Réflexions sur la crise sanitaire – les responsabilités individuelles – la sécurité.

 La crise sanitaire : Je refuse de polémiquer ici sur la façon dont l’exécutif gère la situation sanitaire, depuis un an. Tous les reproches que nous pouvons lui faire sont bien connus, et il est inutile de les rappeler.

Toutefois, j’attirerai l’attention sur cette promesse faite, par le gouvernement, voici un an, d’augmenter de plusieurs milliers le nombre des lits dans les hôpitaux. Promesse qui n’a pas été tenue –de beaucoup s’en faut !- et dont on paie les conséquence aujourd’hui. Et j’éviterai également les commentaires sur tous les « couacs » de la vaccination !…

Pour en finir sur ce thème, j’ajouterai que je suis profondément révolté par la façon dont les Français sont infantilisés, et par le déni de démocratie dans lequel nous nous trouvons. Une très grave atteinte est portée au régime parlementaire.

L’Assemblée nationale et le Sénat sont devenus de simples chambres d’enregistrement, que le président de la République ne consulte plus. Nous venons d’en avoir encore un exemple flagrant, vendredi dernier, 2 avril, quand le Parlement a été invité à voter pour entériner des décisions prises la veille par le chef de l’Etat !…

Responsabilités individuelles : Je ne polémiquerai pas non plus à propos de l’opportunité ou non des confinements successifs. Mais j’estime –et là ce n’est pas la faute du gouvernement- que les Français ont une très grande part dans la responsabilité de l’explosion actuelle du Covid-19.

Une grande partie d’entre eux ne respectent pas les gestes barrières, ne mettent pas les masques, ne respectent pas les mesures de distanciation, se réunissent, font la fête sans les moindres précautions, et cela malgré toutes les mises en garde, etc.

Les Français sont bien connus pour leur individualisme et leur indiscipline. Et, sans la peur du gendarme, un grand nombre d’entre eux ne respecteraient pas les mesures décidées par le gouvernement.

Mais est-il normal de mobiliser des milliers de gendarmes et policiers, pour faire rentrer dans le rang tous ces contrevenants ? D’autant plus que, lorsque ces contrevenants se réunissent par centaines, les forces de l’ordre sont dans l’incapacité de tous les verbaliser… Je pose la question, mais je ne peux y répondre…

Et puis, pour en finir avec ce chapitre, j’évoquerai la stupidité la plus complète de certaines autorisations de déplacement dérogatoire, « pondues » par des bureaucrates, n’ayant aucun sens des réalités, et l’obligation –pour les pauvres « pékins » que nous sommes- de les suivre à la lettre, sous peine de d’être verbalisés.

Sécurité : Cependant il faut bien avoir conscience que pendant que le Covid-19 explose, en même temps, l’insécurité explose un peu partout en France.

Les forces de l’ordre, mobilisées pour la crise sanitaire, ne peuvent pas assurer, en même temps, la sécurité sur l’ensemble du territoire, et notamment dans les quartiers sensibles.

Il se passe rarement de semaines, voire de jours, sans qu’il y ait de violentes agressions –parfois mortelles- des élus gravement menacés, des voitures, des bus, du mobilier urbain incendiés, etc., et tout cela en tout impunité, et avec, la plupart du temps, le silence des médias.

Quand les auteurs de ces délits sont appréhendés, leur convocation à comparaître devant la justice est très souvent reportée aux calendes grecques et, quand ils comparaissent, leurs peines sont souvent minimes…

Les réseaux de drogue prospèrent à l’envie et, chaque fois que l’un d’eux est démantelé, ce sont de violentes représailles contre la population, contre les élus et contre les forces de l’ordre.

La situation est dramatique. Je ne fais qu’exposer des faits et suis, là encore, incapable d’y apporter des solutions.

Je dirai simplement, pour finir, que nous payons des décennies d’économies dans les domaines, entre autres, de la santé et de la sécurité. Le laxisme des gouvernements successifs, a conduit à une réduction drastique des effectifs de gendarmes et de policiers.

