A propos de la laïcité…

Les tensions entre les Eglises et la République avaient été résolues par la loi du 9 décembre 1905. Cette loi, concernant la séparation des Églises et de l’État, avait été l’aboutissement d’un long processus de laïcisation et de sécularisation engagé depuis la Révolution française.

Elle s’accompagna de l’exil de nombreux prêtres, de nombreuses communautés religieuses et de nombreuses religieuses.

Notons que l’attachement des prêtres et des religieuses à notre Patrie, vit beaucoup d’entre eux revenir combattre et donner leur vie dans les tranchées pendant la Grande Guerre, et beaucoup d’entre elles se dévouer auprès des blessés pendant cette période et après.

Un peu plus d’un siècle après cette loi, les tensions entre l’Eglise et l’Etat se sont bien apaisées, et restent le fait de quelques farouches anticléricaux.

Cependant de nos jours, et depuis plusieurs années, la question de laïcité est à l’ordre du jour, et les lois ou projets de lois, se succèdent contre les séparatismes et contre les communautarismes, mais leur origine ne vient plus de l’Eglise mais de l’Islam !

Oui, n’en déplaisent à nos dirigeants opportunistes et naviguant au gré des vents, les problèmes qui se posent aujourd’hui, ne sont pas le fait des catholiques mais des musulmans.

Ces derniers, en effet, non seulement refusent de se soumettre à nos mœurs et à nos lois, mais veulent nous imposer les leurs. Et nos dirigeants – la plupart islmo-gauchistes – font leurs quatre volontés pour obtenir leurs suffrages.

Je ne parlerai pas des tenues vestimentaires par provocation ou à fin de de prosélytisme, à la suite desquelles le législateur a interdit aux catholiques de porter des croix qui faisaient partie leur religion et de leur culture depuis presque deux millénaires !

Je ne parlerai pas non plus du refus des femmes musulmanes de d’être soignées par des hommes médecins, ni de leur exigence de réserver des piscines réservées pour elles seules et dans lesquelles elles se baignent en burkini au mépris de toutes les règles d’hygiène

Mais je voudrais attirer l’attention de tous sur un drame à propos duquel, les associations de protection de animaux et tous les écologistes font peser une chape de silence insupportable.

Je veux dire les méthodes atroces employées pour obtenir la nourriture hallal. Les bêtes ne sont pas endormies, mais égorgées et ne trouvent la mort qu’après s’être vidées de leur sang pendant plusieurs minutes et dans de terribles souffrances ! La nourriture hallal se répand de plus en plus dans nos rayons et personne ne dit rien contre ces pratiques barbares d’abattage des bêtes auxquelles elles donnent lieu !

N’ayons pas peur de le dire, l’islam qui prêche la mort des mécréants, qui veut répandre la charia dans le monde entier et imposer ses lois et ses mœurs, n’est pas compatible avec notre civilisation !…

Mais quel homme politique aura le courage de le dire, dans ce monde de lâches, dans lequel ceux qui osent rappeler cette vérité, se font traiter de « racistes » ?!…

Crack à Paris : l’art de déplacer les problèmes !

Depuis des années, plusieurs dizaines de toxicomanes pourrissent la vie la vie des habitants de quartiers de Paris, dans lesquels ils se sont installés.

Dangereux pour eux-mêmes, ils sont également dangereux pour leur voisinage – habitants et commerçants – qui voient leur sécurité menacée.

Incapables de résoudre de façon pérenne ce dramatique problème, l’Etat et la Mairie de Paris n’ont trouvé, jusqu’à présent, que des solutions temporaires, qui consistent à déplacer de quartier en quartier ces toxicomanes, et à ouvrir de salles de consommation à moindre risque (SCMR) appelées également « salles de shoot ».

Ainsi, après avoir été déplacés du secteur de Stalingrad au Jardin d’Eole, dans le 19° arrondissement, ces toxicomanes ont été installés, ce vendredi 24 septembre, par 200 policiers, à 2 km de là, à la Porte de la Villette, au nord-est parisien, à la lisière d’Aubervilliers et de Pantin (Seine-Saint-Denis) quartier confronté déjà à tant de misère.

Pour empêcher que ces toxicomanes aillent en Seine-Saint-Denis, un double mur en parpaings a été construit dans la foulée. Cette opération a été menée par la Préfecture de police, sur instruction du Ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin.

Quand les autorités responsables se décideront-elles à prendre le problème à bras le corps et à mettre fin à ces atermoiements stériles et à chercher une solution pérenne ?!…

De toute évidence, ces drogués sont des malades, aussi pourquoi n’installerait-on pas dans une zone rurale à choisir, un établissement où les soigner, de gré ou de force, avec médecins, infirmiers, addictologues, psychologues, etc. ?…

Les préfets ont le pouvoir de placer d’office dans des établissement psychiatriques des personnes dérangées mentalement, dangereuses pour elles-mêmes et pour la société. Pourquoi n’utiliseraient-ils pas ce pouvoir pour imposer des cures de désintoxication à ces toxicomanes ?

Ces cures peuvent durer des mois, voire deux ou trois ans et demanderont, ensuite un suivi pour être éviter les rechutes.

Il y a, bien sûr, le cas des toxicomanes étrangers. Mais commeE le disait Michel Rocard, la France n’a pas pour mission d’accueillir toute la misère du monde, et il convient donc que ces derniers soient renvoyés dans leurs pays d’origine.

Il est enfin un élément qui, à ma connaissance, n’est jamais pris en compte. Celui des proches de ces toxicomanes.

Dans bien des cas, les parents et les familles, ne sont pas responsables des désordres de leurs enfants ou des membres de leur fratrie. Et souvent les toxicomanes coupent complètement les ponts avec eux et refusent toute aide de leur part pour sortir de leur addiction.

