l’exécutif refuse de consulter le peuple.

Nous le savons, Emmanuel Macron n’aime pas la France. C’est un mondialiste qui est contre la souveraineté de la France et nie sa culture. Depuis 2017, il ne cesse d’endormir les Français avec son « en même temps », ses comités « Théodule » et déconstruit chaque jour un peu plus notre pays. Et, mauvais perdant, refusant de se remettre en question, alors que le Parlement vient de refuser l’examen de la loi sur l’immigration, il rend responsable de cet échec, avec morgue, les oppositions.

Quant à Gérald Darmanin il a succombé, lui aussi, aux mensonges du « en même temps ». Il a voulu convaincre la gauche et « en même temps » apaiser la droite, avant de faire l’inverse. Et il a perdu.

La majorité des Français souhaite une loi sur l’immigration. Personnellement je pensais qu’il aurait fallu accepter d’en débattre au Parlement. Les députés ont refusé le débat et je les comprends, car le projet établi par le Sénat avait été complètement détricoté et on aurait abouti à une loi qui n’aurait satisfait personne.

Ce qu’il faut savoir, c’est que l’immigration extra-européenne en France, avec l’arrivée des socialistes en 2012, puis d’Emmanuel Macron, a produit une hausse de 70% du nombre de titres de séjours ! Ainsi en 2022, 480 000 – voire davantage – titres de séjour ont délivrés à des étrangers.

Par ailleurs, le projet de loi prévoyait la régularisation des sans-papiers, ayant une expérience de huit mois pendant les 2 dernières années, dans un métier ou une zone géographique en tension, et résidant en France depuis trois ans. Cela aurait entrainé, la naturalisation d’environ 900 000 clandestins et aurait risqué de s’accompagner d’un appel d’air.

D’autre part, la classe politique était divisée sur l’AME (Aide Médicale d’Etat) et le projet d’AMU (Aide Médicale d’Urgence). La première permet une couverture intégrale des frais de santé accordée aux étrangers en situation irrégulière. Elle est attribuée pour un an, après demande sur dossier, sous conditions de résidence (au moins trois mois en France) et de ressources (environ 810 euros par mois). En 2019, un immigré en situation irrégulière sur deux en bénéficiait. Dans la loi de finances 2023, elle est estimée à 1,14 milliards d’euros.

Vu le coût de l’AME, les sénateurs LR et leurs alliés centristes avaient voté en commission un article restreignant cette aide pour la remplacer par une simple aide médicale d’urgence (AMU) ne concernant que les soins préventifs et quelques maladies graves. Mais pour certains politiques une telle mesure était dangereuse, car il était difficile de décider des maladies « non urgentes et donc non prises en prises en charge par l’AMU, et surtout il y avait un risque de voir certaines maladies se développer, donner naissance à des contagions et au final que l’état de santé général de la France se détériore…

Notons enfin que ce choix entre l’AME et l’AMU, dans le projet de loi qui a été refusé par le Parlement, était conditionné par des visées politiciennes : si le gouvernement avait gardé l’AME en l’état, il aurait perdu les vote de la droite ; s’il avait soutenu l’AMU il aurait fracturé sa majorité et perdu les votes de la gauche.

Notons d’autre part qu’Emmanuel Macron souhaite une politique de peuplement et que Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie auprès de Bruno Lemaire, déclare qu’il faudra faire venir 100 000 ou 200 000 étrangers pour faire tourner l’industrie.

C’est oublier qu’aujourd’hui, sur chaque classe d’âge, la France perd 150 000 jeunes qui finissent sans qualification, sans formation et sans emploi. Et c’est oublier également que chaque année plusieurs centaines de milliers d’étudiants, dans les Université, obtiennent des diplômes d’étude supérieure et ne trouvent pas de places dans le marché de travail où l’on n’a pas besoin de leur qualification.  Alors plutôt que de vivre de subventions versées par l’Etat et payées par les contribuables, pourquoi tous ces jeunes n’accepteraient-ils pas de de travailler pendant quelques années, avec des salaires modestes, et d’occuper ces places pour lesquelles Roland Lescure veut faire venir quelque 150 000 étrangers ?