D’un tempérament plutôt optimiste, j’avoue ici ma profonde inquiétude pour notre avenir. La France est en pleine déliquescence. Qui sera capable, demain, de la relever ?

Osons en parler…

Tout le monde le sait, mais personne n’a le courage d’en parler. Le sujet est tabou et les rares personnes, qui se risquent à l’aborder, s’exposent à la vindicte médiatique et à l’infâme qualificatif de « raciste » ou de « xénophobe » !

Pourtant la vérité est là. Indéniable : la majorité des actes de délinquance et de violences, commis en France, est le fait de musulmans – maghrébins d’Afrique du Nord (sans la moindre idée péjorative dans ce mot) ou Noirs africains.

J’entends déjà les cris d’orfraie, je veux dire les « hurlements », de toute la classe dirigeante et bien-pensante, qui ne veut surtout pas de vagues, et qui est prête à toutes les compromissions pour s’assurer de son maintien au pouvoir ; et aussi les cris de toutes les Associations telles que SOS racisme, le MRAP, le haut-commissariat au culte musulman, la Ligue des droits de l’homme, etc., etc.

Je le sais : le fichage ethnique et religieux est interdit en France. Cependant en comptabilisant le nombre de menus hallal commandés par les détenus en prison, on arrive à savoir la proportion de musulmans qui s’y trouvent. Si on ne peut fixer avec une entière certitude cette proportion, il semblerait cependant que les musulmans en prison soient plus de 60 %.

Ceux qui lisent habituellement mes chroniques le savent : j’ai le même respect pour tous les hommes de la terre, quels soient leur couleur de peau, leur religion, leur culture, etc. A propos des jeunes en prison, j’ai conscience que ce sont souvent des adolescents qui habitent des cités dégradées, et qui risquent plus que d’autres de sombrer dans la délinquance. Que ce sont souvent des « paumés », des « désœuvrés », des jeunes que les parents n’ont pas éduqués, etc. Je tiens à dire que je n’ai pas le moindre sentiment de haine envers eux et que je regrette que leurs parents que ne leur aient pas appris à aimer la France ! Je pense enfin que la prison n’est pas le meilleur remède pour remettre ces délinquants dans le droit chemin.

Mais je voudrais maintenant élargir la réflexion à l’ensemble des musulmans, et je dirai que je n’aurai de respect pour l’islam que le jour où je verrai tous les musulmans de France se lever en masse et condamner :

– les crimes innommables de leurs coreligionnaires : voitures piégées, tortures, décapitations, ici et là, dans le monde, etc.

– les mœurs totalement incompatibles avec des civilisations évoluées : polygamie, mariages forcés, et femme réduite en esclavage, sous la domination des hommes.

– intolérance des musulmans vis-à-vis des autres religions : persécutions des chrétiens d’Orient, destruction de leurs églises, mise à mort des renégats.

– mœurs criminelles telles que la lapidation des femmes adultères, etc.

– enfin volonté d’imposer la sinistre charia à tous les habitants de la planète.

Naturellement on va me rétorquer qu’il ne s’agit là des crimes et des mœurs que d’une infime minorité d’extrémistes, qui ne représentent pas l’islam, et qu’il ne faut pas faire l’amalgame… avec la grande majorité des musulmans !

Eh bien ! Je le répète, tant que je ne verrai pas l’immense majorité des musulmans de France sortirent leur silence et condamner massivement, haut et fort, ces extrémistes et se désolidariser d’eux, je ferai l’amalgame !…

Tel n’est, hélas ! pas le cas. Peur ? Lâcheté ? Opportunisme ?… Quels que soient les mots, il est évident que ces pleutres manquent de courage, et ne témoignent guère d’un grand amour de la France.

Or, quand on vit dans un pays, la première chose est de l’aimer et de faire partager cet amour à tous ses proches. Malheureusement et visiblement les adolescents délinquants musulmans n’ont pas appris, eux non plus à aimer notre patrie, d’où la cohabitation de plus en plus difficile avec l’ensemble de la communauté française.