Un exemple devrait inspirer tous ceux qui veulent sortir un proche de la drogue. C’est celui du fils de Joe Biden, Hunter Biden. Alors qu’il connaissait une véritable descente aux enfers, avec la drogue, l’alcool, le sexe, son père de l’a jamais abandonné. Il lui téléphonait deux fois par jour et son amour débordant a permis sa résurrection.

Aussi, il faut bien avoir conscience que la compétence et le dévouement du corps médico-social, risquent de ne jamais suffire à tirer ces malades de leur addiction.

Il est impératif d’ajouter aux thérapies proposées, une parcelle d’Amour, que seuls des parents et des proches sont en mesure d’apporter. Le résultat n’est pas acquis d’avance mais l’opération doit être tentée. L’exemple de Joe Biden et de son fils le prouve.

D’aucuns verront là les rêves d’un idéaliste coupé de la réalité. Pourtant la grandeur des hommes n’est-elle pas de réussir donner vie à leurs rêves les plus fous et les plus beaux ?!…

Lettre ouverte à M. le Président de la République

Monsieur le Président de la République,

J’ai appris avec stupeur que le quotidien le Monde avait publié dans ses colonnes une lettre que vous avait adressée personnellement M. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, quelques heures à peine après son envoi.

Il est inadmissible que de telles fuites puissent avoir lieu en si haut lieu. Aussi un chef de l’Etat qui se respecte doit impérativement prendre des mesures pour que l’auteur – ou les auteurs – soient démasqués et sévèrement condamnés.

Le respect du secret professionnel est un devoir qui est hélas, de nos jours, de plus en plus galvaudé dans toutes les professions et ceux qui le trahissent – quels que soient leurs mobiles, le plus souvent mercantiles – doivent être recherchés et châtiés.

Vous, qui vous êtes fait le chantre d’une République exemplaire et irréprochable, vous avez le devoir de mettre un terme à ces dérives inacceptables.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, mes respectueuses salutations.

La France meurt sous l’avalanche des lois !…

Assemblée nationale 2013-07-20La France croule sous les textes lois. Tout le monde le sait, mais cela n’arrête pas l’ardeur de nos députés. Selon certains, neuf textes de lois sur dix sont inutiles.

La France est prise dans une véritable toile d’araignée de lois, qui l’étouffe chaque jour un peu plus et l’asphyxie complètement.

Et à l’heure où il convient de dynamiser l’économie, de redonner vie à notre pays, comment oser entreprendre quand une pléthore de lois et une administration de plus en plus tatillonne, pointilleuse et formaliste brisent l’élan des plus entreprenants.

Le gouvernement se spécialise dans le montage d’usine à gaz dont les résultats sont désastreux.

Neuf mois après sa mise en place, le « crédit d’impôt compétitivité emploi » ne touche que 5 000 sociétés pour un montant total de 700 millions d’euros, alors que le gouvernement avait prévu une enveloppe de 13 milliards d’euros ! Et près de 50% des PME renonceraient à ce dispositif en raison de sa complexité et de ses délais.

Nous sommes victimes bureaucratie toujours plus envahissante et qui, au moment où la vitesse et la rapidité, ont de plus en plus d’importance, accentue les délais de tous ceux qui osent entreprendre.

Alors qu’il faut deux ans pour ouvrir une carrière en Allemagne, il faut douze ans en France ! Construire une étable ou fusionner deux exploitations agricoles, ne demande que huit semaines en Allemagne contre trois en France ! Et tutti quanti.

Je sais la complexité de tout système économique, les risques de trop grandes simplifications et la nécessité de prévoir des parades contre les éventuels fraudeurs.

Mais nos législateurs ne pourraient-ils faire appel davantage au bon sens, et se montrer plus confiants dans nos concitoyens et dans nos chefs d’entreprises qui, dans leur immense majorité, ne cherchent nullement à frauder et sont prêts à tout faire pour faire prospérer leurs entreprises et avec elles notre pays ?…

Car la crise que nous traversons est avant tout une crise de confiance. Plus personne n’a confiance dans personne. Comment retrouver la confiance si ceux qui sont à la tête de l’Etat entretiennent la méfiance et la suspicion. Sans la confiance réciproque on ne retrouvera jamais la croissance.

La solitude

Selon la Fondation de France, 12 % des Français vivraient dans la solitude. Cinq millions d’entre nous n’auraient pas ou peu relations sociales.

Ces chiffres sont dramatiques et nous interpellent tous.

La solitude est peut-être le pire des maux sur cette terre. Nous avons tous besoin d’aimer et d’être aimés. Nous avons tous besoin au petit matin de notre vie, d’être entourés par des parents – ou des proches – dont nous partageons l’Amour et l’affection ; de même quand nous sommes adultes et, au soir de notre vie, qu’elle est précieuse cette main qui nous ouvre les portes de l’Eternité !

Jamais peut-être on a tant parlé de solidarité, et jamais l’individualisme n’a tenu tant de place.

Pourtant que vaut une vie sans partage ?!… Il n’y a pas de joie, pas de bonheur sans partage. Et les épreuves de la vie, les échecs, les maladies, etc. sont toujours moins lourds quand on a près de soi une oreille attentive, une âme compatissante.

Il est une solidarité d’Etat avec la redistribution de nos impôts dans les nombreuses aides sociales. Mais cela ne saurait suffire. Cela ne nous exempte pas de l’attention que nous devons porter à tous ceux dont nous croisons la route. Et cela demande si peu et produit tant. Un simple mot, un sourire, une formule de politesse, etc., qui sont pour un cœur souffrant un rayon de soleil.