Rappelons que le mot « métier » signifie à l’origine « service ». Qui que nous soyons, notre première ambition ne devrait-elle pas d’être au « service » de la communauté des hommes rassemblés dans une même fraternité ? Il n’y a pas de sot métier et cela bien sûr n’interdit de chercher à « grimper » dans l’ascenseur social.

Une évolution révélatrice de la mentalité des Français doit être également notée : en 1990, 60% d’entre eux déclaraient que le travail était très important dans leur vie, contre 31% qui privilégiaient les loisirs. Aujourd’hui les valeurs se sont inversées : 21% disent que le travail est très important, contre 42% qui mettent les loisirs en première place.

Cela est très grave et correspond à la philosophie du bonheur venue des USA. Pour les philosophes de ces Etats, pour être heureux, il ne faut surtout plus penser aux autres, ne plus être prêts à se sacrifier pour une cause qui nous dépasse, mais il faut avant tout « s’aimer soir-même » ! Et cela correspond à l’effondrement en 70 ans du catholicisme et du communisme.

En 1950, plus de 90% des Français étaient baptisés ; ils ne sont plus aujourd’hui que 30% et le nombre des prêtres diocésains est passé de 45 000 à 4 5000. De même l’électorat communiste est passé de 25% à 2,5%. Ainsi l’espérance du bonheur dans l’Au-delà chez les chrétiens, et la croyance d’un bonheur ici-bas chez les communistes née de la solidarité, ont disparu et laissé place à la recherche d’un bonheur immédiat et égoïste.

Enfin, soyons réalistes et regardons la politique de « peuplement » appliquée par Emmanuel Macron. Elle consiste à désengorger l’Île de France de tous ses clandestins et à les envoyer par dizaines dans de petites communes 2 000 et quelques habitants, qui n’ont pas été consultés. Cela jette le trouble le plus complet dans ces communes auparavant paisibles. Bien souvent ces clandestins privilégiés par rapport aux habitants, sûrs de leurs droits ne respectent rien et les habitants sont condamnés à faire des pétitions pour demander leur départ. Pétitions qui, dans la plupart des cas, n’aboutissent à rien.

oilà donc la politique migratoire du gouvernement. Et tout laisse à penser que si les députés n’avaient pas rejeté le projet de loi porté le 11 décembre, cette politique qui détruit notre pays, son économie et la tranquillité de ses habitants eût été renforcée. Reste à savoir quel résultat sortira de la Commission Mixte Paritaire (CMP) destinée à « retricoter » une nouvelle loi…

A propos des flux migratoires…

Nos gouvernants ne cessent de repousser de mois en mois, une loi, absolument nécessaire pour réguler l’immigration en France.

La prochaine prévue devrait être débattue à l’automne.

Hélas ! – sans faire de mauvais esprit – nous savons à l’avance, que tous les députés et toutes les associations de gauche et d’extrême gauche – favorables à l’accueil sur notre sol plus grand nombre d’immigrés – feront retirer de cette loi tous les éléments qui lui permettraient un minimum d’efficacité.

Si la France a toujours fait preuve – et doit toujours faire preuve – de la plus grande humanité avec tous nos frères de la terre dans la misère, il me semble qu’il serait juste qu’elle sélectionne celles et ceux qui veulent s’installer sur notre sol.

Et la première chose – fondamentale – serait que cette sélection se fasse au niveau de nos ambassades, dans les pays étrangers. En effet, cette sélection se fait actuellement sur notre territoire, et il est pratiquement impossible de renvoyer les migrants qui n’ont pas droit à s’installer en France.

Il est bien évident que, en vertu du droit d’asile, nous avons le devoir d’accueillir toutes les personnes dont – pour maintes raisons – la sécurité et la vie sont menacées dans leur pays. Mais savons que nos ambassadeurs sont les plus aptes vérifier – avec le plus d’exactitude possible – si les demandes d’asile sont justifiées, car nous savons qu’il y a beaucoup de fraude.

Par ailleurs, à côté de ce droit d’asile fondamental – dont le respect fait la grandeur la France – la loi doit fixer des critères impératifs d’immigration. Comme le dit, jadis, Michel Rocard, nous ne pouvons accueillir toute « la misère monde !

Nous ne devons en finir avec une immigration « subie » et en revenir à un immigration « choisie ».