Je ne fais ici que des constats. Libre à chacun de les croire ou non. Les réseaux sociaux –tout le monde le sait- ne cessent de déverser des messages de haine. Or la haine ne construit rien. Elle dresse les gens les uns contre les autres, s’alimente de mensonges, de calomnies, et risque tôt ou tard de les pousser à s’entretuer…

J’ai refusé dans cette chronique d’adopter une neutralité bienveillante à l’égard de l’islam. Car l’islam me semble de nos jours, le plus grand obstacle à la paix en France et dans le monde. Tout cela parce que l’islam –loin d’être une religion de paix- est avant tout une idéologie qui n’a qu’un but : conquérir la planète et réduire en esclavage l’humanité.

La France est-elle encore gouvernée ?…

Désormais, chaque samedi, ce ne sont plus à des manifestations que nous assistons, mais à des véritables scènes de guérilla !

Les rues, les boulevards, les avenues, les places de nos villes, sont le théâtre de violences urbaines de plus en plus importantes ! Des voitures sont incendiées, le mobilier urbain est saccagé, des commerces, des banques, des distributeurs de billets sont vandalisés et pillés !

Et personne n’est responsable ! Ni le gouvernement qui autorise ces manifestations ; ni les manifestants qui n’ont plus de services d’ordre ; ni les casseurs qui peuvent opérer en toute impunité et ne sont pas poursuivis !

Ces manifestations sont devenues un rituel hebdomadaire et bafouent la démocratie. Les manifestants savent-ils encore pourquoi ils manifestent ?… Soi-disant contre la loi sur « la sécurité globale » et sur son fameux « article 24 ». Or, cette loi a été votée par l’Assemblée nationale et est en cours de relecture au Sénat. Quant à « l’article 24 », il est en cours de réécriture ! Ce qui est parfaitement démocratique.

Le pire, c’est que l’on voit des députés participer à ces manifestations, alors que leur place est à l’Assemblée nationale où ils représentent le peuple et où ils ont pour mission de voter les lois et les amendements !…

D’autre part, comment tolérer que plusieurs centaines de milliers de nos concitoyens aient été verbalisés pour la simple et seule raison que leur attestation de déplacement n’était pas en règle, quand dans le même temps, des milliers de manifestants sèment le chaos et ne sont pas inquiétés ?!…

Comment tolérer que les médias s’attardent à diffuser les images des manifestants blessés, et montrent peu ou prou, les membres des forces de l’ordre et les pompiers victimes de la barbarie de ces mêmes manifestants ?!…

Enfin, à tous ceux qui osent prétendre que nous sommes dans un état policier et liberticide, je demande quel état de ce type autoriserait de telles violences !…

Oui ! La France n’est plus gouvernée et si l’exécutif ne se ressaisit pas rapidement, la guerre civile nous menace !…

Ne désespérons pas !…

La France, cette France que nous aimons tous, pour la Liberté de laquelle tant de nos Anciens ont donné leur vie, et pour laquelle tant des nôtres se sont battus, cette France traverse de terribles épreuves.

Non seulement elle est victime – comme tous les pays du monde – d’une pandémie sans précédent dans l’Histoire, aux conséquences incalculables, dont ignorons la durée et dont nos enfants et petits-enfants paieront sans doute pendant de longues années les « pots cassés » !…

Mais il y a plus : elle connaît maintenant un recrudescence d’un terrorisme aveugle qui frappe n’importe où, n’importe quand, n’importe qui, et dont personne n’est l’abri.

D’un naturel optimiste, je refuse la désespérance et je voudrais faire partager à tous mes raisons d’espérer.

Tôt ou tard, les scientifiques enrayeront cette crise du Covid-19, trouveront un vaccin et en viendront à bout. Certes le prix à payer sera colossal, mais j’ai bon espoir dans solidarité nationale et intergénérationnelle, pour rendre plus supportables les dommages provoqués par cette pandémie.

Quant au terrorisme, c’est une guerre asymétrique, dans laquelle notre faiblesse – mais aussi notre honneur ! – est de respecter les lois de la guerre, face à un ennemi qui ne les respecte pas.