Il faut impérativement fixer des listes de métiers et de professions dont avons besoin en France, dans des secteurs précis. Il faut également permettre à des jeunes de venir faire des études sur notre sol, pour repartir ensuite, dans leurs pays respectifs, afin d’enrichir ces pays de leurs connaissances et de leurs expériences, et de participer à leur développement. Ce ne sont là que quelques exemples, mais il y en bien d’autres.

Il faut aussi établir des titres de séjour limités dans le temps, renouvelables et qui, pour donner droit à une naturalisation, seront conditionnés à une certaine durée sur notre sol, à la connaissance du français, des fondamentaux de notre histoire, et au respect de nos mœurs et de notre civilisation judéo chrétienne, etc.

Se pose la question des métiers dits en « tension » dans lesquels travaillent au « noir », depuis plusieurs années, des migrants. Doit-on les régulariser ? La question mérite d’être débattue. Mais pourquoi ne pas exiger, pour les naturaliser, qu’ils apprennent, comme indiqué précédemment, notre langue, les points remarquables de notre histoire nationale, et qu’ils se plient respect de nos mœurs et notre passé judéo chrétien ?…

Nous devons absolument exiger des migrants qui viennent sur notre sol, qu’ils s’intègrent et adoptent nos valeurs ;

Nous en avons conscience, la régulation des flux migratoires exige une politique européenne, voire internationale. Quand des vagues de migrants, victimes de passeurs attirés uniquement par l’argent, et avec la complicité d’ONG toujours prêtes à les accueillir, arrivent par bateaux surchargés sur les côtes méditerranéennes, certes nous avons le devoir de leurs porter secours, lors des naufrages fatals. Mais, l’Europe, me semble-t-il, doit se mettre d’accord pour refuser l’angélisme actuel, et refouler dans leurs pays d’origine, tous ces étrangers qui n’ont pas le droit de s’installer sur notre continent.

Mesure sévère, j’en conviens. Qui heurte ma sensibilité mais qui, j’en suis sûr, quand elle aura été mise en place et sera connue des volontaires à l’exil, mettra fin à ces arrivages sans nombres !

Voilà, en quelques mots, quelques idées générales, qui mériteraient d’être développées. Je n’en dirai pas plus et je refuse d’accompagner cette chronique de chiffres et de statistiques, pour ne pas l’alourdir, car c’est le fond qui m’intéresse, et les chiffres chacun peut les trouver sans peine.

J’ai essayé de lancer ici quelques pistes, tout en étant conscient de la complexité d’un problème qu’on doit s’efforcer d’appréhender avec rigueur et aussi humanité, pour lequel une approche uniquement française ne peut suffire, et qui doit s’accompagner de politiques européennes et internationales.

Quels exemples les hommes politiques contemporains laisseront-ils à nos descendants dans 80 ans ?…

Vendredi dernier, 7 juillet, un hommage solennel et bien mérité a été rendu, sur la plage d’Ouistreham, à Léon Gautier, dernier survivant du commando Kieffer.

Rappelons que ce commando était composé de 177 Français, qui avaient refusé la défaite de juin 1940, et avaient rejoint la France Libre.

Ces hommes, commandé par le lieutenant de vaisseau Kieffer, formèrent la « 1ère Compagnie, Fusilier Marin Commando”, qui dépendait du « Special Service Brigade britanniqueʺ. Ils reçurent en Ecosse, à partir du printemps 1942, le plus dur entrainement au combat qu’on pût imaginer, les amenant au bout de leurs forces, avec des tirs à balles réelles, et toutes les conditions qu’ils pourraient rencontrer lors de leur débarquement.

Ils furent donc les seuls Français à débarquer en Normandie le 6 juin 1944. Au soir du débarquement, ils se trouvaient à 14 km à l’intérieur des terres, selon l’objectif qui leur avait été assigné, mais comptaient 93 blessés et 21 tués. Le lendemain, sur 12 officiers, il n’en restait que 2 !

Léon Gautier était l’un d’eux, et il refusait qu’on le qualifie de « héros », disant avec la plus grande humilité qu’il n’avait fait que son devoir !

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Devoir exemplaire d’un Français qui, par amour de la France, uni dans un élan fraternel avec tous ceux qui refusaient la défaite, avait accepté tous les dangers et était prêt à sacrifier sa vie pour la Liberté de notre Patrie, sous le joug nazi.

De cela, il y a tout juste 80 ans. Et je me demande – avec la plus grande inquiétude – quels exemples de dévouement, d’Amour de la France, de sens de l’honneur, laisseront nos dirigeants d’aujourd’hui, aux Français qui vivront dans 80 ans ?!…

Un chef d’Etat, qui a été incapable de gérer avec humanité, bon sens et intelligence, le mouvement de protestation des gilets jaunes, apparu en octobre 2018. Initialement, ces derniers manifestaient, de façon tout à fait légitime, contre l’augmentation du prix des carburants automobiles. Mais le technocrate Emmanuel Macron refusa de donner une suite favorable à ces revendications.

Conclusion de l’affaire, la France allait connaître 8 mois de violences extrêmes, avec des dégâts de plusieurs milliards, le versement de 10 milliards aux gilets jaunes, et s’achever par un « grand » débat, dont le chef de l’Etat a le « secret » et qui ne mène à rien !…

Quel exemple d’honnêteté et de droiture, le chef de l’Etat laissera-t-il à nos descendants dans 80 ans, quand il déclara, lors de la campagne présidentielle de 2017, qu’il ne modifierait pas l’âge de départ de 62 ans pour les retraites ?…

On connaît la suite et les polémiques sans fin au Parlement, suivies d’innombrables manifestations, par la faute de ses maladresses et de son incompétence.

Parlons encore de la gestion du Covid, de tous les mensonges dont elle s’est accompagnée, de toutes les vérités et contre-vérités, dont se sont rendus responsables tous les membres gouvernement. Bel exemple, là encore, dont pourront s’inspirer nos descendants !

Que diront également nos descendants, de tous les hommes politiques d’aujourd’hui – de droite comme de gauche – qui refusent de reconnaître que l’embrasement des banlieues et de tant de villes de France – qui couvait depuis des décennies – a ses origines profondes la haine de la France et du refus de s’intégrer d’un grand nombre de « banlieusards – pas tous, il est vrai – issus des dernières générations d’immigrés – maghrébins et noirs ?!…

Pourront-ils être fiers de notre ministre de la Justice, Eric Dupond Moretti, poursuivi, entre autres, pour « prise illégale d’intérêts » et qui, malgré tout, conserve sa place au gouvernement et la confiance du chef de l’Etat ? Et quels exemples leur donnera cette clique de ministres, dépourvus de tout sens de l’honneur, d’amour de la France et soucieux davantage de leur place que de l’intérêt de notre Patrie ?!…

Les faits que je rappelle là sont bien connus et j’arrête là ma diatribe.

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Mais j’ai envie de pleurer en pensant à Léon Gautier, à ses innombrables camarades dans la Résistance, qui ont choisi de faire passer la Patrie avant leur intérêt personnel ! Combien, poussés par le seul sens du devoir, ont sacrifié leur vie pour la liberté de tous, pour libérer la France du joug nazi et d’une une Gestapo qui tirait sa toute puissante de la milice aux ordres de Vichy.

Oui, qui dans 80 ans se souviendra encore de leur sacrifice ?…

Et comme je le disais plus haut, j’ai envie de pleurer, car plus personne, dans 80 ans, ne se souviendra du sacrifice des tous ces hommes et de toutes ces femmes.

A l’image de notre chef de l’Etat actuel, qui n’aime pas la France – c’est un fait connu – et qui est partisan du mondialisme, j’ai bien peur que, faute de beaux et nobles exemples laissés par nos « pseudos » élites contemporaines, et qu’en l’absence d’incitations à se dévouer corps et âme à la Patrie, les idéaux de nos descendants dans 80 ans, se limitent essentiellement au consumérisme, et à la satisfaction égoïste de leurs besoins matériels et individuels !..

Mensonges et vérités à propos de la mort de Naël. Incompétence du Chef de l’Etat !

Quand j’entends certains jeunes et les affidés de la Nupes, qualifier de « criminel » le policier qui a tué Naël, réclamer la peine la plus sévère contre lui, et demander l’incarcération de son collègue, je suis écœuré.

D’autant plus que ce policier, qui fait l’objet de la vindicte populaire, a été placé en prison au mépris de la présomption d’innocence, avant le résultat de toute enquête, dans le seul but d’éviter les émeutes : on voit le résultat !