A défaut de totalement l’éradiquer, nous pouvons l’endiguer. Avec une bonne dose de volontarisme et de courage politique, on pourrait mettre des moyens matériels, humains et législatifs en adéquation avec la réalité.

Il faudrait notamment renoncer aux décennies de laxisme de tous nos gouvernements successifs. En durcissant nos lois et en commençant par emprisonner systématiquement tous les fichier « S », et en mettant un terme aux vagues migratoires qui amènent sur notre sol des individus qui n’aiment pas notre pays, en cherchent tous les avantages, et se retournent parfois contre nous.

Enfin, il faut éviter la tentation de tomber dans un cycle de vengeance stérile et qui ne pourrait que nous conduire à une guerre civile. Je l’ai souvent dit, les musulmans vivant en France doivent se plier à nos lois et ne pas nous imposer les leurs. La sauvegarde de notre identité nationale dépend de cette condition. Mais je refuse cependant de considérer tous les musulmans comme des terroristes en puissance et je pense que, s’ils le veulent, nous pouvons vivre en bonne intelligence avec eux.

Covid-19. Terrorisme. Ne cédons pas à la stérilité du désespoir. Montrons-nous dignes de nos Anciens qui ont su se relever après la terrible débâcle de 1940 !

Ils s’appelaient…

Ils s’appelaient Abdelaziz, Ahmed, Fayçal….

Leurs épouses s’appelaient Fatima, Jalila, Lina…

Et leurs enfants s’appelaient Brahim, Djibril, Zineb…

Ils étaient une soixantaine et leur lieutenant s’appelait François.

Ils l’appelaient «  Krouia », « Mon frère »…

Ce dernier avait fait construire pour chaque couple une mechta.

Des appelés apprenaient à lire, à écrire et à compter à tous ces enfants.

Une équipe médico-sociale passait régulièrement dans le camp,

Soignait les malades, donnait aux femmes des leçons d’hygiène.

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Hélas ! Hélas ! cette France qu’ils aimaient les trahit honteusement !…

Hélas ! Hélas ! muté en métropole, quelques mois avant l’indépendance,

Le lieutenant François ne put les ramener en France.

Ceux-là trouvèrent donc la mort en déminant la frontière algéro-tunisienne !…

Et ce ne furent pas les seuls harkis, lâchement abandonnés par la France, à trouver la mort.

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Les plus chanceux – grâce des officiers qui désobéirent aux ordres de leur hiérarchie

Et virent leur carrière brisée – purent venir en France, mais dans quelles conditions !

La plupart furent parqués dans des camps insalubres où ils restèrent des années…

Les autres, restés en Algérie, furent considérés comme des traitres par leurs frères,

Et connurent, après d’horribles tortures, une mort atroce et barbare.

Souvent, dans la nuit et dans le dernier versant d’une vie,

L’ancien lieutenant François pense avec déchirement

A ces familles qu’il aimait. Il a su la mort des hommes qui l’avaient suivi par amour.

Mais il ignore le sort de leurs épouses et de leurs enfants…

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Plus de cinquante ans ont passé. Les injustices et les souffrances d’hier

Ne sauraient être oubliées.

Mais le temps de la réconciliation entre les descendants

De ces combattants des deux rives de la Méditerranée, n’est-il pas venu ?…

Il y a un  temps pour haïr et un temps pour aimer.

Un temps pour la guerre et un temps pour la paix.

Les jeunes d’aujourd’hui ne sont pas responsables des conflits passés.

Il ne saurait être question de repentance à sens unique,

Comme le souhaitent certains politiques, ignorant tout de l’Histoire.

Mais il s’agit d’une fraternité retrouvée entre deux peuples qui se respectaient

Et qui doivent impérativement abandonner tout sentiment de rancune et de haine.

Les descendants des harkis vivant en France souhaitent cette amitié

Et vous, jeunes Algériens, quand prendrez-vous cette main fraternelle qu’ils vous tendent ?…