Quand je vois la Première ministre, Elisabeth Borne, le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, et toute la clique de la bien-pensance, de droite comme de gauche, crier son indignation et au scandale, devant cette cagnotte lancée en ligne, pour soutenir l’épouse et l’enfant de ce policier, j’ai envie de vomir.

Car, ce que les médias, à la solde du gouvernement, ne disent pas, c’est que ce mari, ne touche plus son salaire et que, du coup, son épouse n’a plus d’argent pour vivre !

Ce qu’ils ne disent pas non plus, c’est qu’un ambulancier a dévoilé son adresse, et qu’elle est désormais obligée d’aller d’hôtel en hôtel, son adresse étant chaque fois retrouvée par des personnes qui en veulent à sa peau !…

Honte à notre gouvernement dont le rôle serait de placer cette femme et son enfant sous protection policière !!!… Mais on voit là l’iniquité et l’injustice de la Justice !

Ce qui est passé sous silence, encore, c’est que, contrairement à ce que les ennemis de la police prétendent, ce policier n’a jamais dit à ce jeune Naël – qui n’en était pas à ce premier refus d’obtempérer – : « Je vais te filer deux balles dans la tête ! »

Grâce à une analyse plus poussée la bande son, on sait qu’il a dit : « Arrête ton moteur et mets tes mains derrière la tête ! » Ce qui est totalement différent !…

Hélas ! le jeune délinquant n’a pas arrêté son moteur et alors que le policier – à ma connaissance – voulait tirer dans ses jambes, le démarrage de la voiture aurait modifié la trajectoire du tir et Naël aurait été atteint dans le thorax…

Voilà ce que les médias, qui s’acharnent contre ce policier, ne disent pas…

Précisons encore, que le jeune Naël avait déjà failli, dans sa course folle, renverser un cycliste et piéton, et qu’en l’empêchant de repartir le policier a voulu éviter des accidents graves et peut-être des morts !

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J’ajouterai que – à ma connaissance – de nombreux maires avaient averti récemment l’Elysée de risques d’émeutes et n’ont pas été entendu !

Qu’Emmanuel Macron et avec son éternel « en même temps » qui veut tout dire et son contraire, et qui a toujours le plus grand mal à prendre des décisions, n’a rien compris à ces émeutes.

Parfait technocrate, manquant totalement d’humanité, n’ayant – comme Elisabeth Borne – jamais eu le moindre mandat local et donc n’ayant aucune connaissance du terrain, il n’a fait que jeter de l’huile sur le feu en déclarant, à propos de la mort de Naël, et avant le résultat de toute enquête : « c’est inexplicable, inexcusable… rien ne justifie la mort d’un jeune ». Et alors que la première décision à prendre, pour stopper l’embrasement de toutes les banlieues et d’innombrables villes, était d’instaurer un couvre-feu, il ne l’a pas fait !

Les médias sont bien silencieux, là encore, sur le fait que le mercredi 28 juin, le lendemain de la mort de Naël, quand la France s’embrasait, le couple présidentiel assistait au dernier concert d’Elton John, et que, sur les très rares photos qui ont été diffusées, on pouvait voir la première dame de France, frétiller aux sons de la musique !…

Par ailleurs, avec son éternelle politique de repentance et, en qualifiant la colonisation de « crime contre l’humanité », il n’a fait qu’attiser la haine contre la France d’une grande partie des jeunes des banlieues.

Car tout le problème est là : une grande partie des jeunes issus de l’immigration n’aiment pas la France ! Or, on ne peut espérer une vie paisible et harmonieuse dans un pays tant qu’une partie de ses habitants – fût-ce une minorité – ne l’aime pas !

Mais que faire ? Ces jeunes sont français. On ne peut donc pas les expulser et ce n’est en déversant des milliards dans les banlieues qu’on les convertira !…

J’ajouterais encore que – si nous avions un gouvernement digne de ce nom et non pas un ramassis de pleutres – il mettrait en prison et empêcherait de de nuire, un Jean-Luc Mélenchon, qui voue notre police aux gémonies, qui ne cesse de répandre la haine envers notre Patrie, et souhaite sa mort !

Pour finir, je veux dire ici ma grande inquiétude. Le troisième mot de notre devise nationale est « Fraternité » Or, quand nous voyons le chef de l’Etat, Emmanuel Macron – c’est un fait de notoriété publique -, qui n’aime pas la France et qui prétend qu’il n’y a pas de culture française, comment espérer unir et rassembler tous les Français dans un même Amour de notre Patrie et dans le respect de ses valeurs pluriséculaires ?…

France : après le découragement, le désespoir…

Quels signes d’espoir en l’avenir les Français peuvent-ils trouver actuellement ?…

Les médias – appuyés par les climato-gauchistes – ne cessent de nous harceler avec une écologie punitive, sont contre tous les grands projets, prônent la décroissance et finalement annoncent l’apocalypse…

Les politiques sont loin d’être vertueux et exemplaires. Quel spectacle lamentable que les débats entre parlementaires à l’Assemblée nationale ! Que d’insultes et de grossièretés, entre les députés et que de votes dictés pour des raisons partisanes, sans tenir compte de l’intérêt de la France !…

Comment ne pas être désespérer encore, en voyant un islam radical s’imposer de plus en plus, au mépris de nos racines judéo-chrétiennes et au mépris des lois élémentaires de la laïcité ?… Cela avec la complicité de l’Etat qui laisse fleurir les mosquées, et oblige les chrétiens à déboulonner ou déplacer leurs statues souvent séculaires !…

Que dire encore de l’Education nationale, avec à sa tête un ministre, Pap Ndiaye, adepte du wokisme, qui met sous cloche l’enseignement fondamental des savoirs et privilégie – dès le plus jeune âge des élèves – des idéologies tournées vers la sexualité, les informations sur les transgenres, l’homosexualité, etc., avec le concours de personnes LGBT ?!…

Parlons encore de l’arrivage massif et sans contrôle de migrants, que nos dirigeants sont incapables de renvoyer dans leurs pays d’origine. Beaucoup de ces migrants viennent de pays en guerre et ont vu leur équilibre gravement perturbé, par des scènes de violence et de barbarie inouïes – quand ils n’en ont pas été eux-mêmes les acteurs – et présentent donc les plus graves dangers pour notre société !… Il suffit pour s’en convaincre de voir tous les attentats, tous les meurtres, dont les Français sont régulièrement victimes de la part de migrants et que les médias – à la solde du gouvernement – occultent les plus possible !…

Parlons également de la faillite complète des gouvernements successifs, dans d’innombrables domaines, comme ceux de la santé, de la désertification de certains territoires, etc. Rappelons l’abandon tragique de la psychiatrie. Un grand nombre de Français – notamment à la suite du confinement dû au Covid – souffrent de problèmes psychiques et – faute de psychiatres – ne peuvent être soignés ! Il en est de même de nombreux détenus dont la place serait davantage dans des asiles, où ils pourraient recevoir des soins appropriés que dans des établissements pénitentiaires !…

Rappelons les mirages funestes du mondialisme et d’une Europe sans frontières !… La France, cette France que nos pères avaient construite avec courage, dont ils étaient fiers, et qu’ils nous avaient léguée florissante aux prix d’innombrables sacrifices, cette France pluriséculaire est désormais réduite à un espace sans âme, au milieu d’une Europe dans laquelle elle n’a plus aucun pouvoir !

L’amour de la Patrie, le sens de l’honneur, l’altruisme, l’abnégation, le souci des autres, ont bien souvent laissé place à un matérialisme et un individualisme désespérants ! Nos pères s’efforçaient de construire une société, dans laquelle chacun aurait sa place, serait respecté, quelles que soient sa condition sociale, sa situation. Tout cela a disparu, et a laissé place à une société sans unité, faite de mélange de populations sans aucun lien, sans idéaux, ni valeurs communes !

Le drame c’est que tout cela conduit, non pas au découragement mais au désespoir !

Le découragement, en effet, on peut s’en remettre, à force de volonté, et en se retroussant les manches. Tandis que le désespoir est un chemin qui conduit aux pires lendemains, en détruisant les démocraties et en ouvrant la voie à de redoutables régimes dictatoriaux.

Rappelons-nous : c’est le désespoir de la jeunesse qui – en 1933 – a contribué à l’ascension du nazisme incarné par Hitler. Bilan : la Seconde guerre mondiale, le conflit le plus coûteux en vies humaines de toute l’histoire de l’humanité !

Veillons à ce que le désespoir que nous connaissons actuellement ne soit pas suivi des mêmes conséquences !…